25mai 1794 : Rapport de l’abbé Grégoire sur la nécessité et les moyens d’anéantir les patois et d’universaliser la langue française.
A la Révolution, plus de 6 millions de Français ne comprennent pas du tout le français, 3 millions le parlent convenablement, soit 10% de la population. Le français est surtout parlé en ville et par les gens aisés. Pour l’abbé Grégoire, il n’existe qu’une seule langue : le français. Les autres langues sont qualifiées de patois, de jargons ou d’idiomes dégénérés.
« Il n’y a qu’environ quinze départements de l’intérieur où la langue française est exclusivement parlée. Encore y éprouve-elle des altérations sensibles, soit dans la prononciation, soit par l’emploi de termes impropres et surannés…
Au nombre des patois, on doit placer encore l’italien de la Corse, des Alpes-Maritimes, et l’allemand des Haut et Bas-Rhin, parce que ces deux idiomes y sont très dégénérés.
Enfin les Nègres de nos colonies, dont vous avez fait des hommes, ont une espèce d’idiome pauvre comme celui des Hottentots, comme la langue franque, qui, dans tous les verbes ne connaît guère que l’infinitif.
C’est surtout vers nos frontières que les dialectes communs aux peuples des limites opposées, établissent avec nos ennemis des relations dangereuses, tandis que dans l’étendue de la République tant de jargons sont autant de barrières qui gênent les mouvements du commerce.
Le 14 janvier 1790, l’Assemblée constituante ordonna de traduire ses décrets en dialectes vulgaires…
Cependant, j’observerai que, si cette traduction est utile, il est un terme où cette mesure doit cesser, car ce serait prolonger l’existence de dialectes que nous voulons proscrire ».
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Similaire
10 commentaires
LOUIS MELENNEC
Il est très important que vous publiez les HORREURS dont vous avez été victimes de la part de la France.
Cela donne crédit à ce que j’ai écrit DEPUIS 1975 !
Vous ne pouvez imaginer les injures que j’ai subies depuis cette époque !!!!
De la part de QUI ? de la part des BRETONS, bien sûr !
L’ASSASSINAT D’UNE NATION : UN DES CRIMES LES PLUS GRAVES ….
Louis MELENNEC
L’assassinat d’une nation, et de son corollaire, l’identité nationale, est l’un des pires crimes que les êtres humains puissent commettre.
Tuer une nation, c’est assassiner dans sa totalité une très vaste et très vieille famille, celle de tout un peuple partageant la même identité, la même culture, les mêmes valeurs, et la même foi dans cette identité depuis des siècles, souvent davantage.
Les manoeuvres d’extirpation de cette identité des cerveaux triturés sont affreusement douloureuses, humiliantes, psychiatrisantes pendant des générations.
Les Bretons en témoignent, moi en particulier.
Il n’est que de penser à l’oeuvre « civilisatrice » des Espagnols en Amérique centrale et en Amérique du sud, à l’oeuvre « civilisatrice » des colons anglais en Amérique du nord, à celle des Chinois au Tibet. Dans ce genre particulier de destruction des peuples et de leur identité, pour réussir l’exploit, il faut y mettre une perversité singulière, qui relève de la pathologie mentale des nations.
La France est en voie d’être assassinée par ceux qui se sont emparés du pouvoir, par ceux que l’on sait.
Si les Français rétablissent la peine de mort – ce dont il est beaucoup question dans les sondages -, le problème sera posé de l’appliquer.
WIKIPEDIA : LE SCANDALE : LES TRAFICS OPERES SUR LA BIOGRAPHIE de Louis Mélennec, dit « le bon docteur ». LA DICTATURE EST DEJA EN PLACE EN FRANCE (Article publié en 2015).
LA FRANCE, VIEILLE ET CHIASSEUSE.
@@@@@@@@@@@@@@@@@@
Dans mon enfance, les nationalistes bretons étaient considérés comme des traîtres. La France, pays nationaliste furieux, pire : FURIBOND – avait réussi cet exploit de donner de ces gens là cette vision hyperpéjorative : que tous les nationalistes Bretons étaient des criminels, dignes de la peine de mort.
La France était enseignée aux élèves des écoles comme une déesse. Jules Michelet s’est couvert de ridicule en écrivant qu’elle doit être enseignée COMME UNE RELIGION ! Aujourd’hui, il suffit de contempler côte à côte les visages de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault , pour être saisi de malaise, et pour comprendre à quel point les jeunes Français et les jeunes Bretons ont été abusés. Comment a-t-on pu placer à la tête de l’Etat ces deux personnes ? D’y penser : les tripes abdominales se serrent.
On sait maintenant que les massacres de Nantes et de Loire Atlantique ont servi de modèle à Lénine, à Staline, à Mao. A Daesh surtout : têtes coupées, enfants transpercés par des baïonnettes, et tronçonnés en morceaux, personnes vivantes jetées dans des fours et dans des puits, femmes enceintes écrasées sous des pressoirs à raisin, ou le ventre ouvert pour y mettre de l’avoine pour les chevaux … – préfigurant les fours crématoires et autres horreurs …
Devenue vieille et chiasseuse, la France, qui pourrait encore être un grand pays, dont la population accueille avec générosité des millions d’immigrés, fait caca dans sa culotte, et fait pipi dans son caleçon. Devenue gâteuse, elle continue à se prendre pour le professeur de morale du monde. Mais tout cela est révolu. Les Français, angoissés, se demandent, en regardant avec consternation sa classe politique : « Comment a t-on pu tomber si bas ? »
L’aveu du génocide britto-vendéen se prépare. Il n’est plus possible de tricher et de mentir : le monde entier est maintenant au courant. Bretons, ne vous laissez pas prendre par cette pantalonnade : DEMANDEZ DES COMPTES AU PAYS DES DROITS DE L’HOMME, et surtout à ses complices !
Luc FERRY vient de reconnaître le génocide britto-vendéen. C’est trop tard : que voulez vous, on n’a que l’intelligence qu’on a. Messieurs Hollande, Ayrault, Valls, bien d’autres encore sont en possession du Livre Bleu …. ILS L’ONT LU, il a été diffusé dans de nombreux pays.
LECTURES :
– Biographie de Louis Mélennec non salopée par Wikipédia.
– Tous les Livres de Reynald SECHER consacrés au génocide britto-vendéen.
– Tous les articles de Louis MELENNEC sur les SHOAHS BRETONNES.
A MADAME LE PROFESSEUR Henriette WALTER, linguiste.
HENRIETTE WALTER,
Professeur honoraire de linguistique à l’université de Haute-Bretagne
Ex. Directeur du Laboratoire de Phonologie EPHE (4ème Section), Paris
Présidente de la Société Internationale de Linguistique Fonctionnelle
Membre du Conseil Supérieur de la langue française
Membre du Conseil International de la Langue Française
Officier de la Légion d’Honneur
Commandeur des Arts et Lettres
Chère madame,
@@@@@@@@@@@@@@
Vos ouvrages sur les langues, qui font autorité, m’ont beaucoup apporté. Je vous l’ai dit au cours de conversations téléphoniques antérieures, et je le souligne encore, comme vous étant redevable. Je ne suis pas comme ces jeunes « sçavants », qu’on a accoutumé à croire qu’ils peuvent extraire de leur maigre substance cérébrale tout leur savoir, alors qu’il ne connaissent pas même l’orthographe, et qui font la leçon aux professeurs les plus doctes, avec quelle agressivité encore ! A mon âge, je suis toujours heureux de me mettre à l’école de ceux qui en savent plus que moi, et de les remercier de vouloir bien m’instruire.
Au cours de mes conférences et de mes émissions consacrées aux langues (dans Google : mélennec langues), j’ai souvent cité, nous qui avons tellement souffert de persécutions, et d’un lavage de cerveau absolu concernant nos origines, votre phrase maintenant bien connue de nombreux bretons :
« Le français n’est rien d’autre qu’un patois qui a réussi ».
Rien n’est plus exact. Si la langue francilienne, celle de la région de Paris, a été peu à peu imposée par les Capet, devenus rois de France en 987, c’est parce qu’ils en ont fait leur langue administrative pour tout leur royaume, ce qui était naturel, de leur point de vue. Ce royaume s’étant étendu au fil des siècles – aux dépens de ses voisins, souvent par la violence et la violation du droit -, le français est devenu la langue des élites. Ce à quoi il n’y a rien à dire, car c’est un processus mondial de la propagation des langues. La géniale révolution dite « des droits de l’homme », a achevé l’oeuvre des capétiens. Les capétiens étaient des administrateurs, soucieux de mettre à la disposition des régnicoles une langue administrative unique, permettant aux uns et aux autres de se comprendre. Leur volonté n’allait pas au delà. Presque tous les rois de France, à de rares exceptions près, ont essayé de se comporter en bons pères de famille, expression chère au code civil. Aucun d’eux n’a commis de crime ni contre les nations, considérées en tant que telles, qui composaient leur royaume, ni les langues parlées par leurs sujets, et ceux administrés par eux.
En 1789, les Bretons revendiquaient avec fierté leur nationalité bretonne, sans que cela gène personne.
Les cinglés de 1789 achevèrent le travail de progression naturelle de la langue administrative, mais cette fois sur le mode criminel. Idéologues de la même trempe que Pol POT, ils assassinèrent les langues locales, rabaissées par eux par des appellations infamantes et humiliantes : patois, jargons, langues des cavernes, etc … Munis d’un gourdin, ces autres patoisants, au nom de leurs délires, mirent à mort les vieilles langues, plus anciennes et plus nobles que les leurs.
Nous, Bretons, sommes devenus des experts pour parler de ces persécutions. Des génies comme M. Jean-Luc Mélenchon utiliseraient volontiers la terminologie des délirants de 1789, si on les laissait faire. Des sénateurs bretons ont voté contre la langue de leurs pères il y a peu d’années : c’est dire que nous ne sommes pas beaucoup mieux.
(NB. Cherchez leurs noms dans Internet; ne manquez pas, si vous les croisez sur votre chemin, de leur jeter ce bon souvenir au visage).
La langue française ne comporte aucune qualité particulière, qui la rendrait supérieure aux autres; nous sommes nombreux à l’avoir écrit, et à l’avoir démontré (écouter mon émission sur Lumière 101, intitulée « Le bêtisier des langues », consacrée entièrement à ce thème, après des années de réflexions et de recherche en linguistique). Un linguiste breton, rejeté par la bien-pensance française et bretonne, mais génial – non pas parce qu’il est breton, mais parce qu’il est génial -, m’ a écrit, longues preuves à l’appui : « Le français est l’idiome le plus minable d’Europe ». Je n’ai aucune qualité pour confirmer cette opinion, ne parlant correctement qu’une seule langue, celle du colonisateur; mais je suis sûr qu’elle contribuera à panser quelques plaies encore béantes en Bretagne, et qu’elle va susciter de nombreuses réflexions bénéfiques.
Cela remet les choses à leur juste place, et rabattra le caquet de quelques ignares. (Je ne pense pas seulement à ceux qui opèrent dans Wikipédia !).
Le ton de mon livre bleu, que vous me dites avoir reçu – en même temps que le texte de l’article « Comment les Bretons sont devenus français » -, est parfois violent, c’est vrai. Mais justifié. Vous en jugerez à partir de la page 55 de l’ouvrage. Comme les Juifs et les Arméniens, nous portons dans notre esprit ces blessures jamais cicatrisées : l’oeuvre « civilisatrice » immortelle de la France est toujours là, puisque notre langue bi-millénaire est quasi morte, des oeuvres du pays des droits de l’homme.
Ce livre a été téléchargé plus de 200 000 fois. La France « démocratique » fait semblant de l’ignorer : peine perdue : tous les députés, tous les sénateurs, le président de la république, le premier ministres, un grand nombre de journalistes, l’on reçu, et lu. Il fut même, je le rappelle, à peine sorti des presses, commandé en deux exemplaires, (ce « deux » étant souligné dans la lettre manuscrite émanant de l’Hôtel Matignon, sur papier à en-tête de la République des droits de l’homme) : tout le monde sait, tout le monde se tait, sûrement par honte.
Au plan linguistique, la France peut invoquer, parmi d’autres calamités, la destruction de civilisations entières, un véritable désastre culturel. Le monde entier sait que les langues sont des joyaux, qu’il faut préserver à tout prix; la France, mère des arts, des armes et des lois, ne le savait pas. Excusez du peu. M. Mélenchon non plus.
Je vous redis ma conviction sur ce que l’on nomme « la langue gauloise ».
A mon avis, elle n’a jamais existé.
César dénombre plusieurs dizaines de nations dans la Gaule, avec des moeurs, des coutumes, des dieux souvent différents, des monnaies différentes … Les constitutions de ces petits états gaulois sont très différentes les unes des autres. Il n’y a ni souverain gaulois, ni gouvernement unique, ni législation unique, ni administration, ni fiscalité uniforme..
Il y a bien une civilisation celte. Mais la langue ?
SE PEUT-IL QU’IL Y AIT UNE LANGUE UNIQUE, là où, au moment du serment de Strasbourg, en 843, non seulement il n’y a pas de langue unique, mais on ne sait pas même dans quel idiome ce texte est écrit. Mieux : en 1789, seulement 20 pour cent des habitants du royaume parlent le langage de la Cour; on dénombre alors en France 30 langues locales !
MIEUX ENCORE : dans mon enfance, en 1950, après quatre siècles et demi de colonisation française, un siècle et demi après la mise en oeuvre systématique de la destruction de notre langue, beaucoup de vieux bretons étaient unilingues, et ne connaissaient rien de la langue française ! C’était le cas de mes deux grands parents maternels : je suis donc témoin irréfutable que plus de quatre siècles de colonisation très dure sur l’étendue d’un royaume centralisé, même avec des techniques terribles de répression mentale, ne créent pas une langue unique, loin de là.
Jugez de ce que fut la tour de Babel gauloise ! Et ce que pouvait être le français, qualifié par les cinglés de Paris de « langue universelle », de langue « parlée par tous les peuples civilisés d’Europe et d’ailleurs » !
Se peut-il qu’il y ait eu, 2000 ans auparavant une « langue gauloise » unique, dans ce salmigondis de peuples et de cultures, même s’il est vrai qu’ils ont partagé en commun quelques traits de civilisation, qui donne de loin une image en trompe-l’oeil ? C’est, de mon point de vue, impossible.
Voila un beau sujet de thèse. Je crois que des centaines de tonnes de littérature doivent être jetées au bûcher.
Je serai ravi de détruire un nouveau mythe.
D’ailleurs : PERSONNE N’A JAMAIS VU LA COULEUR DE LA LANGUE GAULOISE. On cite tout au plus quelques mots de cette prétendue langue, qui ne laisse aucune trace littéraire nulle part. Quelques bribes existent, quelques inscriptions, ici ou là, c’est vrai. Mais je crois que nos savants linguistes ont construit des pyramides d’incertitudes et d’hypothèses, par cette même opération intellectuelle qui fait que d’autres « sçavants » ont reconstitué des civilisations entières à partir de trois ou quatre pierres découvertes dans un désert, comme d’autres ont reconstitué des villes englouties à partir de cinq ou six rochers aux contours anguleux, évoquant de loin des constructions humaines. Moins on sait, plus sont épais les livres écrits sur ce qu’on ne sait pas.
J’adresse cette lettre à plusieurs personnes qualifiées en linguistique. Il serait intéressant de connaître leur avis. Et nous nous fierons à des arguments, s’ils sont sérieux, voire irréfutables.
Respectueusement.
LOUIS MELENNEC, historien. A Paris, ce 26 juin 2015.
Les droits de l’homme sont une lente conquête de l’humanité, EN AUCUN
CAS L’OEUVRE DE LA FRANCE.
Chaque grande civilisation, chaque grand pays, chaque grande nation a
apporté sa contribution à l’élaboration de ce monument aujourd’hui très
riche.
D’après les textes retrouvés, les premiers écrits sur les droits de l’homme
sont censés remonter à Hammurabi, roi de Babylone en 1800 avant Jésus
Christ.
Puis, on cite Cyrus le Grand, au sixième siècle avant le Christ, dont l’apport
est considérable, car il établit dans son Empire la liberté de culte, de
circulation, et interdit l’oppression des êtres humains.
Les sociétés bretonnes – dont je suis issu – reconnaissent l’égalité de la
femme et de l’homme avant la naissance du Christ : d’où notre très large
avance sur les Français, qui eux ont recueilli, après la chute de l’empire
romain, l’héritage de quasi sauvages : les Francs.
La doctrine du Christ est le grand tournant de l’humanité dans le respect dû
à la personne humaine. La civilisation occidentale a recueilli cet héritage
magnifique. C’est sous l’effet de cette religion que la femme reconquiert
peu à peu des droits qui se complètent au fil des siècles. (Ce qui est loin
d’être le cas dans les civilisations islamiques).
Au moyen âge, on cite les Anglais comme étant les plus avancés : la
Grande Charte (1215), le Bill of Rights (1689), l’habeas corpus (1679). Ces
textes garantissent certains droits individuels, en avance sur nombre de
nations de la même époque, notamment en matière de justice et de
fiscalité.
La déclaration d’indépendance des Etats Unis d’Amérique, énonce à son
tour un certain nombre de droits de l’homme, en 1776. Ce texte a un grand
retentissement.
La célèbre « Déclaration universelle des droits de l’homme », publiée en
France le 26 août 1789 est une COPIE et une synthèse de ce qui a été fait
ailleurs, en aucun cas une oeuvre originale. Elle n’a d’ailleurs aucune force
obligatoire : c’est un texte philosophique, rien d’autre. Malgré cela, ce pays
arrogant et agressif se flatte d’avoir, jusqu’à aujourd’hui – voir mes travaux
en particulier -, avec d’autres fantaisies, « inventé » les droits de l’homme !!!
Et, entre autres choses, la langue universelle, digne comme telle d’être
parlée par TOUS les êtres humains. Ni plus, ni moins !!!!
Dans les écoles françaises, on enseigne encore ces légendes. Ainsi, petits esclaves
Bretons depuis l’inénarrable « révolution » de 1789, qui nous a privés
de tous nos droits et de toutes nos libertés, avons nous appris ces sottises,
sous la férule du pays voisin, qui nous a annexé malgré nous en 1532, et
esclavagisés en 1789.
En réalité, la France est une grande violatrice des droits de l’homme, ainsi
qu’ un pays corrompu. (23ème rang dans le monde, ce qui n’est pas
glorieux; cela la met au même niveau que l’Uruguay et les Emirats Arabes
Unis).
S’agissant des droits de la femme, qui est l’un des critères du niveau
civilisationnel d’une nation, les Bretons reconnaissent l’égalité des sexes
avant le Christ. La France n’a pas encore atteint ce niveau, qu’elle s’efforce
d’atteindre par des lois qu’elle ne parvient pas à faire appliquer. Le droit de
vote ne leur a été accordé qu’en 1944. Elle a donc, sur ce point, 2000 ans
de retard par rapport à notre civilisation.
Nous avons imaginé un concept
qui est largement répandu : la France n’est pas le pays des droits de
l’homme, mais LE PAYS DES NON-DROITS DE L’HOMME. Ce qui
commence à être reconnu partout, y compris en France.
Nous allons faire traduire ce texte en plusieurs langues : la sottise des
vantards agace des millions de personnes dans le monde.
LOUIS MELENNEC, DOCTEUR EN DROIT ET EN MEDECINE,
HISTORIEN.
A diffuser dans le monde entier : En fessant d’abondance ces prétentieux, vous allez faire un plaisir IMMENSE à des millions d’être humains.
Je suis désolé de vous contredire : NON, l’abbé Grégoire n’est pas l’auteur de l’article premier de la prétendue déclaration universelle des droits de l’homme de 1789, qui proclame l’égalité des êtres humains entre eux. Cette déclaration n’est qu’une COPIE, qui ne diffère en rien des précédents textes publiés par les Etats Unis, bien avant la prétendue révolution de 1789, et par d’autres pays – dont la Bretagne (A. LE MOY, Remontrances du Parlement de Bretagne au 18ème siècle, Paris 1909).
Si vous voulez en savoir plus sur les Droits de l’homme, lisez dans Internet : MELENNEC DROITS DE L’HOMME. Vous allez apprendre que non seulement la France n’est pour rien dans l’invention des droits de l’homme, MAIS QU’ELLE LES A FAIT REGRESSER !
Mais soyez fière de votre compatriote, la grande historienne alsacienne Suzanne CITRON – GRUMBACH, qui a joué un rôle très important dans l’anéantissement des mensonges français. J’ai apporté moi-même à ce débat une contribution importante, et suis considéré comme un spécialiste de cet important problème. Ce pourquoi notre très chère soeur la France m’a placé dans une chambre noire pendant vingt ans (un cul de basse – fosse médiatique), soutenue par un certain nombre d’esclaves bretons, dont les noms sont bien connus, et par les principaux merdias, grassement payés pour cela.
—————————————–
(Article publié en 2020) :
LA FRANCE A MENTI, ET CONTINUE A LE FAIRE, d’une
manière honteuse.
NOUS LE SAVONS TOUS. Voici un résumé de la situation ignoble, que
madame Suzanne CITRON, agrégée, docteur en histoire, alsacienne, a contribué à révéler aux Français dans son ouvrage majeur LE MYTHE NATIONAL (Paris 1987) :
» (Après la » révolution » de 1789, pendant le 19 ème siècle), les Pères de la République
(française), imprégnés d’une RELIGION DE LA FRANCE, ASSIGNERENT à
l’enseignement de l’histoire un objectif PATRIOTIQUE : à tous les enfants du pays,
majoritairement issus des villages ruraux AUX MILLE PARLERS, seraient inculqués
l’amour d’une PATRIE UNE ET INDIVISIBLE, et la foi en la SUPERIORITE DE LA
FRANCE. L’historien Ernest LAVISSE fixa, pour les écoles, un texte du passé, organisé
autour d’une FRANCE SANS COMMENCEMENT, incarnée dans une Gaule mythique,
d’une succession de guerres ET DE CONQUETES LICITES, puisqu’ils construisaient UNE
PATRIE PREEXISTANT A SA FORMATION. Les abus de pouvoir servant la grandeur et
l’unité de L’ETAT ETAIENT LEGITIMES « .
C’est ainsi que les Bretons et les Alsaciens, fourrés dans le même sac, le sac « gaulois », censé être le précurseur de la France !!!!
Suzanne CITRON, maintes fois citée comme un auteur de référence – est accessible, par la
simplicité de son style et la clarté de ses propos, même aux ignares baveurs bretons qui
opèrent dans les blogs -, Le MYTHE NATIONAL, Editions ouvrières, Paris page 15, Paris,
1987).
Ce fut aussi mon travail pour la Bretagne, pas seulement pour la France. Pendant 40 ans.
Résultat : je suis exclu TOTALEMENT de tous les merdias, depuis vingt ans. Pas seulement français.
Les pires ont été mes compatriotes Bretons, les députeux et les sénateux, les docteurs et les agrégés !!! Quelle honte, quel désastre ! (Il est vrai que certains portent un chapeau rond, comme le dit la chanson. Et le chapeau rond, à force de chauffer la tête, finit par liquéfier se qu’il y a dedans.
JoeyStarr capable de réciter, lors d’un même spectacle, le grand Aimé Césaire et le sinistre Abbé Grégoire, ennemi assumé de la diversité, qui préconisait sans vergogne l’anéantissement, la destruction méthodique de nos langues et cultures minoritaires autochtones occitane, catalane, alsacienne, bretonne, corse, basque, apitane et flamande, qu’il jugeait dégénérées ! Une idéologie soft-colonisatrice, assimilationniste, centralisatrice et impérialiste qui perdure depuis plus de deux cents ans (une exception en Europe) ! Comment peut-on être aussi contradictoire ?!!
le cher Abbé Grégoire qui nous traite de dégénérés de la langue et dit que les Nègres qui ont élevés au rang des hommes… est aussi l’auteur du premier article de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen….
.
LOUIS MELENNEC
Il est très important que vous publiez les HORREURS dont vous avez été victimes de la part de la France.
Cela donne crédit à ce que j’ai écrit DEPUIS 1975 !
Vous ne pouvez imaginer les injures que j’ai subies depuis cette époque !!!!
De la part de QUI ? de la part des BRETONS, bien sûr !
L’ASSASSINAT D’UNE NATION : UN DES CRIMES LES PLUS GRAVES ….
Louis MELENNEC
L’assassinat d’une nation, et de son corollaire, l’identité nationale, est l’un des pires crimes que les êtres humains puissent commettre.
Tuer une nation, c’est assassiner dans sa totalité une très vaste et très vieille famille, celle de tout un peuple partageant la même identité, la même culture, les mêmes valeurs, et la même foi dans cette identité depuis des siècles, souvent davantage.
Les manoeuvres d’extirpation de cette identité des cerveaux triturés sont affreusement douloureuses, humiliantes, psychiatrisantes pendant des générations.
Les Bretons en témoignent, moi en particulier.
Il n’est que de penser à l’oeuvre « civilisatrice » des Espagnols en Amérique centrale et en Amérique du sud, à l’oeuvre « civilisatrice » des colons anglais en Amérique du nord, à celle des Chinois au Tibet. Dans ce genre particulier de destruction des peuples et de leur identité, pour réussir l’exploit, il faut y mettre une perversité singulière, qui relève de la pathologie mentale des nations.
La France est en voie d’être assassinée par ceux qui se sont emparés du pouvoir, par ceux que l’on sait.
Si les Français rétablissent la peine de mort – ce dont il est beaucoup question dans les sondages -, le problème sera posé de l’appliquer.
Dr LOUIS MELENNEC
WIKIPEDIA : LE SCANDALE : LES TRAFICS OPERES SUR LA BIOGRAPHIE de Louis Mélennec, dit « le bon docteur ». LA DICTATURE EST DEJA EN PLACE EN FRANCE (Article publié en 2015).
LA FRANCE, VIEILLE ET CHIASSEUSE.
@@@@@@@@@@@@@@@@@@
Dans mon enfance, les nationalistes bretons étaient considérés comme des traîtres. La France, pays nationaliste furieux, pire : FURIBOND – avait réussi cet exploit de donner de ces gens là cette vision hyperpéjorative : que tous les nationalistes Bretons étaient des criminels, dignes de la peine de mort.
La France était enseignée aux élèves des écoles comme une déesse. Jules Michelet s’est couvert de ridicule en écrivant qu’elle doit être enseignée COMME UNE RELIGION ! Aujourd’hui, il suffit de contempler côte à côte les visages de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault , pour être saisi de malaise, et pour comprendre à quel point les jeunes Français et les jeunes Bretons ont été abusés. Comment a-t-on pu placer à la tête de l’Etat ces deux personnes ? D’y penser : les tripes abdominales se serrent.
On sait maintenant que les massacres de Nantes et de Loire Atlantique ont servi de modèle à Lénine, à Staline, à Mao. A Daesh surtout : têtes coupées, enfants transpercés par des baïonnettes, et tronçonnés en morceaux, personnes vivantes jetées dans des fours et dans des puits, femmes enceintes écrasées sous des pressoirs à raisin, ou le ventre ouvert pour y mettre de l’avoine pour les chevaux … – préfigurant les fours crématoires et autres horreurs …
Devenue vieille et chiasseuse, la France, qui pourrait encore être un grand pays, dont la population accueille avec générosité des millions d’immigrés, fait caca dans sa culotte, et fait pipi dans son caleçon. Devenue gâteuse, elle continue à se prendre pour le professeur de morale du monde. Mais tout cela est révolu. Les Français, angoissés, se demandent, en regardant avec consternation sa classe politique : « Comment a t-on pu tomber si bas ? »
L’aveu du génocide britto-vendéen se prépare. Il n’est plus possible de tricher et de mentir : le monde entier est maintenant au courant. Bretons, ne vous laissez pas prendre par cette pantalonnade : DEMANDEZ DES COMPTES AU PAYS DES DROITS DE L’HOMME, et surtout à ses complices !
Luc FERRY vient de reconnaître le génocide britto-vendéen. C’est trop tard : que voulez vous, on n’a que l’intelligence qu’on a. Messieurs Hollande, Ayrault, Valls, bien d’autres encore sont en possession du Livre Bleu …. ILS L’ONT LU, il a été diffusé dans de nombreux pays.
LECTURES :
– Biographie de Louis Mélennec non salopée par Wikipédia.
– Tous les Livres de Reynald SECHER consacrés au génocide britto-vendéen.
– Tous les articles de Louis MELENNEC sur les SHOAHS BRETONNES.
LE FRANCAIS, UN PATOIS QUI A REUSSI
A MADAME LE PROFESSEUR Henriette WALTER, linguiste.
HENRIETTE WALTER,
Professeur honoraire de linguistique à l’université de Haute-Bretagne
Ex. Directeur du Laboratoire de Phonologie EPHE (4ème Section), Paris
Présidente de la Société Internationale de Linguistique Fonctionnelle
Membre du Conseil Supérieur de la langue française
Membre du Conseil International de la Langue Française
Officier de la Légion d’Honneur
Commandeur des Arts et Lettres
Chère madame,
@@@@@@@@@@@@@@
Vos ouvrages sur les langues, qui font autorité, m’ont beaucoup apporté. Je vous l’ai dit au cours de conversations téléphoniques antérieures, et je le souligne encore, comme vous étant redevable. Je ne suis pas comme ces jeunes « sçavants », qu’on a accoutumé à croire qu’ils peuvent extraire de leur maigre substance cérébrale tout leur savoir, alors qu’il ne connaissent pas même l’orthographe, et qui font la leçon aux professeurs les plus doctes, avec quelle agressivité encore ! A mon âge, je suis toujours heureux de me mettre à l’école de ceux qui en savent plus que moi, et de les remercier de vouloir bien m’instruire.
Au cours de mes conférences et de mes émissions consacrées aux langues (dans Google : mélennec langues), j’ai souvent cité, nous qui avons tellement souffert de persécutions, et d’un lavage de cerveau absolu concernant nos origines, votre phrase maintenant bien connue de nombreux bretons :
« Le français n’est rien d’autre qu’un patois qui a réussi ».
Rien n’est plus exact. Si la langue francilienne, celle de la région de Paris, a été peu à peu imposée par les Capet, devenus rois de France en 987, c’est parce qu’ils en ont fait leur langue administrative pour tout leur royaume, ce qui était naturel, de leur point de vue. Ce royaume s’étant étendu au fil des siècles – aux dépens de ses voisins, souvent par la violence et la violation du droit -, le français est devenu la langue des élites. Ce à quoi il n’y a rien à dire, car c’est un processus mondial de la propagation des langues. La géniale révolution dite « des droits de l’homme », a achevé l’oeuvre des capétiens. Les capétiens étaient des administrateurs, soucieux de mettre à la disposition des régnicoles une langue administrative unique, permettant aux uns et aux autres de se comprendre. Leur volonté n’allait pas au delà. Presque tous les rois de France, à de rares exceptions près, ont essayé de se comporter en bons pères de famille, expression chère au code civil. Aucun d’eux n’a commis de crime ni contre les nations, considérées en tant que telles, qui composaient leur royaume, ni les langues parlées par leurs sujets, et ceux administrés par eux.
En 1789, les Bretons revendiquaient avec fierté leur nationalité bretonne, sans que cela gène personne.
Les cinglés de 1789 achevèrent le travail de progression naturelle de la langue administrative, mais cette fois sur le mode criminel. Idéologues de la même trempe que Pol POT, ils assassinèrent les langues locales, rabaissées par eux par des appellations infamantes et humiliantes : patois, jargons, langues des cavernes, etc … Munis d’un gourdin, ces autres patoisants, au nom de leurs délires, mirent à mort les vieilles langues, plus anciennes et plus nobles que les leurs.
Nous, Bretons, sommes devenus des experts pour parler de ces persécutions. Des génies comme M. Jean-Luc Mélenchon utiliseraient volontiers la terminologie des délirants de 1789, si on les laissait faire. Des sénateurs bretons ont voté contre la langue de leurs pères il y a peu d’années : c’est dire que nous ne sommes pas beaucoup mieux.
(NB. Cherchez leurs noms dans Internet; ne manquez pas, si vous les croisez sur votre chemin, de leur jeter ce bon souvenir au visage).
La langue française ne comporte aucune qualité particulière, qui la rendrait supérieure aux autres; nous sommes nombreux à l’avoir écrit, et à l’avoir démontré (écouter mon émission sur Lumière 101, intitulée « Le bêtisier des langues », consacrée entièrement à ce thème, après des années de réflexions et de recherche en linguistique). Un linguiste breton, rejeté par la bien-pensance française et bretonne, mais génial – non pas parce qu’il est breton, mais parce qu’il est génial -, m’ a écrit, longues preuves à l’appui : « Le français est l’idiome le plus minable d’Europe ». Je n’ai aucune qualité pour confirmer cette opinion, ne parlant correctement qu’une seule langue, celle du colonisateur; mais je suis sûr qu’elle contribuera à panser quelques plaies encore béantes en Bretagne, et qu’elle va susciter de nombreuses réflexions bénéfiques.
Cela remet les choses à leur juste place, et rabattra le caquet de quelques ignares. (Je ne pense pas seulement à ceux qui opèrent dans Wikipédia !).
Le ton de mon livre bleu, que vous me dites avoir reçu – en même temps que le texte de l’article « Comment les Bretons sont devenus français » -, est parfois violent, c’est vrai. Mais justifié. Vous en jugerez à partir de la page 55 de l’ouvrage. Comme les Juifs et les Arméniens, nous portons dans notre esprit ces blessures jamais cicatrisées : l’oeuvre « civilisatrice » immortelle de la France est toujours là, puisque notre langue bi-millénaire est quasi morte, des oeuvres du pays des droits de l’homme.
Ce livre a été téléchargé plus de 200 000 fois. La France « démocratique » fait semblant de l’ignorer : peine perdue : tous les députés, tous les sénateurs, le président de la république, le premier ministres, un grand nombre de journalistes, l’on reçu, et lu. Il fut même, je le rappelle, à peine sorti des presses, commandé en deux exemplaires, (ce « deux » étant souligné dans la lettre manuscrite émanant de l’Hôtel Matignon, sur papier à en-tête de la République des droits de l’homme) : tout le monde sait, tout le monde se tait, sûrement par honte.
Au plan linguistique, la France peut invoquer, parmi d’autres calamités, la destruction de civilisations entières, un véritable désastre culturel. Le monde entier sait que les langues sont des joyaux, qu’il faut préserver à tout prix; la France, mère des arts, des armes et des lois, ne le savait pas. Excusez du peu. M. Mélenchon non plus.
Je vous redis ma conviction sur ce que l’on nomme « la langue gauloise ».
A mon avis, elle n’a jamais existé.
César dénombre plusieurs dizaines de nations dans la Gaule, avec des moeurs, des coutumes, des dieux souvent différents, des monnaies différentes … Les constitutions de ces petits états gaulois sont très différentes les unes des autres. Il n’y a ni souverain gaulois, ni gouvernement unique, ni législation unique, ni administration, ni fiscalité uniforme..
Il y a bien une civilisation celte. Mais la langue ?
SE PEUT-IL QU’IL Y AIT UNE LANGUE UNIQUE, là où, au moment du serment de Strasbourg, en 843, non seulement il n’y a pas de langue unique, mais on ne sait pas même dans quel idiome ce texte est écrit. Mieux : en 1789, seulement 20 pour cent des habitants du royaume parlent le langage de la Cour; on dénombre alors en France 30 langues locales !
MIEUX ENCORE : dans mon enfance, en 1950, après quatre siècles et demi de colonisation française, un siècle et demi après la mise en oeuvre systématique de la destruction de notre langue, beaucoup de vieux bretons étaient unilingues, et ne connaissaient rien de la langue française ! C’était le cas de mes deux grands parents maternels : je suis donc témoin irréfutable que plus de quatre siècles de colonisation très dure sur l’étendue d’un royaume centralisé, même avec des techniques terribles de répression mentale, ne créent pas une langue unique, loin de là.
Jugez de ce que fut la tour de Babel gauloise ! Et ce que pouvait être le français, qualifié par les cinglés de Paris de « langue universelle », de langue « parlée par tous les peuples civilisés d’Europe et d’ailleurs » !
Se peut-il qu’il y ait eu, 2000 ans auparavant une « langue gauloise » unique, dans ce salmigondis de peuples et de cultures, même s’il est vrai qu’ils ont partagé en commun quelques traits de civilisation, qui donne de loin une image en trompe-l’oeil ? C’est, de mon point de vue, impossible.
Voila un beau sujet de thèse. Je crois que des centaines de tonnes de littérature doivent être jetées au bûcher.
Je serai ravi de détruire un nouveau mythe.
D’ailleurs : PERSONNE N’A JAMAIS VU LA COULEUR DE LA LANGUE GAULOISE. On cite tout au plus quelques mots de cette prétendue langue, qui ne laisse aucune trace littéraire nulle part. Quelques bribes existent, quelques inscriptions, ici ou là, c’est vrai. Mais je crois que nos savants linguistes ont construit des pyramides d’incertitudes et d’hypothèses, par cette même opération intellectuelle qui fait que d’autres « sçavants » ont reconstitué des civilisations entières à partir de trois ou quatre pierres découvertes dans un désert, comme d’autres ont reconstitué des villes englouties à partir de cinq ou six rochers aux contours anguleux, évoquant de loin des constructions humaines. Moins on sait, plus sont épais les livres écrits sur ce qu’on ne sait pas.
J’adresse cette lettre à plusieurs personnes qualifiées en linguistique. Il serait intéressant de connaître leur avis. Et nous nous fierons à des arguments, s’ils sont sérieux, voire irréfutables.
Respectueusement.
LOUIS MELENNEC, historien. A Paris, ce 26 juin 2015.
L’ASSASSINAT DES DROITS DE L’HOMME PAR LA FRANDE
Dr LOUIS MELENNEC, POLITOLOGUE
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LA FRANCE PAYS DES NON-DROITS DE L’HOMME.
Les droits de l’homme sont une lente conquête de l’humanité, EN AUCUN
CAS L’OEUVRE DE LA FRANCE.
Chaque grande civilisation, chaque grand pays, chaque grande nation a
apporté sa contribution à l’élaboration de ce monument aujourd’hui très
riche.
D’après les textes retrouvés, les premiers écrits sur les droits de l’homme
sont censés remonter à Hammurabi, roi de Babylone en 1800 avant Jésus
Christ.
Puis, on cite Cyrus le Grand, au sixième siècle avant le Christ, dont l’apport
est considérable, car il établit dans son Empire la liberté de culte, de
circulation, et interdit l’oppression des êtres humains.
Les sociétés bretonnes – dont je suis issu – reconnaissent l’égalité de la
femme et de l’homme avant la naissance du Christ : d’où notre très large
avance sur les Français, qui eux ont recueilli, après la chute de l’empire
romain, l’héritage de quasi sauvages : les Francs.
La doctrine du Christ est le grand tournant de l’humanité dans le respect dû
à la personne humaine. La civilisation occidentale a recueilli cet héritage
magnifique. C’est sous l’effet de cette religion que la femme reconquiert
peu à peu des droits qui se complètent au fil des siècles. (Ce qui est loin
d’être le cas dans les civilisations islamiques).
Au moyen âge, on cite les Anglais comme étant les plus avancés : la
Grande Charte (1215), le Bill of Rights (1689), l’habeas corpus (1679). Ces
textes garantissent certains droits individuels, en avance sur nombre de
nations de la même époque, notamment en matière de justice et de
fiscalité.
La déclaration d’indépendance des Etats Unis d’Amérique, énonce à son
tour un certain nombre de droits de l’homme, en 1776. Ce texte a un grand
retentissement.
La célèbre « Déclaration universelle des droits de l’homme », publiée en
France le 26 août 1789 est une COPIE et une synthèse de ce qui a été fait
ailleurs, en aucun cas une oeuvre originale. Elle n’a d’ailleurs aucune force
obligatoire : c’est un texte philosophique, rien d’autre. Malgré cela, ce pays
arrogant et agressif se flatte d’avoir, jusqu’à aujourd’hui – voir mes travaux
en particulier -, avec d’autres fantaisies, « inventé » les droits de l’homme !!!
Et, entre autres choses, la langue universelle, digne comme telle d’être
parlée par TOUS les êtres humains. Ni plus, ni moins !!!!
Dans les écoles françaises, on enseigne encore ces légendes. Ainsi, petits esclaves
Bretons depuis l’inénarrable « révolution » de 1789, qui nous a privés
de tous nos droits et de toutes nos libertés, avons nous appris ces sottises,
sous la férule du pays voisin, qui nous a annexé malgré nous en 1532, et
esclavagisés en 1789.
En réalité, la France est une grande violatrice des droits de l’homme, ainsi
qu’ un pays corrompu. (23ème rang dans le monde, ce qui n’est pas
glorieux; cela la met au même niveau que l’Uruguay et les Emirats Arabes
Unis).
S’agissant des droits de la femme, qui est l’un des critères du niveau
civilisationnel d’une nation, les Bretons reconnaissent l’égalité des sexes
avant le Christ. La France n’a pas encore atteint ce niveau, qu’elle s’efforce
d’atteindre par des lois qu’elle ne parvient pas à faire appliquer. Le droit de
vote ne leur a été accordé qu’en 1944. Elle a donc, sur ce point, 2000 ans
de retard par rapport à notre civilisation.
Nous avons imaginé un concept
qui est largement répandu : la France n’est pas le pays des droits de
l’homme, mais LE PAYS DES NON-DROITS DE L’HOMME. Ce qui
commence à être reconnu partout, y compris en France.
Nous allons faire traduire ce texte en plusieurs langues : la sottise des
vantards agace des millions de personnes dans le monde.
LOUIS MELENNEC, DOCTEUR EN DROIT ET EN MEDECINE,
HISTORIEN.
A diffuser dans le monde entier : En fessant d’abondance ces prétentieux, vous allez faire un plaisir IMMENSE à des millions d’être humains.
LOUIS MELENNEC. SUR LES DROITS DE L’HOMME.
Je suis désolé de vous contredire : NON, l’abbé Grégoire n’est pas l’auteur de l’article premier de la prétendue déclaration universelle des droits de l’homme de 1789, qui proclame l’égalité des êtres humains entre eux. Cette déclaration n’est qu’une COPIE, qui ne diffère en rien des précédents textes publiés par les Etats Unis, bien avant la prétendue révolution de 1789, et par d’autres pays – dont la Bretagne (A. LE MOY, Remontrances du Parlement de Bretagne au 18ème siècle, Paris 1909).
Si vous voulez en savoir plus sur les Droits de l’homme, lisez dans Internet : MELENNEC DROITS DE L’HOMME. Vous allez apprendre que non seulement la France n’est pour rien dans l’invention des droits de l’homme, MAIS QU’ELLE LES A FAIT REGRESSER !
Mais soyez fière de votre compatriote, la grande historienne alsacienne Suzanne CITRON – GRUMBACH, qui a joué un rôle très important dans l’anéantissement des mensonges français. J’ai apporté moi-même à ce débat une contribution importante, et suis considéré comme un spécialiste de cet important problème. Ce pourquoi notre très chère soeur la France m’a placé dans une chambre noire pendant vingt ans (un cul de basse – fosse médiatique), soutenue par un certain nombre d’esclaves bretons, dont les noms sont bien connus, et par les principaux merdias, grassement payés pour cela.
—————————————–
(Article publié en 2020) :
LA FRANCE A MENTI, ET CONTINUE A LE FAIRE, d’une
manière honteuse.
NOUS LE SAVONS TOUS. Voici un résumé de la situation ignoble, que
madame Suzanne CITRON, agrégée, docteur en histoire, alsacienne, a contribué à révéler aux Français dans son ouvrage majeur LE MYTHE NATIONAL (Paris 1987) :
» (Après la » révolution » de 1789, pendant le 19 ème siècle), les Pères de la République
(française), imprégnés d’une RELIGION DE LA FRANCE, ASSIGNERENT à
l’enseignement de l’histoire un objectif PATRIOTIQUE : à tous les enfants du pays,
majoritairement issus des villages ruraux AUX MILLE PARLERS, seraient inculqués
l’amour d’une PATRIE UNE ET INDIVISIBLE, et la foi en la SUPERIORITE DE LA
FRANCE. L’historien Ernest LAVISSE fixa, pour les écoles, un texte du passé, organisé
autour d’une FRANCE SANS COMMENCEMENT, incarnée dans une Gaule mythique,
d’une succession de guerres ET DE CONQUETES LICITES, puisqu’ils construisaient UNE
PATRIE PREEXISTANT A SA FORMATION. Les abus de pouvoir servant la grandeur et
l’unité de L’ETAT ETAIENT LEGITIMES « .
C’est ainsi que les Bretons et les Alsaciens, fourrés dans le même sac, le sac « gaulois », censé être le précurseur de la France !!!!
Suzanne CITRON, maintes fois citée comme un auteur de référence – est accessible, par la
simplicité de son style et la clarté de ses propos, même aux ignares baveurs bretons qui
opèrent dans les blogs -, Le MYTHE NATIONAL, Editions ouvrières, Paris page 15, Paris,
1987).
Ce fut aussi mon travail pour la Bretagne, pas seulement pour la France. Pendant 40 ans.
Résultat : je suis exclu TOTALEMENT de tous les merdias, depuis vingt ans. Pas seulement français.
Les pires ont été mes compatriotes Bretons, les députeux et les sénateux, les docteurs et les agrégés !!! Quelle honte, quel désastre ! (Il est vrai que certains portent un chapeau rond, comme le dit la chanson. Et le chapeau rond, à force de chauffer la tête, finit par liquéfier se qu’il y a dedans.
DR MELENNEC
Cet ASSASSIN DE NOS LANGUES doit être extrait du Panthéon, et jeté dans la fosse commune.
JoeyStarr capable de réciter, lors d’un même spectacle, le grand Aimé Césaire et le sinistre Abbé Grégoire, ennemi assumé de la diversité, qui préconisait sans vergogne l’anéantissement, la destruction méthodique de nos langues et cultures minoritaires autochtones occitane, catalane, alsacienne, bretonne, corse, basque, apitane et flamande, qu’il jugeait dégénérées ! Une idéologie soft-colonisatrice, assimilationniste, centralisatrice et impérialiste qui perdure depuis plus de deux cents ans (une exception en Europe) ! Comment peut-on être aussi contradictoire ?!!
le cher Abbé Grégoire qui nous traite de dégénérés de la langue et dit que les Nègres qui ont élevés au rang des hommes… est aussi l’auteur du premier article de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen….
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Merci pour ce rappel