1941 : Affiche francophobe

 « Hinaus mit dem welschen Plunder »

«Dehors ces déchets francophiles » (et germanophobes comme les écrivains Hervé Bazin auteur du livre « les Oberlé » et Hansi).

Pour les Allemands, les welches sont les étrangers de langue latine.

En Alsace, ce sont les habitants des villages francophones du piémont alsacien : Breitenau, Fréland, Lapoutroie, Orbey… ainsi que quelques villages du Haut-Sundgau.

Il faut reconnaitre que cette affiche est excellente. Commandée par le Gauleiter Wagner, elle a été dessinée par un étudiant des Beaux-arts de Strasbourg. C’était un devoir de classe dont le thème était  « Hinaus mit dem welschen Plunder ». L’auteur est toujours resté anonyme, il aurait certainement été fusillé à la Libération.

L’affiche a été plusieurs fois imitée à la Libération dont une par Hansi.

Traduire Schwob par boche  est outrancier même si les alsaciens appellent les allemands Schwob ou Schwowe.

La signification de Schwob ou Schowe, est Souabe. Le duché de Souabe comprenait le sud de l’Allemagne dont l’Alsace et la Suisse germanique. Les spécialités emblématiques du Noël alsaciens sont les Schwowebredele ou biscuits souabes, petits fours à la cannelle en forme d’étoiles et de cœurs.

L’affiche a également été plagiée après la dernière guerre en Allemagne, pour protester contre le Plan Marschall des États-Unis.

L’affiche a été plagiée lors de la disparition de l’Alsace, dissoute dans une entité administrative

 Pour en savoir plus : l’excellent article parue dans le journal l’Alsacehttp://www.lalsace.fr/bas-rhin/2015/03/07/la-vraie-histoire-d-une-affiche-maudite

 

3 commentaires

  1. LE GRAND AMI DE LA BRETAGNE ET DE L’ALSACE : L’ONCLE JEAN-LUC MELENCHON

    Extrait d’une lettre de Louis Mélennec à le héros de la Bretagne, de l’Alsace, et du Tibet :

     » Jean-Luc MELENCHON, héros breton : « Les écoles Diwan sont des sectes ».

    Louis Mélennec à Jean – Luc Mélenchon :

    « Cher Tonton,

    Lorsqu’un homme normal parle, il s’exprime par un organe qui s’appelle la bouche. Lorsque vous parlez des Bretons, vous vous servez d’un orifice qui, chez d’autres, servent à d’autres usages. C’est aussi de cet organe lorsque vous éructez quelques propos sur l’Alsace «

    Aussi stupéfiant que cela paraisse, les injures anti-bretonnes se poursuivent encore. On en trouve des centaines sur la toile.

    En 2007, Mélenchon est l’allié mental des Chinois au Tibet, auteur de théories laudatives sur l’action « civilisatrice » de la Chine au Tibet, vieil empire multinational envahi par les communistes chinois, qui représentent désormais plus de la moitié de la population. S’attribuant à lui-même la qualité de « penseur socyalyste », fustigeant ceux qu’il dénomme répétitivement des « identitaires ethnicistes sournois », des « gens d’extrême droite », tout juste bons à être manipulés – en esclaves qu’ils sont, car « il n’y a pas de nationalisme spontané, seulement des constructions idéologiques élaborées par des « nationalistes qui font campagne ».

    Voici une citation de ce grand penseur socyalyste :

    » Le vocabulaire et la grammaire de la » pseudo-langue bretonne, nommée de cette façon, n’est aucune des cinq langues parlées historiquement, mais une langue unifiée, dont la grammaire et le vocabulaire furent fixés à la demande de l’occupant nazi en 1941 par une plume ensuite condamnée à mort par contumace pour sa collaboration avec les tortionnaires de la Gestapo » (sic!) «.

    Jean-Luc Mélenchon fait-il allusion au brillantissime linguiste – grammairien breton, Roparz Hémon, l’une de nos gloires nationales, dont le seul crime fut de consacrer sa vie à sauver notre langue de la destruction programmée par le pays des droits de l’homme, depuis la géniale révolution universelle de 1789 ?
    Roparz Hémon est sorti libre du tribunal qui voulait le condamner, et a poursuivi son oeuvre à Dublin. Il a fait, avec les autres linguistes, du breton une très belle langue littéraire, qui a produit des chefs-d’oeuvre, dont plusieurs de Youenn Drézen. comme un demi-siècle plus tôt, Ben Yehoudah, réussit à créer une nouvelle langue à partir de l’hébreu ancien.

    Je répète souvent cette phrase admirable de Herbert Pagani : « Les Bretons sont les Juifs de la France ».
    La phrase a été reprise par les Kabyles :

    « Les Kabyles sont les Juifs de l’Algérie ».

    Les Kabyles, en effet, ont subi de leurs envahisseurs arabes les mêmes atrocités que les Bretons de leurs colonisateurs français. Mais personne ne parle de leurs souffrances. Honte à la France ; mais surtout aux Bretons. Je suis l’un des seuls Bretons à avoir tendu la main aux Kabyles. Je connais donc le prix de la lâcheté.

    Une autre « pensée » de Jean-Luc Mélenchon, qui, ennemi des nations, semble avoir changé d’ avis ; ayant lu de meilleurs livres d’histoire que ceux dans
    lesquels il puisait son inspiration autrefois, il a reconnu dans l’un de ses prêches – il aime parler en public -, que les Bretons ont joué un rôle essentiel lors de l’abolition des privilèges de la noblesse et du clergé, et que la célébrissime nuit du 4 août 1789 – la séance la plus célèbre de toute la vie parlementaire -, préparée au club breton, fut présidée par l’avocat rennais Le Chapelier. Ce qui est vrai. Plus douteuse est son affirmation que, lors de la bataille de Valmy, au cours de laquelle les armées françaises repoussèrent leurs ennemis venus de l’Est, les Bretons jouèrent aussi un rôle essentiel. S’il est vrai que les Bretons, politiquement infiniment plus avancés que les Français, ont inspiré nombre de réformes en 1789, ils n’aspiraient qu’à une chose en 1789 : chasser les Français détestés, et redevenir totalement indépendants. En supprimant leurs institutions, et leurs pouvoirs autonomes, les dérangés mentaux de Paris en ont fait des esclaves. Ce qu’ils sont encore aujourd’hui, surtout ceux qui se croient les élites, la crème de la nation.
    Jean-Luc Mélenchon a appris, depuis lors, que la langue bretonne commence à exister plusieurs siècles avant le Christ, et que, selon les éminents linguistes que sont Henriette Walter et Bernard Cerquiglini, la langue française n’est qu’un « patois » qui a réussi, et une langue créole. (Ce qui ne lui enlève pas ses mérites). Pire : selon le linguiste breton Goulven Pennoad, le français est l’idiome le plus minable de toute l’Europe ! Mélenchon ne soupçonnait pas que la langue « unifiée » et trafiquée par excellence est le français. Cette langue n’existe pas encore au douzième siècle, si ce n’est à l’état de fantôme ; elle est normalisée seulement au 17ème siècle, notamment par la création de l’Académie française en 1635 par Richelieu, et par les écrivains qui ont reçu la consigne de la domestiquer, c’est-à-dire de l’appauvrir ; ni qu’en 1789, alors que la France n’est qu’un amas « de peuples inconstitués » (Mirabeau), elle possède au moins trente langues, dont certaines très anciennes et très riches – dont le basque et le breton -, dont les révolutionnaires inaugurent la destruction systématique. En1999, Bernard Cerquiglini dénombre 75 langues minoritaires en France !

    Trois autres pensées socyalystes du génial auteur Mélenchon :

    –  » Le breton est la langue de la collaboration  » (!!!!);

    –  » Les écoles Diwan sont des sectes  » (!!!)
    – Les Bretons n’ont jamais eu de langue : ils n’ont parlé que des patois, au nombre de cinq !!!

    (Extraits du Livre Bleu de Louis Mélennec. A diffuser partout : cela va soulager le monde entier des mensonges et des vantardises de la « république », rétrogradée désormais à sa véritable place : celle des doigts de l’homme. Nos lecteurs ont-ils enfin compris les raisons du combat de Drézen Le Gonidec, Roparz Hémon ? Savez-vous que ce pays m’a inscrit pendant 20 ans sur une liste noire, pour m’empêcher de parler ????? Mes pires ennemis n’ont pas été les Français, mais les communistes et les socialistes bretons !!!! Des MALADES ! Ce sont eux qui ont vendu Nantes à la France en 2014, et voulu emprisonner l’Alsace dans cette ridicule entité appelée GRAND EST !

    Une place majuscule est réservée en Bretagne à la monumentale statue au savant Mélenchon dans la vallée des Saints. Elle sera taillée dans un immense bloc en granit rose. N’y voyez aucune allusion malveillante ! Honni soit qui mal y pince !)

    BIBLIOGRAPHIE
    Cerquiglini Bernard, Les langues de la France, rapport publié sur la toile.

    Hagège Claude, Halte à la mort des langues, page 217, Paris 2000, éditions Odile Jacob.
    Le Du Claude (Kloa an Du), Histoire d’un interdit à l’école, Hor Yezh, 2000. Ouvrage majeur sur les persécutions des petits bretons à l’école, sous l’influence de la France.
    Mélennec Louis, Nombreux articles sur les langues (plus de cinquante).
    Mélennec Louis, L’oeuvre civilisatrice de la France en Bretagne.
    Mélennec Louis, Droits de l’homme.
    Morvan Françoise, Le monde comme si. Une collection de sottises.
    Pennoad Goulven, Correspondances sur la langue bretonne avec Louis Mélennec.

    1. « Les Bretons sont les Juifs de la France ». Eh oui ! Après la dernière guerre les écoliers bretons et alsaciens devaient porter un signe infamant pour avoir parlé leurs langues maternelle à l’école. Je n’ai pas eu ce problème, j’étais le premier francophone monolingue d’une famille de germanophones. Impossible de communiquer avec certains qui ne comprenaient pas le français. Les fêtes de famille étaient sinistres, impossible de comprendre les joyeux anciens. Il ne restait qu’à bêtifier avec les plus jeunes. L’État à semé la zizanie dans ma famille.

  2. PRÉFACE DU LIVRE BLEU
    10/07/2015 13:46
    Le livre bleu de la Bretagne
    HISTOIRE
    ABREGEE DE
    LA BRETAGNE
    Charte pour une Bretagne
    indépendante et souveraine
    Edité par l’Association Bretonne de Culture,
    2009 et 2013
    B.P. n°3 (56770) PLOURAY

    MEMOIRE PRESENTE AU NOM DES BRETONS A BRUXELLES,
    au Congrès de la FUEN, en septembre 2009,
    destiné aux Instances Internationales, en vue de la reconnaissance d’un statut conforme
    aux droits élémentaires des Peuples, tels qu’ils sont reconnus par le Droit international.

    Coordinateur : Louis MELENNEC, docteur en droit et en médecine, diplômé d’études supérieures de droit
    public, de droit privé, de sciences criminelles, diplômé d’études approfondies en histoire, Ex-Consultant près le
    Médiateur de la république française.
    COMMENT LA BRETAGNE
    A ETE ENVAHIE, DETRUITE,
    COLONISEE PAR LA FRANCE.

    QUELQUES CITATIONS INTRODUCTIVES POUR BIEN COMPRENDRE L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE ET LE DESTIN QUE LES BRETONS SOUHAITENT POUR LEUR NATION.

    – Michel ROCARD, ancien premier ministre de François MITTERRAND, confidence révélée par WIKILEAKS, faite en 2005 à l’ambassadeur des Etats-Unis
    en France, M. Craig STAPLETON :
    « La France s’est construite sur la destruction de cinq cultures : les cultures bretonne, occitane, alsacienne, corse, flamande … La France est une création militaire, faite de nations non homogènes ».

    – Arnaud LEPARMENTIER, journal le Monde,
    15 novembre 2012, page 28 : « Le temps n’est plus où l’on pouvait hispaniser la Catalogne, comme la troisième république a francisé, avec son armée et ses instituteurs, la Bretagne et le midi de la France ».

    – Louis MELENNEC, docteur en droit, Ex-Consultant près le Médiateur de la République française :
    En droit international, la Bretagne n’est en aucun cas une partie de la France, pas davantage une
    « province » du pays autoproclamé « des droits de l’homme ».
    Envahie, détruite, soumise, pillée de ses finances, de ses hommes, des ses talents, la Bretagne est et reste, au regard des Principes généraux du droit et du droit international, une colonie, c’est à dire un pays occupé.
    L’occupation d’un pays par la force, même de longs siècles après son invasion, ne crée aucun droit au bénéfice de l’envahisseur.
    L’ONU vient de le rappeler, sous la forme d’une flagellation administrée à la France : ce pays est une puissance coloniale dans les îles de Polynésie, son seul droit dans ces territoires est de les évacuer. La prescription n’existant pas en matière de crimes contre l’humanité, il ne reste à sa charge que l’obligation de réparer les dégâts colossaux commis. La présence de la France en Bretagne relève des mêmes principes, car le droit est le même pour
    tous, et la force est le contraire du droit.

    – MORVAN LEBESQUE, Comment peut-on être breton ? Paris, 1970, éditions du Seuil, pages 43, 50, 51 :
    « L’enfer est privation d’histoire… Extravagante imposture : il faut qu’un Breton quitte l’école pour apprendre l’histoire de son pays… Pour s’en informer,
    il devra l’étudier en marge, à ses frais, comme s’il s’intéressait par goût personnel aux Indiens ou aux Hittites…
    On m’a bêtement menti, on m’a traité comme un enfant de l’Assistance publique. Lorsque, malgré tout, j’ai su que ma nation avait existé, on me l’a dépeinte (comme) une mégère arriérée et patoisante, dont je devais m’estimer heureux d’avoir été séparé ».

    – HAZO NETANEL, Président de l’Association Bretagne-Israël, 2010 :
    « Je suis toujours avide des leçons d’histoire du docteur Mélennec. Que de régressions, de persécutions, de tueries
    perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout. La pugnacité, l’opiniâtreté ne sont pas de vains mots pour désigner les Bretons. Les Juifs ont les mêmes qualités. Vos écrits rejoignent mes réflexions sur les peuples Juif et Breton…
    Le peuple Breton sort de cette léthargie, de ce confort d’esclave ou tout est mis à sa disposition par la déesse raison, pour mieux l’étouffer. Le chemin
    sera long encore jusqu’à l’indépendance mais c’est inéluctable.

    La France est en faillite morale, intellectuelle, elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent… C’est une chance pour les peuples premiers de France.
    Les nouveaux médias changent la donne. Vos recherches qui étaient mises au ban, sont maintenant publiées. »

    – MARCEL TEXIER, ex-Président de l’OBE (Bretons du Monde).
    « Vous faites oeuvre de salubrité publique, docteur Mélennec.
    La Bretagne a été incorporée à la France à la suite d’une succession de crimes et d’opérations frauduleuses, pires : crapuleuses. Les invasions françaises de la fin du 15ème siècle ont scandalisé les contemporains. Toute l’Europe s’était alliée pour soutenir les Bretons dans leur lutte patriotique
    pour défendre leur pays, tous les pays alliés envoyèrent des troupes en Bretagne : les Anglais, les Allemands, les Castillans et les Aragonais, les Gascons étaient présents aux côtés de nos soldats, sous les ordres de nos généraux…
    L’invasion de la Bretagne par la France fut condamnée dans des termes péremptoires par toute l’Europe, personne ne soutînt les Français.
    Le texte connu sous le nom « d’Edit d’Union », publié unilatéralement par la France, en août 1532, présenté comme un traité jusqu’à vos travaux de juriste et d’historien, c’est- à-dire comme un accord bilatéral conclu par deux puissances souveraines, ne fut rien d’autre qu’un tour de passe-passe juridique, initié et perpétré par la France seule : jamais les Bretons n’ont été consultés sur leur sort, ils n’ont ni négocié, ni participé à la rédaction
    de ce texte, ils ne l’ont pas paraphé, il a été publié unilatéralement sans vote de leur part, par la France seule. L’hostilité des Bretons à l’égard des Français, leurs ennemis héréditaires, – leur haine plutôt, car la France préparait ouvertement l’invasion de la Bretagne depuis longtemps -, était millénaire, remontant au VIème siècle. De nombreuses guerres ont opposé les deux pays ; la perspective pour les Bretons d’être
    gouvernés par un roi Français, par un prince détesté, était la catastrophe qu’ils redoutaient le plus.
    En 1532, Bretagne a été annexée contre son gré : les Bretons avaient le canon dans le dos, et, depuis les invasions de 1491, ne possédaient plus d’armée pour chasser leur ennemi : voilà toute la vérité. Merci de l’avoir dite, et de l’avoir démontrée d’une manière irréfutable. (Personne n’a tenté de
    réfuter vos recherches, d’ailleurs).
    Pas davantage les Bretons n’ont accepté, en 1789, que leurs institutions autonomes ni leurs lois particulières soient supprimées, ni, durant tout le XIXème siècle, que leur langue et leur culture soient persécutées, encore moins qu’ils soient gouvernés par des étrangers, décorés du nom de « préfets», gouverneurs exclusivement nommés par la France. Si la France est toujours présente en Bretagne, c’est par l’effet de la force, non du droit. Au regard du
    droit international, le prétendu traité de 1532, ironiquement baptisé « d’union perpétuelle de la France et de la Bretagne», étant nul de nullité absolue, la Bretagne est juridiquement indépendante. L’ONU vient de rappeler que la France n’est présente dans les îles de Polynésie, que par le fait d’une colonisation : la situation est la même en Bretagne.
    Vos publications établissent d’une manière aveuglante la légitimité des revendications des Bretons, occultées jusqu’à ce jour par un discours officiel inique. Ils nous confèrent UNE FORCE MORALE CONSIDERABLE.
    Vos travaux ont été insultés ? Laissez glisser les insultes avec mépris. Attendiez vous autre chose après tant de siècles de falsification de la vérité
    historique ? Ils sont maintenant publiés et reconnus.
    Pensez à Théodore HERZL, le père de l’Etat juif, à qui on jetait des pierres ».
    Marcel TEXIER, Agrégé de l’Université, ex-Président
    de l’OBE (actuellement Bretons du monde).

    En savoir plus : https://bretagne-culture-histoire.webnode.fr/news/preface-du-livre-bleu/

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