L’Alsace était à jamais perdue pour les Romains. Les Francs s’établirent dans tout le pays. Il faut croire que c’est à ce moment-là que l’usage de la langue allemande se répandit dans la plaine d’Alsace, car dans les vallées des Vosges on continua longtemps à parler la langue gauloise ; aujourd’hui encore, on y parle une langue dérivée du latin et du celtique : ces habitants des vallées sont la preuve vivante et irréfutable qu’à l’origine la langue gauloise était la langue de tous les Alsaciens.[1]
Malgré leur patois germanique, les Alsaciens peuvent se réclamer à bon droit de la race latine. Les légions romaines séjournèrent dans leur pays plus longtemps que partout ailleurs. Les Francs en firent la conquête. Nos rois y possédaient des terres. Et, rien ne se passa plus simplement que le retour de l’Alsace à la France, en 1648. Si la fusion de l’Alsace avec la France fut si rapide et si aisée, c’est qu’il y avait unité de race. On peut regretter aujourd’hui que les différents gouvernements qui se sont succédés en France n’aient rien fait pour hâter l’unité de la langue.[2]
« Le dialecte actuel, archaïque et ne répondant guère qu’aux besoins courants de la vie ou à certaines habitudes gouailleuses, est né essentiellement des guerres sans fin et des contacts constants avec l’ennemi. Les Francs parlaient un idiome germanique. Du reste, dans tous les pays, frontières, il s’établit un chevauchement de langues. Le patois alsacien a la valeur d’un langage acquis. »[3]
Au cours de ce dix-neuvième siècle, l’Alsace s’est fondue de plus en plus dans la France. Ses savants, qui d’abord ont écrit en allemand et en latin, puis en allemand et en français, n’écrivent plus qu’en français. Le français est désormais la langue de toute la bourgeoisie, celle du commerce ; il se répand dans les campagnes ; les livres que demande la jeunesse aux bibliothèques populaires créées par Jean Macé, sont des livres français. En 1870, tout Alsacien, même dans les villages, comprend le français et commence à le parler. Encore quelques années, tout Alsacien eût couramment parlé français, et par les efforts qu’il fait pour l’apprendre, le plus humble des villageois veut témoigner son attachement à la mère-patrie.[4]
[1] L’Histoire d’Alsace racontée aux petits enfants par l’Oncle Hansi (septembre 1912)
[2] KRUMHOLTZ Charles : La vérité sur les sentiments des Alsaciens-Lorrains (1917)
[3] Professeur KUNSTLER, de Bordeaux (d’après Krumholtz)
[4] PFISTER Christian : Comment et pourquoi l’Alsace s’est donnée à la France (1919)
LES CRIMES CONTRE L’HUMANITE PERPETRES PAR LA FRANCE EN BRETAGNE.
Dès les premiers mois de ce qu’elle intitule « la révolution des droits de l’homme », la France se livre à des massacres sur la totalité du territoire du royaume, et des nations périphériques annexées par la France sans leur consentement, en particulier l’Alsace, le Béarn, la Provence. Dans ces persécutions, la Vendée et la Bretagne occupent une place de choix. L’assemblée parisienne, le roi Louis XVI ayant été exécuté le 21 janvier 1793, est alors aux mains d’authentiques malades mentaux, dont les plus connus sont Robespierre, Danton, Fouquier-Tinville, Carrier, Collot d’Arbois. La place de ces criminels eût été à l’asile, immobilisés par des camisoles de force à cette époque où les neuroleptiques n’existent pas encore.
Tout le pays est mis à feu et à sang. Le nombre des victimes dépasse plusieurs centaines de milliers de personnes. C’est sur ces crimes que la « république » élabore son roman national , attribuant à la révolution des vertus qu’elle n’a pas eues, en particulier en matière de droits de l’homme.
Dès 1789, la France s’emploie à détruire la Bretagne, de toutes les manières possibles. Un dérangé de l’esprit sévit à Nantes : Jean-Bapiste Carrier, surnommé « le boucher ». Il bénéficiera à son tour de la machine de M. Guillotin, qui le raccourcira de sa tête le 16 décembre 1794.
Le martyre de la Bretagne ne fait que commencer.
LA BRETAGNE EST DETRUITE EN TANT QU’ENTITE POLITIQUE.
Civilisation antique, pourvue d’une culture très particulière, avec un sentiment d’appartenance très fort, existant depuis plus de mille ans, bien qu’annexée par le royaume de France depuis 1532, bien qu’ayant souffert de la monarchie française, la Bretagne a réussi, à force de résistance, après le règne sanglant de Louis XIV, à retrouver le droit de s’administrer elle-même, dans de
nombreux domaines jusqu’à 1789 inclusivement. Elle gère ses finances avec économie ; son opposition féroce à l’oppression de la Cour de Versailles lui a permis de maintenir un niveau d’imposition de moitie inférieur à celui applique dans le royaume étranger qui l’occupe par la force. En 1789, divisée en « départements » par l’assemblée constituante contre son gré, la Bretagne disparait de la carte politique. Son antique assemblée nationale – les « Etats de Bretagne » et son Parlement sont abolis. Elle perd tout droit de regard sur la législation appliquée sur son territoire, de voter ses impôts, de gérer ses recettes fiscales et son économie, ainsi que de s’administrer elle-même… Depuis lors, elle est dirigée par les fonctionnaires, nommés par le gouvernement français, chroniquement incompétents. Tous les postes importants sont attribues à des Français, ou à des clients du pouvoir. Les Intendants de l’ancien régime sont remplacés en 1800, par le premier consul Bonaparte, par des fonctionnaires dénommés « préfets », qui, pourvus de large pouvoirs, sont les équivalents des « Gauleiters » allemands.
Privé de toute initiative politique, et de tout pouvoir gouvernemental, le pays s’étiole et s’enlise. Il avait commencé à dépérir à partir du moment ou les bureaux de Colbert et de Louis XIV s’étant emparés de son économie, l’exploitant comme une ferme, et l’avait pressuré d’impôts de plus en plus lourds, notamment en sabotant son économie, en l’empêchant de commercer librement avec ses allies commerciaux traditionnels, en particulier l’Angleterre.
Les gouvernements français du 19ème siècle la transforment, par leur incompétence en Ploukistan de l’Europe occidentale. Les préfets jouent à la fois le rôle de courroies de transmission, et d’espions qui surveillent, dénoncent, et de pères fouettards. Les écoles, le clergé font l’objet d’une surveillance méticuleuse, et de sanctions très dures.
Depuis cette époque, rien n’a changé. Aujourd’hui, même les fonctions réputées électives (celles de députés et des sénateurs, en particulier), sont « pré-sélectionnées » par les instances dirigeantes des partis parisiens, et nul n’obtient l’agrément s’il ne fait preuve de la docilité voulue à l’égard de ceux qui les choisissent ; Marilyse Lebranchu, ministre, vient de révéler à la presse les menaces dont elle a été l’objet de la part d’Emmanuel Valls, d’être privée de l’agrément pour être en position élective lors de la « consultation » populaire baptisée « élection législative ». Cette « pré-sélection » est subordonnée à une soumission quasi-aveugle au pouvoir central, qui n’hésite pas à donner des ordres aux parlementaires, pour leur imposer de voter dans le sens voulu. La système n’est pas une démocratie, mais une dictature.
LA BRETAGNE EST DETRUITE EN TANT QUE NATION.
Les « révolutionnaires » de Paris ont décrété qu’il n’y a, dans le territoire qu’on va dénommer « l’hexagone », qu’une nation : la seule, l’unique, censée être le moule universel, le seul modèle fiable pour l’Univers : la Nation française ; celle dont Nicolas Sarkozy a dit qu’elle a été créée par l’ Etat (!), (comme si un Etat pouvait créer une Nation, il ne peut que la détruire, ce qu’il a tenté de faire en Bretagne !).
Les peuples périphériques sont niés, néantises, interdits d’exister : les Alsaciens, les Basques, les Flamands, les Béarnais, les Corses, les Savoyards, toutes nations plus anciennes que la Nation française, deviennent des fragments de la seule nation reconnue : la nation française.
Par l’effet de cette bouffissure qui se développe à la faveur de l’enseignement du complexe de supériorité qu’on inculque dans les écoles, les jeunes Français deviennent des nationalistes convaincus, imbus d’un sentiment de mépris pour les autres peuples, et de la volonté de revanche à l’égard de l’Allemagne : on les prépare aux prochaines boucheries. La Nation bretonne, la plus antique avec celle des Basques, est particulièrement persécutée, stigmatisée. Là où le nationalisme français est considéré comme une vertu, et où le culte de la France est enseigné dans les écoles, le nationalisme breton devient un crime. Il est génial, à cette époque, d’ être un nationaliste français, il est criminel d’être un nationaliste breton.
Au nom de ce qu’elle dénomme les droits des nations supérieures sur les nations inférieures, la France envahit et conquiert de très vastes territoires, souvent dépouille les indigènes de leurs terres, ou les achète, sous contrainte, pour des prix dérisoires. (En Algérie, 300 000 hectares changent de mains sous l’effet de cette politique). Dans presque tous les pays, l’œuvre coloniale de la France est à base de sentiment de supériorité des colons, et de mépris des indigènes.
La Bretagne est victime d’injures et de persécutions raciales de 1789 à aujourd’hui.
(1)L’un des auteurs du rapport lu par mes soins à Bruxelles, en 2009, avait, dans sa jeunesse, été endoctriné avec tant de répulsion et de dégoût contre ceux qu’on nommait « les nationalistes » bretons, qu’il disait : «
Qu’on m’en montre seulement un : je le fusillerai ». Il est aujourd’hui mieux que Furet, mieux qu’ Ozouf, et bien d’autres, qui ont fait leur mea culpa : il est fier d’avoir vu clair dans le jeu du pays colonial. Sur sa carte de visite, il a écrit « M. L., nationaliste breton ». En 2009 encore, lors de la lecture de mon rapport au congrès annuel de la FUEN, taxer les Bretons de nationalistes est une injure. Dans le même temps, le Mélenchon, admire publiquement « l’œuvre civilisatrice » de la Chine au Tibet (voir ses propos sur Internet).
L’ASSASSINAT DE LA LANGUE ET DE LA CULTURE.
La langue bretonne, qui fait la fierté des érudits qui la pratiquent, et des savants qui l’ont enrichie, affinée, perfectionnée, infiniment subtile et beaucoup plus ancienne que l’idiome français, est non seulement dévalorisée d’une manière outrancière, mais insultée, dans des termes grossiers. Ce n’est pas une langue : c’est un jargon, un idiome, un patois, un dialecte corrompu, un baragouin, un charabia, un instrument de dommage et d’erreur. Ceux qui l’utilisent ne parlent pas, ils grognent, ils « patoisent », ils « baragouinent », ils « déblatèrent », ils éructent, ils « parlent vicieusement ». Cet idiome est un reste des cavernes de Cromagnon, une séquelle de la préhistoire, un « dernier reste de la féodalité », un langage de sorciers, une « relique barbare et arriérée d’un autre âge ». Il obscurcit et engourdit la pensée, prolonge l’enfance de la raison et la vieillesse des préjugés, empêche de raisonner, de comprendre, d’assimiler les idées nouvelles, en particulier les « idéaux » révolutionnaires, la démocratie, la République. C’est, dit Hugo, formaté lui aussi par ce discours stupide, « une tombe pour la pensée ». Ce langage, à l’oreille, est hideux, inélégant, grossier, guttural, imprononçable, et ne peut l’ être qu’au prix de grimaces, et de contorsions du visage et du corps. Cette « grande vaincue de l’histoire » (sic), selon les « sçavants » français qui n’en comprennent pas le premier mot, décrètent qu’elle n’a produit aucune poésie, aucune littérature, aucune œuvre littéraire de valeur. Il serait impossible que cela soit, puisqu’il n’y a pas de grammaire bretonne (!).
Les religieux, qui continuent à l’utiliser pour prêcher (c’est la seule langue parlée et comprise dans les diocèses de l’Ouest), sont particulièrement visés. Ils se servent de ce jargon infâme pour maintenir les Bretons dans leurs « superstitions religieuses », pour les asservir, pour faire entrer dans leurs pauvres cervelles de demeures des idées perverses, pour « les fanatiser », pour « chasser des têtes bretonnes les idées de liberté ». etc. Ils deviennent des « sorciers », des « ratichons », des « calotins bretons ensoutanés ».
Ces insultes se prolongent jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Dans l’administration, la langue est formellement interdite. La France met en place un système médiéval de persécutions, digne de l’Inquisition, et de sanctions à l’encontre de tous ceux qui entendent perpétuer la culture qui, jusqu’alors, avait été, pour les lettres, un sujet de fierté. Des escouades d’instituteurs
français sont envoyés dans les écoles bretonnes, avec des directives précises réitérées par les préfets et les sous-préfets : « assassiner la langue bretonne », « éradiquer totalement l’idiome local », (de nombreux textes et directives ministérielles accablants, ont été publiés, cette politique étant initiée, surveillée, amplifiée depuis Paris) ; « la corrompre, afin qu’on ne le comprenne plus » (sic !) interdire, manu militari au besoin, de parler breton (il arrive que des gendarmes rendent visite aux parents dans les fermes, pour les intimider), infliger des punitions aussi vexantes que possibles aux enfants, sinon aux parents, qu’on culpabilise chaque fois que cela est possible. Les prêtres, curés et religieux, qui prêchent dans la langue nationale, la seule qui soit comprise, sont privés de leur salaire (la séparation de l’église et de l’ Etat n’intervient qu’en 1905).
Dans les écoles, les enfants sont terrorisés. On les montre du doigt, on les humilie lorsqu’ils confondent un terme français avec un terme breton ; on les entraine à se moquer des autres, on les isole au piquet, on leur donne des coups de règle sur les doigts, des gifles, voire coups de pied ; on les punit lorsqu’on les surprend à parler breton dans la cour ; on accroche à leur cou un objet infamant tel qu’un sabot, une corne de vache, ou tout autre objet ridicule. Dans certaines écoles, fait criminel pour ceux qui s’en sont rendus coupables, on accroche au cou de ces malheureux l’ardoise d’infamie : « Breton = cochon ». (Cette dernière pratique a marqué les esprits, d’une manière définitive, les Bretons ne l’oublieront pas, et ne la pardonneront jamais). (Du temps qu’il n’était pas encore condamné à deux ans de prison, on a entendu le « ministre » Pasqua chanter dans les couloirs de l’Assemblée nationale : « Ah ce que c’est con un Breton, plus ça devient vieux, plus ça devient con!)
Une autre ignominie est inventée : la culture de la délation ; l’enfant surpris à parler le breton, conserve le « symbole » infamant au cou, jusqu’au moment ou il aura réussi à dénoncer à l’instituteur un autre délinquant. Certains n’osent plus rentrer chez eux, attendent la nuit, et contournent le village, pour n’être vus de personne.. Les parents sont tellement conditionnés, qu’ils infligent de nouvelles punitions à l’enfant, après le coucher du soleil.
Le ministère Combes invente le concept « d’usage abusif du breton », pour empêcher qu’il soit utilisé dans les églises. Le pire, sans doute, dans ce pays traditionnellement très religieux : priver les enfants de confirmation, et même de communion solennelle, s’ils ne connaissent pas suffisamment le Français. La langue du colonisateur, dénommée « langue nationale » dans un pays qui en en possède une, mille ans au moins avant les français, autorise les plus zélés à traiter le breton de « langue étrangère » (!). Des journalistes, des hommes politiques connus, que l’on avait cru sains d’esprits, préconisent des mesures extrêmes :
« Il faut frapper les curés » ;
« Tapons dessus, de toute la rigueur des lois, de tous les poings des gendarmes » (La Lanterne) ;
« Il faut prendre des mesures énergiques, sans hésiter » ;
« il faut utiliser des commissaires de police courageux, des préfets, des magistrats, des fonctionnaires républicains pour coloniser la Bretagne » (!!!!);
« il faut faire totalement disparaitre la langue bretonne » (de Monzie, ministre, 1925) ;
« la seule réponse, est d’emprisonner tous ceux qui formulent les revendications linguistiques bretonnes » (Albert Dalimier, ministre du travail, 1932).
C’est ainsi que s’exprime le génie du pays qui prétend avoir inventé les droits de l’homme ! Détail horrible : la « Déclaration Universelle des droits de l’Homme », texte purement philosophique, mais jamais appliqué en France, voté le 26 août 1789, n’est qu’un attrape-nigauds, une imposture aussi ridicule que monstrueuse. Pendant qu’on procède
à un lavage des cerveaux, les prétendus droits de l’homme sont enseignés dans les écoles ; les enfants bretons, naïfs, y croient. Ils sont tellement infériorisés, tellement convaincus d’appartenir à une race de sous-débiles, qu’ils regardent la lumière française comme étant leur seule planche de salut.
Les résultats de cette politique sont spectaculaires. En 1850, à l’exception des villes, toute la moitié ouest de la Bretagne est encore bretonnante. En 1850, 160 communes du Finistère sur 160 parlent le breton. On dénombre à l’époque 1,6 million de locuteurs. En 1940, la langue de communication, dans les campagnes bretonnes, chez les marins, chez les artisans, les commerçants des villages et des petites villes, est le breton. En 2030, ce chiffre tombera presqu’ à zéro. Il n’y a plus, en Bretagne, un seul locuteur unilingue, là où ils étaient des centaines de milliers en 1939. En 2008, les efforts de la France ont abouti à un résultat étonnant : il reste 200 000 locuteurs bretons, tous âgés. Pour entretenir l’illusion, et perpétuer l’hypocrisie, la France « autorise » la création de quelques classes bilingues, mais freine de toutes ses forces en s’opposant férocement à toute progression de la langue bretonne. Pour mieux simuler le mensonge, on place de pancartes bilingues à l’entrée des villes et des villages, là où il est notoire qu’il n’y a plus un seul habitant qui pratique correctement la langue. Après un simulacre de débat au Parlement, en 2008, elle fait semblant d’autoriser les langues régionales, ce qui est fermement démenti sur le terrain.
Pendant que l’État d’Israel reconstruit sa langue et sa littérature, sous l’impulsion de Théodore Herzl, le pays des droits de l’homme les détruit. La politique de la France est l’éradication totale du breton. Dans peu d’années, le crime sera parfait. Les Français bénéficient d’alliés de poids : les députeux et les sénateux bretons, qui leur doivent leurs prébendes.
L’HOMME BRETON EST REDUIT AU RANG D’UN ANIMAL.
Ce que nous relatons ici est insupportable.
Les pires adjectifs, les pires formules sont utilisés pour décrire l’homme breton, y compris par ceux que l’on dénomme aujourd’hui les « grands écrivains » : Victor Hugo, Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Prosper Mérimée, Emile Zola et d’autres, traînent ce peuple de ploucs et de bouseux dans la fange. Les Bretons sont une race inférieure. Ils sont, par nature, paresseux, sales et puants ; dans les villages, les enfants jouent dans la boue avec les cochons ; une mère n’y reconnait pas ses petits : il n’y a pas de différence entre eux ; certains Français se demandent s’ils sont des êtres humains ; d’autres consentent à les situer quelque part entre les animaux et les hommes ; le paysan breton, dit Hugo, « vénère d’abord sa charrue, sa grand-mère ensuite ; il aime ses poux » (citation littérale).
L’intellect du Breton est celui des animaux ; il devient le prototype de l’arriéré mental, de l’idiot congénital. Il a un âge mental infantile, cela est dû à la dégénérescence de cette race. « On se demande, précise encore Hugo, si cet aveugle peut accepter la clarté ». Les hommes qui profèrent ces horreurs – inscrites d’une manière indélébile dans la conscience des Bretons –, incultes, ignorent que ce pays, qui a
ensemencé toute l’Europe au moyen âge par sa mythologie et sa spiritualité, tant religieuse que profane, a toujours produit des hommes de lettres, des poètes, des juristes, de grands écrivains. Parmi ceux que la France s’est appropriée, comme faisant parti des leurs écrivains, alors qu’ils ne sont pas Français, qui ont conquis une audience internationale : le théologien Abélard, l’un des plus grands de son temps, Chateaubriand, Victor Hugo (breton par sa mère), Renan, Lamennais, et tant d’autres, comptent parmi les grands esprits de
leur temps. Ils ont écrit en langue française, mais ce sont des Bretons.
L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE EST TOTALEMENT SUPPRIMEE, SCOTOMISEE.
Les animaux n’ont pas d’histoire, les sauvages non plus.
Selon les criminels de Paris – et les programmes scolaires qu’ils imposent –, la Bretagne n’a jamais existé, elle n’a jamais eu de souverains indépendants. De tout temps, alors que les guerres entre les deux pays ont duré plus de mille ans, elle fut, dit-on, une « province » française. La seule chose qui filtre dans l’enseignement des lycées et collèges – il est difficile de croire ce que nous écrivons ici – tient en quelques phrases :
« Les Bretons eurent autrefois une Duchesse, dénommée Anne de Bretagne ; elle portait des sabots de bois (d’où la célèbre chanson, un “tube” en France : Anne, Duchesse en sabots) ; elle épousa le roi de France, dont elle tomba amoureuse (!), Charles VIII ; en conséquence, elle apporta en dot la Bretagne à la France ».
C’est ce qu’on m’a enseigné au lycée de Pont l’Abbé, en pays Bigouden. Aucun autre élément n’est fourni, pendant toutes leurs études, aux élèves des lycées et collèges. Les Bretons ignorent donc, par la volonté délibérée de l’ Etat colonisateur, qui ils sont, qui furent leurs ancêtres, ce que sont leurs racines, encore moins qu’ils eurent un passé national prestigieux, sûrement pas que la Bretagne est devenue française par une invasion, la violation du droit, et par des destructions considérables. Les signataires du rapport de Bruxelles, en 2009, sont tous dans cette situation. Ils n’ont appris leur passé qu’une fois sortis de l’école, parce qu’un jour, le hasard a mis entre leurs mains l’une des rares histoires publiées sur la Bretagne, diffusée d’une manière confidentielle dans de rares librairies.
Les grands héros de l’histoire bretonne sont « gommés », rayés des cadres. Nominoé, le roi Salomon, Anne de Bretagne ? Pierre Landais, le Richelieu breton ? Comment les Bretons connaîtraient-ils ces personnages auxquels l’occupant ne reconnaît aucune existence, et qui ne sont mentionnés dans aucun manuel ? Selon la doxa mensongère, la Bretagne était française de tous temps ; province crottée, elle a été élevée à la civilisation parce que la France a daigné la ramasser dans un ruisseau de boue : c’est à peu près tout ce que les Bretons savent de leur passé lorsqu’ils sortent du lycée.
Ce fut mon sort, moi qui fut toujours premier en histoire.
Dieu merci, la vérité est maintenant connue dans le monde.
LA NEVROSE BRETONNE D’ACCULTURATION.
L’étude des névroses collectives a été induite, en particulier, par les sociologues et les historiens qui se sont penchés sur les dégâts mentaux induits par l’acculturation forcée des populations Amérindiennes par les Espagnols. On a également exhumé les atrocités commises par les américains, les canadiens, les anglais en Australie …. Les Bretons sont maintenant célèbres dans le monde entier, en raison des abominations dont ils ont été victimes.
Cette pathologie particulière concerne un grand nombre de nations, jadis libres. Sous l’effet de la pression colossale qui est exercée par l’entourage, l’école, les livres, la radio, les instituteurs, les professeurs, les parents eux-mêmes, tant par le non-dit que par ce qui est suggéré ou explicitement exprimé, l’enfant des écoles de la république se met à détester tout ce qui lui rappelle l’infériorité de sa condition : ce patois hideux que parlent ses parents et son entourage, ces costumes de ploucs et ces coiffes d’un autre âge, ces mœurs résolument vulgaires, les tournures bretonnisantes qui infectent le beau langage français, qu’on lui présente comme étant le modèle universel. Il n’est rien, qu’un sous-homme, il le sait, il intériorise le modèle mauvais forgé de toutes pièces par le colonisateur. La névrose d’acculturation est à base de honte de soi. Le phénomène diffuse, et gagne tout l’entourage. Les grands-parents, qui ne parlent ni ne comprennent le français – dans les campagnes en tout cas –, sont mis à l’écart, on ne leur adresse pas la parole : ce sont des ploucs, on se gausse de leur maladresse et de leur timidité, on ne voudrait certes pas leur ressembler. Un fossé culturel se crée entre les générations : les jeunes, élevés dans la civilisation qu’on croit belle du colonisateur ; les vieux, qui paraissent pitoyables et arriérés. Cela peut aller très loin : on a vu, dans les lycées et collèges, des enfants avoir honte de rencontrer au parloir leur propre mère, à cause de son accent rocailleux, de sa coiffe en dentelles, de son habitus de femme plouque, et prétexter l’étude ou le travail pour ne pas montrer ce spectacle à ses camarades.
Au niveau individuel, les dégâts sont considérables. Les Bretons de ces générations sont à l’image de ce qu’ont été les Juifs pendant des millénaires, les colonisés, les esclaves : timides, honteux d’eux-mêmes, des êtres convaincus de leur infériorité native. (Lire absolument : Albert Memmi : Portrait d’un juif, le malheur d’être Juif). Les Bretons qui n’ont pas encore compris, vont se découvrir dans ce texte poignant.
Au niveau de la nation, c’est pire : celle-ci, jadis conquérante et glorieuse, est désormais honteuse d’elle-même. Elle va jusqu’à collaborer – en toute bonne foi – avec l’occupant pour « désincruster » ce qui reste des mœurs dont elle a été convaincue qu’elles sont préhistoriques, voir anté-diluviennes.. La créativité s’étiole au niveau collectif, la nation ne produit plus rien : la « ploukisation » devient effective ; les natifs, guère en situation de comprendre ni d’analyser ce qui leur arrive, comme les esclaves élevés dans une situation qu’on leur a appris à accepter, accompagnent ou précèdent le mouvement sans le critiquer. Honte suprême : il en est même qui acceptent de faire partie de ce qu’on dénomme le « gouvernement » du pays colonial (!)
L’AMPUTATION DU TERRITOIRE NATIONAL.
La France a été un pays nationaliste, expansionniste, colonisateur sur une très large échelle.. Elle a exalté son égo national d’une manière honteuse. Elle a transporté ses armées dans les cinq continents, envahi des peuples nombreux, conquis un empire colonial de dix millions de kilomètres carrés, soit vingt fois sa propre superficie. Elle a eu pour prétention d’apporter « la » civilisation – la sienne –, au monde, et de se considérer comme le critère de l’Univers. Michelet, aujourd’hui considéré comme un quasi-débile mental, a écrit qu’elle devait être enseignée comme une religion !
En 1941, estimant n’en avoir pas assez fait, le régime de Vichy décide, reprenant un vieux projet en gestation, destiné à néantiser la menace bretonne, à la faveur d’un réaménagement « administratif » du territoire, de créer une région artificielle, incluant la Loire Atlantique, qui est ainsi détachée du territoire historique national des Bretons. Les noyades de Carrier, les colonnes infernales de Turreau, les crimes de Westermann n’ont donc pas suffi : les Bretons sont toujours là, leur sentiment d’appartenance reste extrêmement puissant. La France, poursuivant par un processus interne sa colonisation, a cru pouvoir détacher de la Bretagne historique son joyau, pour l’intégrer dans une région créée de toutes pièces, dénommée « Pays de la Loire », ayant Angers pour capitale. Des « Bretons » se sont associés à ce crime : leurs noms sont publiés partout. La cause de ce qui a été présenté comme un « redécoupage » du territoire français : alors que la France a pactisé et collaboré avec l’ennemi pendant plusieurs années, alors que son chef s’est rendu à Montoire pour serrer la main de Hitler, a réalisé tout d’un coup, quelques dizaines – quelques centaines de Bretons s’étant tournés vers les Allemands, par l’espoir illusoire de retrouver leur liberté et l’usage de leur langue – a puni toute la Bretagne, ayant découvert que, malgré les siècles écoulés, malgré les persécutions et perpétrés dans ce pays, les Bretons ne sont pas devenus francais. La Loire, donc, continue à être la baignoire nationale de la France, le fleuve révolutionnaire d’une ineptie philosophie archaïque et anachronique.
Les Bretons, comme l’a écrit l’écrivain Herbert Pagani, sont les Juifs de la France. La Loire- Atlantique est pour les Bretons, au sens le plus fort, le Tibet de la France.
Mais la guérison est au bout du chemin : c’est de renouer avec ses racines, accepter son histoire, dénoncer les mensonges, critiquer et prendre ses distances avec ce qui s’est passé, et repartir dans une autre direction. La Bretagne est entrée dans cette phase.
LOUIS MELENNEC, licencié en droit, diplômé d’études supérieures de droit public, diplômé d’études supérieures de droit privé, diplômé d’études supérieures de sciences criminelles, docteur en droit, diplômé d’études approfondies d’histoire moderne, ex-chargé d’enseignement des facultés de droit, historien, Ex-consultant près le Médiateur de la république française.
Louis MELENNEC est exclu de tous les médias français et bretons, sans exception aucune, depuis l’année 2002. Il est impossible de lire une seule fois son nom dans les journaux dont les noms suivent : Le Monde, Le Figaro, Marianne, Présent, …
Anne de Bretagne
et la guerre d’invasion de la Bretagne
par la France.
– Avant-propos. P2 – P10
– Chapitre I. 1487 première année de guerre :
Les Français, ennemis millénaires, envahissent le duché souverain.
P11 – P73
– Chapitre II. 1488. P73 – P154
– Chapitre III. 1489. LA REPRISE DE LA GUERRE. LE COURONNEMENT DE LA DUCHESSE. LA PAIX DE FRANCFORT. P155 – P209
– Chapitre IV. ANNEE 1490. P210 – P249
– Chapitre V. 1491 : la duchesse à Rennes. Le mariage avec Charles VIII. P250 – P359
– Chapitre VI. 1492. Le couronnement d’Anne de Bretagne à Saint-Denis. Le complot breton. La nullité juridique du mariage d’Anne de Bretagne. P360 – P456
– Chapitre VII. CONCLUSION. CE QU’IL ADVINT DE LA BRETAGNE APRES LA GUERRE D’INVASION DE 1487 A 1491, jusqu’à aujourd’hui. P457 – P485
Le Caractère Sacré des Nations, et des Identités Nationales
(Melennec, 1987).
LA NATION BRETONNE. LA NATION ALSACIENNE.
« Tout être humain a le droit sacré à son identité. Il a le droit d’être lui même, de
penser ce qu’il veut, d’adhérer – à condition qu’elles respectent les droits d’autrui et
qu’elles ne lui nuisent pas -, aux valeurs qui sont les siennes. Il a le droit d’avoir une
identité familiale … Par dessus tout, il a le droit à son identité nationale.
Les malades mentaux qui, à Paris, au cours de ce qu’on appelle encore – par
dérision -, la « révolution française », ont prétendu anéantir les droits et l’identité
nationaux des Bretons, des Corses, des Basques, des Alsaciens. Ils ont violé et
violenté d’une manière éhontée les consciences, torturé des centaines de milliers de
personnes humaines au nom de leurs principes, essentiellement violents, et
violateurs du droit des gens … Pour le grand nombre, ils ont eu la tête tranchée par
la guillotine …
La prétendue république construite sur ces crimes est MORTE ET ENTERREE.
Par cette loi universelle que le plus fort tente toujours d’écraser le plus faible, leurs
idées délirantes ont persisté jusqu’à aujourd’hui, et même parasité de nombreux
pays européens.
La destruction définitive d’un concept faux de fausseté absolue : la
République Hune et Hindivisible .
» Qu’est-ce qu’une nation ? Je vais vous le dire très simplement. Nos historiens
bretons (les autres aussi, de même que les politologues, jusqu’à notre époque) ont
prétendu que les Nations sont une création des temps modernes, et que la Bretagne
ne peut revendiquer cette qualité, puisqu’elle a été engloutie – ou presque – par la
France, à la fin du 15ème siècle. Voici qui va vous permettre de comprendre ce dont
il s’agit :
Lorsque vous jetez de l’eau dans une casserole, puis des poireaux, puis des
pommes de terre ou d’autres légumes, et que vous mettez le tout sur le feu,
qu’arrive-t-il ? Tout simplement, au bout d’un temps, une excellente soupe de
légumes.
La nation, c’est cela : un groupe humain vivant ensemble, sur le même territoire,
partageant les mêmes valeurs , les mêmes joies, les mêmes épreuves, parlant ou
non la même langue, sous un gouvernement commun. Au bout d’un temps, ces
hommes et ces femmes se lient ensemble par ce que nous appelons un sentiment
d’identité commune, distinct de celui des peuples voisins, qui ont subi la même
évolution, et qui sont vécus comme des étrangers.
Point n’est besoin de connaître à fond l’histoire des sociétés anciennes ni modernes
pour comprendre ce phénomène : il est lié consubstantiellement à l’espèce humaine :
les peuples – ou nations – ont existé de tous temps, de même que le droit
international, au moins sous une forme rudimentaire.
C’est une absurdité de dire qu’il n’y a dans l’espace hexagonal dénommé « La
France » qu’une seule nation. La nation française existe, c’est vrai, elle est, grosso
modo, située au centre de l’ « hexagone ». Les provinces du centre de l’hexagone
ont partagé suffisamment de choses, pendant des siècles, Mais à la périphérie, il y a
d’autres nations : les Basques, les Bretons, les Corses, les Flamands, les Alsaciens,
les Savoyards et les Niçois …. La liste n’est pas close. A côté de nous, il ya les
Kabyles, les Catalans, les Flamands … combien d’autres ?
Les Bretons et les Basques sont identifiés avant les Francs et les Français, leur
histoire est beaucoup plus ancienne, leur langue aussi. Les Corses, pas davantage
que les Bretons, les Savoyards ne sont pas ce qu’on appelé absurdement des «
composantes du peuple français », ce sont des Nations à part entière, au même titre
que les Ecossais, les Gallois, les Catalans …. La négation des nations périphériques
dans l’espace hexagonal est l’effet d’une imposture, d’une manipulation mentale
nées de l’accaparement par le pouvoir de Paris d’enseigner une religion fausse, faite
d’inexactitudes et d’approximations …
Les Ecossais, les Gallois, les Irlandais ne sont pas et n’ont jamais été Anglais; les
Anglais n’ont jamais sombré dans l’absurdité, la sottise de vouloir imposer à ces
peuples une identité qui n’est pas la leur, et qu’ils détestent .. Les Catalans ne sont
pas des Castillans, les Castillans ne sont pas des Catalans .. Les Bretons, les
Alsaciens, les Savoisiens, les Corses, les Niçois ne sont pas Français. En Bretagne,
nombre de personnes qui ont maintenant librement à leur histoire, par la publication
du Livre Bleu de la Bretagne, en 2009 et en 2014 (un classique, défini par un auteur
« une catastrophe pour la France », en raison des révélations qu’il contient), en
arrivent à détester l’identité française; ce que je n’approuve pas, les Français étant
un peuple aussi respectable que le nôtre.
Ce que les Anglais n’ont pas fait – ni même pensé réaliser une telle absurdité -, la
France – prétendue « inventrice » des droits de l’homme – l’a imposé, en violation
des droits les plus élémentaires de la personne humaine. Les dégâts, pour tenter
d’inclure les Nations périphériques dans ses propres limites territoriales et nationales,
c’est à dire pour les dominer et pour écraser leurs cerveaux, sont colossaux.
Le temps de la reddition des comptes est maintenant arrivé ..
Les Nations, sous des noms divers, existent depuis des dizaines de milliers
d’années, probablement davantage. Le droit international a existé de tous temps …. (
Mélennec Savoie, Qu’est-ce qu’une nation ? Et nos publications sur l’histoire des
nations) …
LIRE : MELENNEC, NATION. Ce texte est maintenant publié dans de nombreux pays,
mais non pas en Bretagne, dont les médias sont VENDUS, c’est à dire ACHETES, pour la
HONTE de ses habitants.
Les analyses de Louis MELENNEC se substituent désormais à celles de son compatriote Ernest RENAN, devenues caduques.
LOUIS MELENNEC EST INTERDIT DE S’EXPRIMER DANS TOUS LES MERDIASLe Caractère Sacré des Nations, et des Identités Nationales
(Melennec, 1987).
LA NATION BRETONNE.
« Tout être humain a le droit sacré à son identité. Il a le droit d’être lui même, de
penser ce qu’il veut, d’adhérer – à condition qu’elles respectent les droits d’autrui et
qu’elles ne lui nuisent pas -, aux valeurs qui sont les siennes. Il a le droit d’avoir une
identité familiale … Par dessus tout, il a le droit à son identité nationale.
Les malades mentaux qui, à Paris, au cours de ce qu’on appelle encore – par
dérision -, la « révolution française », ont prétendu anéantir les droits et l’identité
nationaux des Bretons, des Corses, des Basques, des Alsaciens. Ils ont violé et
violenté d’une manière éhontée les consciences, torturé des centaines de milliers de
personnes humaines au nom de leurs principes, essentiellement violents, et
violateurs du droit des gens … Pour le grand nombre, ils ont eu la tête tranchée par
la guillotine …
La prétendue république construite sur ces crimes est MORTE ET ENTERREE.
Par cette loi universelle que le plus fort tente toujours d’écraser le plus faible, leurs
idées délirantes ont persisté jusqu’à aujourd’hui, et même parasité de nombreux
pays européens.
La destruction définitive d’un concept faux de fausseté absolue : la
République Hune et Hindivisible .
» Qu’est-ce qu’une nation ? Je vais vous le dire très simplement. Nos historiens
bretons (les autres aussi, de même que les politologues, jusqu’à notre époque) ont
prétendu que les Nations sont une création des temps modernes, et que la Bretagne
ne peut revendiquer cette qualité, puisqu’elle a été engloutie – ou presque – par la
France, à la fin du 15ème siècle. Voici qui va vous permettre de comprendre ce dont
il s’agit :
Lorsque vous jetez de l’eau dans une casserole, puis des poireaux, puis des
pommes de terre ou d’autres légumes, et que vous mettez le tout sur le feu,
qu’arrive-t-il ? Tout simplement, au bout d’un temps, une excellente soupe de
légumes.
La nation, c’est cela : un groupe humain vivant ensemble, sur le même territoire,
partageant les mêmes valeurs , les mêmes joies, les mêmes épreuves, parlant ou
non la même langue, sous un gouvernement commun. Au bout d’un temps, ces
hommes et ces femmes se lient ensemble par ce que nous appelons un sentiment
d’identité commune, distinct de celui des peuples voisins, qui ont subi la même
évolution, et qui sont vécus comme des étrangers.
Point n’est besoin de connaître à fond l’histoire des sociétés anciennes ni modernes
pour comprendre ce phénomène : il est lié consubstantiellement à l’espèce humaine :
les peuples – ou nations – ont existé de tous temps, de même que le droit
international, au moins sous une forme rudimentaire.
C’est une absurdité de dire qu’il n’y a dans l’espace hexagonal dénommé « La
France » qu’une seule nation. La nation française existe, c’est vrai, elle est, grosso
modo, située au centre de l’ « hexagone ». Les provinces du centre de l’hexagone
ont partagé suffisamment de choses, pendant des siècles, Mais à la périphérie, il y a
d’autres nations : les Basques, les Bretons, les Corses, les Flamands, les Alsaciens,
les Savoyards et les Niçois …. La liste n’est pas close. A côté de nous, il ya les
Kabyles, les Catalans, les Flamands … combien d’autres ?
Les Bretons et les Basques sont identifiés avant les Francs et les Français, leur
histoire est beaucoup plus ancienne, leur langue aussi. Les Corses, pas davantage
que les Bretons, les Savoyards ne sont pas ce qu’on appelé absurdement des «
composantes du peuple français », ce sont des Nations à part entière, au même titre
que les Ecossais, les Gallois, les Catalans …. La négation des nations périphériques
dans l’espace hexagonal est l’effet d’une imposture, d’une manipulation mentale
nées de l’accaparement par le pouvoir de Paris d’enseigner une religion fausse, faite
d’inexactitudes et d’approximations …
Les Ecossais, les Gallois, les Irlandais ne sont pas et n’ont jamais été Anglais; les
Anglais n’ont jamais sombré dans l’absurdité, la sottise de vouloir imposer à ces
peuples une identité qui n’est pas la leur, et qu’ils détestent .. Les Catalans ne sont
pas des Castillans, les Castillans ne sont pas des Catalans .. Les Bretons, les
Alsaciens, les Savoisiens, les Corses, les Niçois ne sont pas Français. En Bretagne,
nombre de personnes qui ont maintenant librement à leur histoire, par la publication
du Livre Bleu de la Bretagne, en 2009 et en 2014 (un classique, défini par un auteur
« une catastrophe pour la France », en raison des révélations qu’il contient), en
arrivent à détester l’identité française; ce que je n’approuve pas, les Français étant
un peuple aussi respectable que le nôtre.
Ce que les Anglais n’ont pas fait – ni même pensé réaliser une telle absurdité -, la
France – prétendue « inventrice » des droits de l’homme – l’a imposé, en violation
des droits les plus élémentaires de la personne humaine. Les dégâts, pour tenter
d’inclure les Nations périphériques dans ses propres limites territoriales et nationales,
c’est à dire pour les dominer et pour écraser leurs cerveaux, sont colossaux.
Le temps de la reddition des comptes est maintenant arrivé ..
Les Nations, sous des noms divers, existent depuis des dizaines de milliers
d’années, probablement davantage. Le droit international a existé de tous temps …. (
Mélennec Savoie, Qu’est-ce qu’une nation ? Et nos publications sur l’histoire des
nations) …
LIRE : MELENNEC, NATION. Ce texte est maintenant publié dans plusieurs pays,
mais non pas en Bretagne, dont les médias sont vendus, c’est à dire achetés, pour la
HONTE de ses habitants.
LOUIS MELENNEC EST INTERDIT DE S’EXPRIMER DANS TOUS LES MERDIAS
BRETONS ET FRANCAIS DU SYSTEME.
BRETONS ET FRANCAIS DU SYSTEME. Mais ses publications politiques se diffusent partout.
Au fait, le site du ministère des armées comptabilise près de 70 Bretons fusillés durant la guerre de 1914/18. Cela fait beaucoup d’hommes par rapport aux autres départements.
LA SHOAH BRETONNE DE 1793 – 1794
LES BRETONS, LA CERVELLE ECRASEE, NE BOUGENT PLUS. Ils sont comme morts.
MAIS d’avoir pu dire la vérité par Internet, NOUS NOUS A VALU DES MILLIONS D’AMIS DANS LE MONDE.
A partir du moment où nos amis Juifs ont appris ce qui s’est passé en Bretagne, sous la férule impitoyable des doigts de l’homme, nous avons pu compter parmi eux de vrais amis, même si certains nous ont rappelé que nos Ducs, eux aussi, eurent parfois – comme toutes les princes de ce temps, hélas , une politique anti-juive. Nous ne pouvons que condamner rétrospectivement ces actes.
L’humanité entière est coupable des crimes atroces commis au cours de l’histoire ; nous assumons notre part de responsabilité.
En quelques phrases, les Juifs ont fait davantage pour nous, que certains « Bretons », qui déversent leur haine dans ce qu’on appelle les « réseaux sociaux ». Ce sont que les héritiers des Staline, des Mao, des Pol Pot : 150 000 millions de victimes.
Voici quatre de ces citations admirables de nos amis Juifs :
HERBERT PAGANI, Juif et fier de l’être : « Les Bretons sont les juifs de la France ».
HAZO NETANEL, Président de l’Association Bretagne-Israël, 2010 : « Je suis toujours avide des leçons d’histoire du docteur Mélennec ….. Que de régressions, de persécutions, de tueries à l’encontre de ce peuple, qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout ! .. Les Juifs ont les mêmes qualités que les Bretons … Vos recherches, qui étaient mises au ban, sont maintenant publiées … »
Gilles-William GOLNADEL, Président d’avocats sans frontières :
« Je suis Juif, et je le revendique sans honte et sans vanité. C’ est bien un génocide, le génocide de la Révolution française … L’incroyable, l’impensable, l’inimaginable est que ce génocide est le fruit de ceux qui prétendaient agir au nom de principes nouveaux, de droits universels : les droits de l’homme. Ce génocide est bien un crime légal … Pourquoi une telle inversion ? Là est le scandale; les bourreaux deviennent des victimes, et les victimes des bourreaux . N’est-ce pas cela que l’on appelle le négationnisme ? L’imprescriptibilité, ce qui est vrai pour l’un, comme pour le génocide des Arméniens, doit être vrai pour les autres … »
SONIA G. présidente de l’ACCIR de Rennes (Association Culturelle et Cultuelle Israélite de Rennes), « Paris se doit de rendre une terre qui ne lui appartient pas. Certes, cette terre n’est pas biblique mais, tout comme Israël, elle relève d’une entité culturelle et religieuse annexée par une force étrangère. »
MARCEL TEXIER, ex-président de Bretons du Monde (OBE), agrégé de l’université : « Vos publications établissent d’une manière aveuglante la légitimité des revendications des Bretons, occultées jusqu’à ce jour par un discours officiel inique. Elles nous confèrent une force morale considérable. Vos travaux ont été insultés ? Laissez glisser les insultes avec mépris. Ils sont maintenant publiés et reconnus. Pensez à Théodore Herzl, le père de l’Etat juif, à qui on jetait des pierres ».
1793. LES ARMEES DE LA LIBERTE EN BRETAGNE : LES NAZIS AVANT LES NAZIS, DAECH AVANT DAECH. LE GENOCIDE BRETON
ET VENDEEN : 1793-1794 : UN MONUMENT HONTEUX DISSIMULE PAR LA FRANCE, LE PAYS AUTOPROCLAME « INVENTEUR DES DROITS DE L’HOMME », LE PAYS QUI A GLORIEUSEMENT « APPORTE AU MONDE LA LIBERTE » (sic!), détruit les langues nationales des peuples brutalement annexés sans leur accord, assassiné des centaines de milliers d’innocents dans des conditions atroces.
LIRE ET DIFFUSER PARTOUT : LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE.
ET QUE LES ALSACIENS S’EXPRIMENT ENFIN : FINIE LA TIMIDITE !!!! NOUS SOMMES AVDES DE VERITE !
Qui a détruit la légende stupide des droits de l’homme?
Louis Mélennec est l’auteur qui a détruit définitivement la légende stupide de l’invention des droits de l’homme par la France. Eric Dupont-Moretti (2020 : « La France n’est plus le pays des droits de l’Homme », déplore Me Eric Dupond-Moretti.
DROITS DE L’HOMME : LES TEXTES DE LOUIS MELENNEC SUR LES …
gouarnamantbreizh.hautetfort.com/archive/2021/08/28/dr…
Rechercher :Qui a détruit la légende stupide des droits de l’homme?