Les frontières alsaciennes

L’Alsace est bordée de deux frontières : la naturelle et l’administrative.

La frontière naturelle et culturelle de l’Alsace se situe sur la ligne bleue des Vosges qui, sans les routes déneigées est infranchissable en hiver. Les habitants de deux côtés du Rhin ont une Histoire et des origines communes, parlent des dialectes similaires et ont les mêmes traditions culturelles, architecturales, artistiques et culinaires. Ils portent les mêmes noms de famille. Les toponymes de nombreuses agglomérations, de montagnes de prés et de cours d’eau sont identiques.

Les mariages entre les Alsaciens et leurs voisins rhénans ont toujours été nombreux, même après la Révolution française. Jusqu’au milieu du vingtième siècle, à cause de leurs langues différentes, les mariages entre Alsaciens et francophones étaient rares.

La frontière administrative court le long du Rhin, voie de communication qui est décrétée « frontière naturelle » depuis la Révolution. C’est une des raisons des tentatives d’éradication répétées de la langue maternelle des Alsaciens décrétée « langue de l’ennemi » voire « langue des boches ».

Pour les Alsaciens, le dépaysement est grand en traversant les Vosges. Les villages ne sont pas aussi pimpants. Ils y découvrent aussi l’alsacophobie de certains individus qui adorent l’Alsace… mais pas ses habitants.

Les Alsaciens sont traités d’identitaires, de boches, voire de nazis s’ils défendent leur Histoire. Le sujet des incorporés de force dans la Wehrmacht ou les SS durant la dernière guerre est toujours tabou. Pour de nombreux Français, « Ce sont tous des nazis, puisqu’ils n’ont pas déserté ! ».

On accuse les Alsaciens de « bouffer le pain des Français » quand ils travaillent hors de leur région natale, on se moque de leur accent en leur disant « Ponchour » le matin. On leur reproche de bénéficier de deux jours de congé supplémentaires, le Vendredi-Saint et le 26 décembre.

Les Alsaciens sont traités d’égoïstes parce qu’ils veulent quitter le Grand-Est qui leur a été imposé.

14 commentaires

  1. LE GENOCIDE LORRAIN (Article publié par Louis MELENNEC en 2016).

    J’ai. tendu la main, chaque fois que je l’ai pu, à ces petits peuples qui ont subi les même atrocités que les Bretons. Je pensais rendre un grand service à on pays, la Bretagne.
    Savez – vous ce qui en est résulté ?
    Des centaines d’injures, non pas en provenance de la France – les Français m’ont toujours écouté avec respect -, mais de Bretagne.
    On est jamais si bien trahi que par les siens.
    Je lis dans un très beau site Kabyle : « Ne comptez pas sur vos compatriotes Kabyles pour vous défendre : ils broutent ailleurs ».
    En 2002, je lis dans une correspondance en provenance de Bretagne, les phrases suivantes :

    En Bretagne, il y a deux personnes que l’on peut injurier sans problème :

    – Premièrement, Jean – Marie LE PEN;
    – Deuxièmement : …. LOUIS MELENNEC (!!!!!).

    Stupéfiant ! On me croira sur parole : je ne mens jamais.

    Le mouvement Bloggers LE LORRAINE, m’adresse la correspondance suivante, que les Alsaciens ont de bonnes raisons de croire :

    POUR LA RECONNAISSANCE DU GENOCIDE LORRAIN PAR LA FRANCE.

    « Alors que la France de François Hollande s’est dernièrement « inclinée » à Erevan devant les 1,5 millions de victimes du génocide arménien perpétré par les Turcs ottomans, et qu’une stèle khatchkar était inaugurée Place Valladier à Metz, il est grand temps que les exactions commises par la France et ses alliés en Lorraine lors de la Guerre de Trente Ans (1618-1648) soient enfin reconnues.

    (Notre illustration : Les Grandes Misères de la guerre : La pendaison (gravure n°11), Jacques Callot, 1633, Musée Lorrain, Nancy). A consulter sur Internet, indispensable.

    Aucun monument, aucun mémorial ne rappelle les 250 000 Lorrains massacrés et exécutés – soit près de 60 % de notre peuple – au cours de ce conflit. Ces chiffres, nous ne les avons pas inventés. Ils sont avancés par les historiens de l’Académie de STANISLAS, qui n’hésitent pas à parler de « génocide lorrain ».

    Beaucoup l’ignorent : il y eut en effet des guerres entre la France et la Lorraine, alors Etat souverain. C’est au cours de l’une d’entre elles, au XVII ème siècle, que l’on dénomme communément la Guerre de Trente ans, sorte de gigantesque brasier européen, que la France, pays qui ose se proclamer le pays des droits de l’homme, et donner des leçons tous les pays du monde, sans jamais avoir balayé devant sa porte, causa des dommages inimaginables en Lorraine. Alors que presque tous les châteaux, les forteresses et les maisons fortes de Lorraine avaient déjà quelque temps auparavant été rasés sur ordre de Richelieu, les habitants de nombreux villages furent tous pendus à de grands arbres par des mercenaires suédois, comme à Kischeidt, dans le Bitcherland. Une ville entière complètement détruite, La Mothe. Cette ancienne cité fortifiée demeure encore aujourd’hui le symbole de la résistance lorraine face à l’envahisseur français. Il n’en reste presque plus rien, car après avoir été entièrement rasée, la ville fut ensuite recouverte d’une forêt sous Napoléon Ier. Le site fut intégré au département de la Haute-Marne, afin de le faire totalement disparaître de la conscience lorraine, et de la mémoire collective. Pièce maîtresse de l’organisation militaire du Duché de Lorraine, la puissante cité fortifiée de La Mothe constituait en effet une réelle menace pour les troupes françaises. En la réduisant en cendres, les Français voulaient anéantir bien plus que le danger militaire : ils voulaient anéantir toute forme de patriotisme lorrain, et toute forme d’identité lorraine.

    LA MOTHE : voir les photos sur la toile.

    Des fondations et des pavés perdus dans la forêt. Il ne subsiste presque plus rien de la puissance forteresse de La Mothe, symbole de la résistance lorraine face à l’envahisseur et à l’oppresseur français (Crédits photo : Groupe BLE Lorraine)

    Evidemment, cette histoire n’est pas enseignée par le pays des droits de l’homme, sur les bancs de l’école à la française. La Lorraine a toujours servi de sorte de « glacis de protection » à la France face au monde germanique. Vu de Paris, notre pays n’apparaît plus désormais que comme une terre habitée par une population docile, dont le seul destin serait de devenir la poubelle nucléaire de la France et de l’Europe.

    L’histoire est toujours écrite par le vainqueur. C’est aux curieux et aux volontaires de chercher la vérité, de se forger sa propre opinion, et de remettre en question la version officielle, par des faits irréfutables. Nous ne pouvons qu’exhorter nos compatriotes lorrains à (ré)apprendre leur propre histoire et à ouvrir les yeux pour comprendre ce qui se passe chez eux depuis près de 250 ans.

    La Bretagne nous montre le chemin.

    Toute idée contraire à la pensée dominante, c’est-à-dire celle dictée par le pouvoir central jacobin, est stigmatisée et marginalisée. Tout a été fait pour que l’individu se retrouve seul face à l’Etat. Ce long processus destructeur, humainement et culturellement, n’a d’autre but que de renforcer la concentration des pouvoirs et des richesses à Paris, par la satellisation et l’exploitation des provinces, notamment périphériques. Les Lorrains doivent prendre conscience de la richesse de leur culture, de leurs traditions et de leur patrimoine, autant d’éléments qui ont fait la prospérité et forgé l’identité même du peuple lorrain.

    Pour toutes ces raisons, le Groupe BLE Lorraine ne cessera jamais pas d’exiger l’édification et l’aménagement de monuments et de lieux de souvenir rappelant le génocide lorrain perpétré par la France et ses alliés durant la Guerre de Trente dans tous les sites et villes martyrs de Lorraine. »

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    QUE RESTE-T-IL DE LA LEGENDE DE LA FRANCE « INVENTRICE » DES DROITS DE L’HOMME ? Le roman national de la Liberté prétendûment construite par la France, part en charpie – en couilles, il est mieux de le dire avec les mots adéquats. C’est justice : tôt ou tard, des historiens non inféodés au pouvoir, non appointés par eux – et qui se donnent la peine de lire et de réfléchir -, finissent par découvrir le pot aux roses. Quel bonheur, pour moi, d’avoir contribué à dénoncer les mensonges, et de jeter, au nom des Bretons qui ne savent pas comment le faire, à la face de ceux qui nous ont trahi.

    Dr LOUIS MELENNEC, historien de la Bretagne, militant des droits de l’homme, et de la restitution au peuple du droit de décider de son sort par la démocratie directe.

    Les « HYSTORYENS » bretons, agrégés et docteurs, reçoivent le présent article.
    Ainsi que notre génial ami à tous : JEAN-LUC MELENCHON.

  2. LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE. LE LONG COMBAT CONTRE LES COLLABOS VENDUS AU POUVOIR, ET LES MERDIAS ACHETES ET VENDUS.

    L’article ci après est lisible sur la toile.

    COMMENT LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE A FAIT VOLER EN ECLATS
    LA CENSURE DE L’HISTOIRE FRANCAISE , et a révélé au monde les crimes
    contre l’humanité commis en Bretagne.
    Ces crimes sont imprescriptibles.

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    Interview de Louis Mélennec par Erwan Denis

    Pour le dixième anniversaire du livre Bleu de la Bretagne, Louis Mélennec revient
    sur un combat contre la censure dont ce livre a été victime, censure qui l’a obligé à
    adopter une stratégie de communication parfois très dure, seule manière de faire
    connaître ce travail à un très large public.
    1/ On dit souvent que pour combattre un système, il faut bien le connaître, comment
    avez vous pris conscience des affaires politiques de France, et de leur gestion
    désastreuse ? Avez vous appris la stratégie ?
    En 1958, je viens d’avoir 17 ans. La guerre d’Algérie fait rage, de Gaulle arrive au
    pouvoir. A Nantes, où je suis les cours de la faculté de médecine et de droit, de 1959 à
    1966, je ne cache pas mon désir de faire de la politique. Je décide de devenir député.
    A ce moment, je pense que si le sort me favorise, je pourrai être utile au pays. A
    l’époque, je ne connais encore rien de l’histoire de la Bretagne, puisque celle-ci est
    l’objet d’un tabou, et qu’elle a été remplacée …. par l’histoire de France, par la
    troisième république. Persil lave plus blanc, la bonne république aussi : nos cervelles
    sont lavées et délavées, nous nous croyons français ! Je n’ai pas encore découvert l’
    histoire bretonne, ni ma réelle identité.
    Mes congénères de la faculté me voient déjà ministre des affaires sociales.
    Par ambition ? Pourquoi pas ? Mais surtout pour servir le pays, en faisant mieux que
    les clones alors au pouvoir.
    (La suite sur la toile. Temps de lecture : 15 minutes).

  3. Louis Melennec

    ON N’EST JAMAIS SI BIEN TRAHI QUE PAR LES SIENS.
    50 ans de travail pour reconstituer l’histoire de la Bretagne.
    Les injures n’ont pas disparu. Wikimerdiouse non plus. Ils nous promettent 100 millions de victimes supplémentaires.

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    @louismelennec

    ON N’EST JAMAIS SI ABOMINABLEMENT TRAHI QUE PAR LES SIENS. LA BRETAGNE A ETE DETRUITE PAR LES BRETONS.

    Mes ennemis les plus impitoyables ont été des Bretons. Aucun députeu, aucun sénateu, aucun maire n’a encore ouvert la bouche sur ce qui nous est arrivé. Mais voila cinquante ans que je sème et que je récolte : le monde entier sait maintenant que la France n’a pas inventé les droits de l’homme, mais que, dernière de la classe, elle les a fait régresser. Ma reconnaissance va surtout aux amis Juifs qui m’ont soutenu. Ils ont subi le même sort que nous. Hélas en beaucoup plus grave. Voici ce qu’ils ont écrit :

    Herbert Pagani : «Les Bretons sont les Juifs de la France ».

    Hazo Nétanel, Président de l’Association Bretagne-Israël, 2010 : « Je suis toujours avide des leçons d’histoire du docteur Mélennec. Que de régressions, de persécutions, de tueries perpétrées à l’encontre de ce peuple qui veut légitimement vivre sa culture, sa langue, dans son propre pays ! C’est un miracle qu’il soit toujours debout. La pugnacité, l’opiniâtreté ne sont pas de vains mots pour désigner les Bretons. Les Juifs ont les mêmes qualités. Vos écrits rejoignent mes réflexions sur les peuples Juif et Breton… Le peuple Breton sort de cette léthargie, de ce confort d’esclave ou tout est mis à sa disposition par la déesse raison, pour mieux l’étouffer. Le chemin sera long encore jusqu’à l’indépendance mais c’est inéluctable. La France est en faillite morale, intellectuelle, elle éclatera du fait des différentes communautés qui la phagocytent… C’est une chance pour les peuples premiers de France. Les nouveaux médias changent la donne. Vos recherches qui étaient mises au ban, sont main- tenant publiées. »

    William Goldnadel, président d’avocats sans frontières : « La Vendée est bien un génocide. Le génocide de la Révolution française .. L’incroyable, l’impensable, l’inimaginable est que ce génocide est le fruit de ceux qui disaient agir au nom de principes nouveaux, de droits universels : les droits de l’homme. Ce génocide est bien un crime légal. Ce génocide est absolu et total; il regroupe les trois critères de génocide cernés à ce jour, et reconnus par le droit international …. Pourquoi personne, avant Reynald Sécher, ne s’était posé la question de la véritable nature de ce qui s’est passé en Vendée ?… N’est-ce pas ce qu’on appelle le négationnisme ? Si Hitler a été jugé et condamné, si les lieutenants de Pol Pot sont en cours de jugement …. Robespierre, Lénine, Staline, Mao, … sont vierges de tout jugement . »

    Albert Memmi : « S’accepter comme colonisateur, c’est s’accepter comme un privilégié non légitime …. Il lui reste à s’inscrire dans les lois et dan la morale ». « Le colonisateur, avec son égoïsme, a tout détruit »

    Madame Henriette Walter. Je cite ici cette éminente linguiste, qui fut l’une de mes correspondantes, parce qu’elle répond – même si ce ne fut pas son intention – aux insultes proférées par Jean-Luc Mélenchon et d’autres sur notre magnifique langue bi-millénaire, et autres « penseurs » socialistes qui ont éructé tant de sottises sur les langues : « Pour les linguistes, les patois, les dialectes sont des langues. Le français n’est jamais qu’un patois qui a réussi » « Autrefois (les Bretons) avaient la chance d’avoir deux langues à leur disposition, donc une gymnastique intellectuelle leur permettant de passer d’une langue à l’autre …. Des études montrent que les enfants ayant grandi dans un milieu plurilingue ont acquis une bonne gymnastique pour apprendre d’autres langues, mais ils sont aussi les meilleurs en orthographe, en maths et en histoire …

    L’école de Jules Ferry a fait beaucoup de mal à ce niveau ». Ces observations valent aussi pour les Kabyles, persécutés par les colonisateurs arabes, dont la langue est de moindre qualité que la leur.

    Robert Badinter, ex ministre de la Justice : « Dans le ghetto de Varsovie, le responsable nommé par les Allemands, fut contraint de livrer à l’occupant un certain nombre de ses co-religionnaires. Mais lorsqu’on lui demanda de livrer des enfants, il se suicida ».

    Rien de tel ne s’est produit en Bretagne : lorsque j’ai tendu la main pour demander de l’aide, tous ont craché dedans. Lorsqu’en 2015, François Hollande a castré la Bretagne de son département le plus prestigieux, soit 35 pour cent de son PIB -, ces héros, qui auraient dû démissionner en masse, pour ne pas perdre leurs prébendes, ont vendu Nantes et son comté. Ainsi n’avons nous pas pu revenir sur la scène internationale en notre qualité de nation.

    Quatre d’entre eux sont devenus ministres. L’un d’eux est resté en fonctions dix années. Pour notre honte, il a même vendu des armes aux monarchies du Golfe. Tous les quatre ont été virés, à la grande joie de tous, Français et Bretons. Ils s’étaient couverts de honte.
    Maintenant, ils sont couverts de mépris : la vérité de notre Histoire nationale a allègrement franchi les frontières. Ils s’étaient crus des êtres humains : on les avait seulement engagés comme esclaves. Ils ont tous été virés. Mais ils tentent de se raccrocher aux branches.

    Une exception : Pierre LEMOINE, un héros.

    Je suis absolument certain que vous avez vous – mêmes, en Alsace, rencontré les mêmes personnages. Vous voilà informés de ce que fut la « réunion » de l’Alsace à la France.

    LOUIS MELENNEC

  4. L’ASSASSINAT VOLONTAIRE DES NATIONS : DES CRIMES CONTRE L’HUMANITE.

    Dr LOUIS MELENNEC

    L’assassinat volontaire d’une nation est l’un des pires crimes que les êtres humains puissent
    commettre. Tuer une nation, c’est assassiner une très vaste et très vieille famille, celle de tout un
    peuple partageant la même identité, la même culture, les mêmes valeurs, et la même foi dans cette
    identité depuis des siècles, souvent davantage. Les manoeuvres d’extirpation de cette identité des
    cerveaux triturés sont très douloureuses, humiliantes, psychiatrisantes pendant des générations. Les Bretons en témoignent. Il n’est que de penser à l’oeuvre « civilisatrice » des Espagnols en Amérique centrale et en Amérique du sud, à l’oeuvre « civilisatrice » des colons anglais en Amérique du nord, à celle des Chinois au Tibet – tant admirée par le génie de l’humanité souffrante, M. Jean-Luc Mélenchon -, à celle des Français en Bretagne, à celle des députés et des sénateurs « bretons » que l’on sait.
    Dans ce genre particulier, pour réussir l’exploit, il faut y mettre une perversité singulière, qui relève de la pathologie mentale des nations. La France carnassière a fait preuve dans cette
    singulière espèce, de talents exceptionnels. S’il y avait une distribution des prix, ce pays
    autoproclamé « inventeur des droits de l’homme », serait parmi les champions du podium, aux côtés de la Turquie, de l’Espagne, de la Chine.

    Aujourd’hui, par bonheur, presque tout le monde est au courant de ce que fut « l’oeuvre civilisatrice » de la France, en 1789 et dans les années qui ont suivi.
    Les Bretons, comme l’a écrit l’écrivain Herbert Pagani, sont bien les Juifs de la France. Avec cette
    grande différence : les Juifs sont les premiers partout, les Bretons, avec tant de personnalités
    individuelles exceptionnellement douées, ne se sont pas encore relevés : ils restent les seconds
    partout, ils n’osent pas être les premiers. Timides, ils n’osent même pas se mettre en valeur. Et le fait
    que certains d’entre eux acceptent de servir dans le gouvernement si médiocre de Paris démontre
    qu’ils ne sont pas encore sortis de l’esclavage (Publié le 15/12/2015 23:09. Piqûre de rappel à
    l’usage de ceux qui ont voté pour les traîtres qui se sont vendus à l’ennemi).

  5. L’ALSACE, UNE VRAIE NATION, DETRUITE, PILLEE, PERSECUTEE, DECERVELEE PAR LE PAYS DES DOIGTS DE L’HOMME.

    De toutes les régions qui ont été englouties de force par le pays auto-proclamé « des droits » de l’homme, les Alsaciens sont probablement le peuple qui a le plus souffert de la part de ce pays qui s’est donné en exemple au monde entier, en se prétendant l’inventeur des droits de l’homme, lors de sa glorieuse « révolution » de 1789, qui ne fut rien d’autre, outre les centaines de milliers de victimes – jusqu’à une époque récente – que le fossoyeur des identités et des cultures de magnifiques entités nationales comme la Bretagne et l’Alsace, incluses de force dans le pays dénommé par les malades mentaux de Paris, « LA » FRANCE.
    La France ne s’est en aucun cas constituée par la volonté de ces nations périphériques de vivre ensemble, et de partager un destin commun, mais par la guerre, les annexions, les persécutions, l’achat des consciences, la destruction criminelle des langues, des cultures, des identités locales. Ces actes sont aujourd’hui désignés par leur nom : ce sont des CRIMES CONTRE L’HUMANITE.

    LA FRANCE EST UN ANACHRONISME.
    Le peuple français, lui, mérite toute notre sympathie et notre compassion.

  6. LOUIS MELENNEC, historien, docteur en droit, docteur en médecine.

    NOTRE DEVOIR A TOUS : LA VERITE, L’ELIMINATION DES MENTEURS.

    Continuez votre travail de vérité ! En Bretagne, nous sommes AVIDES de tout connaître, de tout savoir. Nous avons été victimes d’une falsification MONSTRUEUSE de notre histoire. Je n’ai commencé à découvrir la véritable histoire de mon pays, et ma véritable identité, qu’à l’âge de 35 ans : le résultat de l’oeuvre « civilisatrice » du pays des doigts de l’homme.
    Au point que des agrégés en histoire, docteurs de l’université en « hystoyre de la Bretagne » ont soutenu il y a peu de temps, devant les micros, que la Bretagne, l’une des puissances médiévales, gouvernée par des Ducs, rois dans leur principauté, comme les Capets dans leur royaume, et qui avaient instauré un régime constitutionnel et représentatif, comparable à celui de l’Angleterre, ne pouvaient rien décider d’important sans l’accord de leur Premier-ministre (le Chancelier), de leurs Conseillers, et surtout de leur Assemblée nationale (les Etats de Bretagne). (Planiol Marcel, Histoire des institutions de la Bretagne, pages 50 à 105)
    La France a détruit tout cela en 1532, puis en 1789 : une catastrophe, pire UN DESASTRE. 1789 a transformé ce pays encore autonome en pays esclave.
    Je ne décolère pas.
    Vous trouverez plusieurs centaines d »articles sous ma plume, y compris dans plusieurs pays étrangers, même si le pays des doigts de l’homme a tenté, pendant VINGT ANS de m’exclure de tout droit à la parole.
    DEPUIS MITTERRAND, la France a régressé vers un régime VOMITIF.
    Les opportunistes « bretons » sont pires que les vôtres. On les appelle « les néo-collabos ».
    Notre jeunesse est maintenant au courant, et les MEPRISE. Elle les jugera.

  7. LA PRETENDUE NATION FRANCAISE UNE ET INDIVISIBLE.

    Le concept de nation française « une et indivisible » date de 1789. Il n’a jamais répondu à rien de concret, ni avant, ni pendant, ni après la révolution française, encore moins en 2020. C’est par une affirmation gratuite des députés de l’assemblée constituante, réunis en 1789 à Versailles, puis à Paris, incluse dans l’article premier de la constitution de 1791, qu’ils ont ont cru, en se servant de cette formule – reprise depuis lors par plusieurs constitutions, dont celle de 1958 -, avoir substitué ce qu’ils nomment désormais « LA » nation française, aux vieilles nations incluses dans le territoire soumis à l’autorité des rois de France, et avoir rayé de la carte les autres peuples de l’hexagone, bien plus anciens qu’elle.
    L’article premier de ladite constitution de 1791 est ainsi libellé :
    Le Royaume est un et indivisible : son territoire est distribué en quatre-vingt-trois départements, chaque département en districts, chaque district en cantons.
    Cette absurdité est suivie d’une autre :
    Article 2 : Sont citoyens français, ceux qui sont nés en France d’un père français.

    Ces dispositions sont ridicules ; le grand linguiste Goulven Pennoad désigne le pays d’à côté par une formule qui fait rire aux dépens de ces pauvres Français : LA HUNE ET L’HINDIVISIBLE.
    L’Armorique porte le nom de Bretagne depuis le sixième siècle ; les enfants qui naissent dans ce pays sont de nationalité bretonne, et non de nationalité française; de même, les Alsaciens, persécutés par la France depuis des siècles, battus, pillés, massacrés, quasi-privés de leur langue, jamais consultés sur leur sort, ne sont pas français – ni Allemands d’ailleurs : ILS SONT ALSACIENS.

    Une nation ne se décrète ni par une loi, ni par aucun texte, de quelque nature qu’il soit. Surtout s’il a été inclus par la force dans la constitution d’un pays étranger, parce qu’on tient la force pour la rédiger, sans solliciter l’avis des principaux intéressés, qui ont seuls qualité pour décider de quel peuple ils font partie. De même, une nation ne peut être supprimée et disparaître parce que des malades mentaux ont inclus une sottise – pire, une énormité -, dans un texte rédigé par eux, sans l’accord de personne, et intitulé par eux « Constitution de la France ».

    Outre les provinces centrales, qui forment un ensemble à part, comme étant soumises au roi de France depuis plusieurs siècles, et qu’elles l’ont reconnu comme souverain, il existe dans les limites de ce qu’on dénomme en 1789 le royaume de France, au moins cinq nations périphériques : la Bretagne, le Pays basque, le Béarn (annexé au royaume en 1620), la Corse, l’Alsace. Les régions centrales, intégrées dans le royaume depuis plusieurs siècles, font partie de la nation française, et ne revendiquent aucune autre identité nationale que celle-là. Là s’arrêtent les limites de cette nation.

    La doctrine de la nation française prétendument « une et indivisible », est enseignée dans les écoles jusqu’à aujourd’hui. Les écoliers l’apprennent par cœur, il n’est pas permis d’admettre d’autre vérité que celle-là. J’ai été victime de cette stupidité. Le Conseil d’Etat use de cette formule absurde chaque fois qu’il en a besoin, toute honte bue, sachant qu’il se sert d’un sophisme – dont les juristes se gaussent. Il l’a fait pendant longtemps, pour interdire aux peuples plus anciens que le sien de parler et d’enseigner leur langue nationale. En Grande Bretagne, les Anglais, qui détenaient la force, n’ont évidemment pas osé extirper par le fer et par le feu les identités écossaise et galloise, les Ecossais et les Gallois conservant avec fierté leur appartenance à leurs nations respectives.
    Les Bretons sont Bretons, en aucun cas Français.
    La Bretagne a été annexée par la France en 1532 par la force, la concussion, la peur, l’intimidation. Quel soit le temps écoulé, le VOLEUR ne peut revendiquer aucun droit de propriété sur l’objet volé; à plus forte raison s’il s’agit du territoire d’une nation, et si ce peuple est une nation première. Les Alsaciens sont seuls propriétaires légitimes de leur pays : la France est comme pour la Bretagne une puissance occupante.

    Lectures recommandées : Mélennec nation, Mélennec identité, Mélennec droits de l’homme, et autres articles.

    LOUIS MELENNEC, DOCTEUR EN DROIT, DES DE DROIT PUBLIC, DE DROIT PRIVE, DE SCIENCES CRIMINELLES, ex enseignant des facultés de droit.

  8. LES CRIMES CONTRE L’HUMANITE PERPETRES PAR LA FRANCE EN BRETAGNE.

    LOUIS MELENNEC.

    Dès les premiers mois de ce qu’elle intitule « la révolution des droits de l’homme », la France se livre à des massacres sur la totalité du territoire du royaume, et des nations périphériques annexées par la France sans leur consentement, en particulier l’Alsace, le Béarn, la Provence. Dans ces persécutions, la Vendée et la Bretagne occupent une place de choix. L’assemblée parisienne, le roi Louis XVI ayant été exécuté le 21 janvier 1793, est alors aux mains d’authentiques malades mentaux, dont les plus connus sont Robespierre, Danton, Fouquier-Tinville, Carrier, Collot d’Arbois. La place de ces criminels eût été à l’asile, immobilisés par des camisoles de force à cette époque où les neuroleptiques n’existent pas encore.
    Tout le pays est mis à feu et à sang. Le nombre des victimes dépasse plusieurs centaines de milliers de personnes. C’est sur ces crimes que la « république » élabore son roman national , attribuant à la révolution des vertus qu’elle n’a pas eues, en particulier en matière de droits de l’homme.

    Dès 1789, la France s’emploie à détruire la Bretagne, de toutes les manières possibles. Un dérangé de l’esprit sévit à Nantes : Jean-Bapiste Carrier, surnommé « le boucher ». Il bénéficiera à son tour de la machine de M. Guillotin, qui le raccourcira de sa tête le 16 décembre 1794.
    Le martyre de la Bretagne ne fait que commencer.

    LA BRETAGNE EST DETRUITE EN TANT QU’ENTITE POLITIQUE.

    Civilisation antique, pourvue d’une culture très particulière, avec un sentiment d’appartenance très fort, existant depuis plus de mille ans, bien qu’annexée par le royaume de France depuis 1532, bien qu’ayant souffert de la monarchie française, la Bretagne a réussi, à force de résistance, après le règne sanglant de Louis XIV, à retrouver le droit de s’administrer elle-même, dans de

    nombreux domaines jusqu’à 1789 inclusivement. Elle gère ses finances avec économie ; son opposition féroce à l’oppression de la Cour de Versailles lui a permis de maintenir un niveau d’imposition de moitie inférieur à celui applique dans le royaume étranger qui l’occupe par la force. En 1789, divisée en « départements » par l’assemblée constituante contre son gré, la Bretagne disparait de la carte politique. Son antique assemblée nationale – les « Etats de Bretagne » et son Parlement sont abolis. Elle perd tout droit de regard sur la législation appliquée sur son territoire, de voter ses impôts, de gérer ses recettes fiscales et son économie, ainsi que de s’administrer elle-même… Depuis lors, elle est dirigée par les fonctionnaires, nommés par le gouvernement français, chroniquement incompétents. Tous les postes importants sont attribues à des Français, ou à des clients du pouvoir. Les Intendants de l’ancien régime sont remplacés en 1800, par le premier consul Bonaparte, par des fonctionnaires dénommés « préfets », qui, pourvus de large pouvoirs, sont les équivalents des « Gauleiters » allemands.
    Privé de toute initiative politique, et de tout pouvoir gouvernemental, le pays s’étiole et s’enlise. Il avait commencé à dépérir à partir du moment ou les bureaux de Colbert et de Louis XIV s’étant emparés de son économie, l’exploitant comme une ferme, et l’avait pressuré d’impôts de plus en plus lourds, notamment en sabotant son économie, en l’empêchant de commercer librement avec ses allies commerciaux traditionnels, en particulier l’Angleterre.
    Les gouvernements français du 19ème siècle la transforment, par leur incompétence en Ploukistan de l’Europe occidentale. Les préfets jouent à la fois le rôle de courroies de transmission, et d’espions qui surveillent, dénoncent, et de pères fouettards. Les écoles, le clergé font l’objet d’une surveillance méticuleuse, et de sanctions très dures.
    Depuis cette époque, rien n’a changé. Aujourd’hui, même les fonctions réputées électives (celles de députés et des sénateurs, en particulier), sont « pré-sélectionnées » par les instances dirigeantes des partis parisiens, et nul n’obtient l’agrément s’il ne fait preuve de la docilité voulue à l’égard de ceux qui les choisissent ; Marilyse Lebranchu, ministre, vient de révéler à la presse les menaces dont elle a été l’objet de la part d’Emmanuel Valls, d’être privée de l’agrément pour être en position élective lors de la « consultation » populaire baptisée « élection législative ». Cette « pré-sélection » est subordonnée à une soumission quasi-aveugle au pouvoir central, qui n’hésite pas à donner des ordres aux parlementaires, pour leur imposer de voter dans le sens voulu. La système n’est pas une démocratie, mais une dictature.

    LA BRETAGNE EST DETRUITE EN TANT QUE NATION.

    Les « révolutionnaires » de Paris ont décrété qu’il n’y a, dans le territoire qu’on va dénommer « l’hexagone », qu’une nation : la seule, l’unique, censée être le moule universel, le seul modèle fiable pour l’Univers : la Nation française ; celle dont Nicolas Sarkozy a dit qu’elle a été créée par l’ Etat (!), (comme si un Etat pouvait créer une Nation, il ne peut que la détruire, ce qu’il a tenté de faire en Bretagne !).
    Les peuples périphériques sont niés, néantises, interdits d’exister : les Alsaciens, les Basques, les Flamands, les Béarnais, les Corses, les Savoyards, toutes nations plus anciennes que la Nation française, deviennent des fragments de la seule nation reconnue : la nation française.

    Par l’effet de cette bouffissure qui se développe à la faveur de l’enseignement du complexe de supériorité qu’on inculque dans les écoles, les jeunes Français deviennent des nationalistes convaincus, imbus d’un sentiment de mépris pour les autres peuples, et de la volonté de revanche à l’égard de l’Allemagne : on les prépare aux prochaines boucheries. La Nation bretonne, la plus antique avec celle des Basques, est particulièrement persécutée, stigmatisée. Là où le nationalisme français est considéré comme une vertu, et où le culte de la France est enseigné dans les écoles, le nationalisme breton devient un crime. Il est génial, à cette époque, d’ être un nationaliste français, il est criminel d’être un nationaliste breton.
    Au nom de ce qu’elle dénomme les droits des nations supérieures sur les nations inférieures, la France envahit et conquiert de très vastes territoires, souvent dépouille les indigènes de leurs terres, ou les achète, sous contrainte, pour des prix dérisoires. (En Algérie, 300 000 hectares changent de mains sous l’effet de cette politique). Dans presque tous les pays, l’œuvre coloniale de la France est à base de sentiment de supériorité des colons, et de mépris des indigènes.
    La Bretagne est victime d’injures et de persécutions raciales de 1789 à aujourd’hui.

    (1)L’un des auteurs du rapport lu par mes soins à Bruxelles, en 2009, avait, dans sa jeunesse, été endoctriné avec tant de répulsion et de dégoût contre ceux qu’on nommait « les nationalistes » bretons, qu’il disait : «

    Qu’on m’en montre seulement un : je le fusillerai ». Il est aujourd’hui mieux que Furet, mieux qu’ Ozouf, et bien d’autres, qui ont fait leur mea culpa : il est fier d’avoir vu clair dans le jeu du pays colonial. Sur sa carte de visite, il a écrit « M. L., nationaliste breton ». En 2009 encore, lors de la lecture de mon rapport au congrès annuel de la FUEN, taxer les Bretons de nationalistes est une injure. Dans le même temps, le Mélenchon, admire publiquement « l’œuvre civilisatrice » de la Chine au Tibet (voir ses propos sur Internet).

    L’ASSASSINAT DE LA LANGUE ET DE LA CULTURE.

    La langue bretonne, qui fait la fierté des érudits qui la pratiquent, et des savants qui l’ont enrichie, affinée, perfectionnée, infiniment subtile et beaucoup plus ancienne que l’idiome français, est non seulement dévalorisée d’une manière outrancière, mais insultée, dans des termes grossiers. Ce n’est pas une langue : c’est un jargon, un idiome, un patois, un dialecte corrompu, un baragouin, un charabia, un instrument de dommage et d’erreur. Ceux qui l’utilisent ne parlent pas, ils grognent, ils « patoisent », ils « baragouinent », ils « déblatèrent », ils éructent, ils « parlent vicieusement ». Cet idiome est un reste des cavernes de Cromagnon, une séquelle de la préhistoire, un « dernier reste de la féodalité », un langage de sorciers, une « relique barbare et arriérée d’un autre âge ». Il obscurcit et engourdit la pensée, prolonge l’enfance de la raison et la vieillesse des préjugés, empêche de raisonner, de comprendre, d’assimiler les idées nouvelles, en particulier les « idéaux » révolutionnaires, la démocratie, la République. C’est, dit Hugo, formaté lui aussi par ce discours stupide, « une tombe pour la pensée ». Ce langage, à l’oreille, est hideux, inélégant, grossier, guttural, imprononçable, et ne peut l’ être qu’au prix de grimaces, et de contorsions du visage et du corps. Cette « grande vaincue de l’histoire » (sic), selon les « sçavants » français qui n’en comprennent pas le premier mot, décrètent qu’elle n’a produit aucune poésie, aucune littérature, aucune œuvre littéraire de valeur. Il serait impossible que cela soit, puisqu’il n’y a pas de grammaire bretonne (!).
    Les religieux, qui continuent à l’utiliser pour prêcher (c’est la seule langue parlée et comprise dans les diocèses de l’Ouest), sont particulièrement visés. Ils se servent de ce jargon infâme pour maintenir les Bretons dans leurs « superstitions religieuses », pour les asservir, pour faire entrer dans leurs pauvres cervelles de demeures des idées perverses, pour « les fanatiser », pour « chasser des têtes bretonnes les idées de liberté ». etc. Ils deviennent des « sorciers », des « ratichons », des « calotins bretons ensoutanés ».

    Ces insultes se prolongent jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Dans l’administration, la langue est formellement interdite. La France met en place un système médiéval de persécutions, digne de l’Inquisition, et de sanctions à l’encontre de tous ceux qui entendent perpétuer la culture qui, jusqu’alors, avait été, pour les lettres, un sujet de fierté. Des escouades d’instituteurs
    français sont envoyés dans les écoles bretonnes, avec des directives précises réitérées par les préfets et les sous-préfets : « assassiner la langue bretonne », « éradiquer totalement l’idiome local », (de nombreux textes et directives ministérielles accablants, ont été publiés, cette politique étant initiée, surveillée, amplifiée depuis Paris) ; « la corrompre, afin qu’on ne le comprenne plus » (sic !) interdire, manu militari au besoin, de parler breton (il arrive que des gendarmes rendent visite aux parents dans les fermes, pour les intimider), infliger des punitions aussi vexantes que possibles aux enfants, sinon aux parents, qu’on culpabilise chaque fois que cela est possible. Les prêtres, curés et religieux, qui prêchent dans la langue nationale, la seule qui soit comprise, sont privés de leur salaire (la séparation de l’église et de l’ Etat n’intervient qu’en 1905).

    Dans les écoles, les enfants sont terrorisés. On les montre du doigt, on les humilie lorsqu’ils confondent un terme français avec un terme breton ; on les entraine à se moquer des autres, on les isole au piquet, on leur donne des coups de règle sur les doigts, des gifles, voire coups de pied ; on les punit lorsqu’on les surprend à parler breton dans la cour ; on accroche à leur cou un objet infamant tel qu’un sabot, une corne de vache, ou tout autre objet ridicule. Dans certaines écoles, fait criminel pour ceux qui s’en sont rendus coupables, on accroche au cou de ces malheureux l’ardoise d’infamie : « Breton = cochon ». (Cette dernière pratique a marqué les esprits, d’une manière définitive, les Bretons ne l’oublieront pas, et ne la pardonneront jamais). (Du temps qu’il n’était pas encore condamné à deux ans de prison, on a entendu le « ministre » Pasqua chanter dans les couloirs de l’Assemblée nationale : « Ah ce que c’est con un Breton, plus ça devient vieux, plus ça devient con!)
    Une autre ignominie est inventée : la culture de la délation ; l’enfant surpris à parler le breton, conserve le « symbole » infamant au cou, jusqu’au moment ou il aura réussi à dénoncer à l’instituteur un autre délinquant. Certains n’osent plus rentrer chez eux, attendent la nuit, et contournent le village, pour n’être vus de personne.. Les parents sont tellement conditionnés, qu’ils infligent de nouvelles punitions à l’enfant, après le coucher du soleil.
    Le ministère Combes invente le concept « d’usage abusif du breton », pour empêcher qu’il soit utilisé dans les églises. Le pire, sans doute, dans ce pays traditionnellement très religieux : priver les enfants de confirmation, et même de communion solennelle, s’ils ne connaissent pas suffisamment le Français. La langue du colonisateur, dénommée « langue nationale » dans un pays qui en en possède une, mille ans au moins avant les français, autorise les plus zélés à traiter le breton de « langue étrangère » (!). Des journalistes, des hommes politiques connus, que l’on avait cru sains d’esprits, préconisent des mesures extrêmes :

    « Il faut frapper les curés » ;
    « Tapons dessus, de toute la rigueur des lois, de tous les poings des gendarmes » (La Lanterne) ;
    « Il faut prendre des mesures énergiques, sans hésiter » ;
    « il faut utiliser des commissaires de police courageux, des préfets, des magistrats, des fonctionnaires républicains pour coloniser la Bretagne » (!!!!);
    « il faut faire totalement disparaitre la langue bretonne » (de Monzie, ministre, 1925) ;
    « la seule réponse, est d’emprisonner tous ceux qui formulent les revendications linguistiques bretonnes » (Albert Dalimier, ministre du travail, 1932).

    C’est ainsi que s’exprime le génie du pays qui prétend avoir inventé les droits de l’homme ! Détail horrible : la « Déclaration Universelle des droits de l’Homme », texte purement philosophique, mais jamais appliqué en France, voté le 26 août 1789, n’est qu’un attrape-nigauds, une imposture aussi ridicule que monstrueuse. Pendant qu’on procède

    à un lavage des cerveaux, les prétendus droits de l’homme sont enseignés dans les écoles ; les enfants bretons, naïfs, y croient. Ils sont tellement infériorisés, tellement convaincus d’appartenir à une race de sous-débiles, qu’ils regardent la lumière française comme étant leur seule planche de salut.
    Les résultats de cette politique sont spectaculaires. En 1850, à l’exception des villes, toute la moitié ouest de la Bretagne est encore bretonnante. En 1850, 160 communes du Finistère sur 160 parlent le breton. On dénombre à l’époque 1,6 million de locuteurs. En 1940, la langue de communication, dans les campagnes bretonnes, chez les marins, chez les artisans, les commerçants des villages et des petites villes, est le breton. En 2030, ce chiffre tombera presqu’ à zéro. Il n’y a plus, en Bretagne, un seul locuteur unilingue, là où ils étaient des centaines de milliers en 1939. En 2008, les efforts de la France ont abouti à un résultat étonnant : il reste 200 000 locuteurs bretons, tous âgés. Pour entretenir l’illusion, et perpétuer l’hypocrisie, la France « autorise » la création de quelques classes bilingues, mais freine de toutes ses forces en s’opposant férocement à toute progression de la langue bretonne. Pour mieux simuler le mensonge, on place de pancartes bilingues à l’entrée des villes et des villages, là où il est notoire qu’il n’y a plus un seul habitant qui pratique correctement la langue. Après un simulacre de débat au Parlement, en 2008, elle fait semblant d’autoriser les langues régionales, ce qui est fermement démenti sur le terrain.
    Pendant que l’État d’Israel reconstruit sa langue et sa littérature, sous l’impulsion de Théodore Herzl, le pays des droits de l’homme les détruit. La politique de la France est l’éradication totale du breton. Dans peu d’années, le crime sera parfait. Les Français bénéficient d’alliés de poids : les députeux et les sénateux bretons, qui leur doivent leurs prébendes.

    L’HOMME BRETON EST REDUIT AU RANG D’UN ANIMAL.

    Ce que nous relatons ici est insupportable.
    Les pires adjectifs, les pires formules sont utilisés pour décrire l’homme breton, y compris par ceux que l’on dénomme aujourd’hui les « grands écrivains » : Victor Hugo, Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Prosper Mérimée, Emile Zola et d’autres, traînent ce peuple de ploucs et de bouseux dans la fange. Les Bretons sont une race inférieure. Ils sont, par nature, paresseux, sales et puants ; dans les villages, les enfants jouent dans la boue avec les cochons ; une mère n’y reconnait pas ses petits : il n’y a pas de différence entre eux ; certains Français se demandent s’ils sont des êtres humains ; d’autres consentent à les situer quelque part entre les animaux et les hommes ; le paysan breton, dit Hugo, « vénère d’abord sa charrue, sa grand-mère ensuite ; il aime ses poux » (citation littérale).
    L’intellect du Breton est celui des animaux ; il devient le prototype de l’arriéré mental, de l’idiot congénital. Il a un âge mental infantile, cela est dû à la dégénérescence de cette race. « On se demande, précise encore Hugo, si cet aveugle peut accepter la clarté ». Les hommes qui profèrent ces horreurs – inscrites d’une manière indélébile dans la conscience des Bretons –, incultes, ignorent que ce pays, qui a

    ensemencé toute l’Europe au moyen âge par sa mythologie et sa spiritualité, tant religieuse que profane, a toujours produit des hommes de lettres, des poètes, des juristes, de grands écrivains. Parmi ceux que la France s’est appropriée, comme faisant parti des leurs écrivains, alors qu’ils ne sont pas Français, qui ont conquis une audience internationale : le théologien Abélard, l’un des plus grands de son temps, Chateaubriand, Victor Hugo (breton par sa mère), Renan, Lamennais, et tant d’autres, comptent parmi les grands esprits de

    leur temps. Ils ont écrit en langue française, mais ce sont des Bretons.

    L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE EST TOTALEMENT SUPPRIMEE, SCOTOMISEE.

    Les animaux n’ont pas d’histoire, les sauvages non plus.
    Selon les criminels de Paris – et les programmes scolaires qu’ils imposent –, la Bretagne n’a jamais existé, elle n’a jamais eu de souverains indépendants. De tout temps, alors que les guerres entre les deux pays ont duré plus de mille ans, elle fut, dit-on, une « province » française. La seule chose qui filtre dans l’enseignement des lycées et collèges – il est difficile de croire ce que nous écrivons ici – tient en quelques phrases :

    « Les Bretons eurent autrefois une Duchesse, dénommée Anne de Bretagne ; elle portait des sabots de bois (d’où la célèbre chanson, un “tube” en France : Anne, Duchesse en sabots) ; elle épousa le roi de France, dont elle tomba amoureuse (!), Charles VIII ; en conséquence, elle apporta en dot la Bretagne à la France ».

    C’est ce qu’on m’a enseigné au lycée de Pont l’Abbé, en pays Bigouden. Aucun autre élément n’est fourni, pendant toutes leurs études, aux élèves des lycées et collèges. Les Bretons ignorent donc, par la volonté délibérée de l’ Etat colonisateur, qui ils sont, qui furent leurs ancêtres, ce que sont leurs racines, encore moins qu’ils eurent un passé national prestigieux, sûrement pas que la Bretagne est devenue française par une invasion, la violation du droit, et par des destructions considérables. Les signataires du rapport de Bruxelles, en 2009, sont tous dans cette situation. Ils n’ont appris leur passé qu’une fois sortis de l’école, parce qu’un jour, le hasard a mis entre leurs mains l’une des rares histoires publiées sur la Bretagne, diffusée d’une manière confidentielle dans de rares librairies.
    Les grands héros de l’histoire bretonne sont « gommés », rayés des cadres. Nominoé, le roi Salomon, Anne de Bretagne ? Pierre Landais, le Richelieu breton ? Comment les Bretons connaîtraient-ils ces personnages auxquels l’occupant ne reconnaît aucune existence, et qui ne sont mentionnés dans aucun manuel ? Selon la doxa mensongère, la Bretagne était française de tous temps ; province crottée, elle a été élevée à la civilisation parce que la France a daigné la ramasser dans un ruisseau de boue : c’est à peu près tout ce que les Bretons savent de leur passé lorsqu’ils sortent du lycée.
    Ce fut mon sort, moi qui fut toujours premier en histoire.
    Dieu merci, la vérité est maintenant connue dans le monde.

    LA NEVROSE BRETONNE D’ACCULTURATION.

    L’étude des névroses collectives a été induite, en particulier, par les sociologues et les historiens qui se sont penchés sur les dégâts mentaux induits par l’acculturation forcée des populations Amérindiennes par les Espagnols. On a également exhumé les atrocités commises par les américains, les canadiens, les anglais en Australie …. Les Bretons sont maintenant célèbres dans le monde entier, en raison des abominations dont ils ont été victimes.

    Cette pathologie particulière concerne un grand nombre de nations, jadis libres. Sous l’effet de la pression colossale qui est exercée par l’entourage, l’école, les livres, la radio, les instituteurs, les professeurs, les parents eux-mêmes, tant par le non-dit que par ce qui est suggéré ou explicitement exprimé, l’enfant des écoles de la république se met à détester tout ce qui lui rappelle l’infériorité de sa condition : ce patois hideux que parlent ses parents et son entourage, ces costumes de ploucs et ces coiffes d’un autre âge, ces mœurs résolument vulgaires, les tournures bretonnisantes qui infectent le beau langage français, qu’on lui présente comme étant le modèle universel. Il n’est rien, qu’un sous-homme, il le sait, il intériorise le modèle mauvais forgé de toutes pièces par le colonisateur. La névrose d’acculturation est à base de honte de soi. Le phénomène diffuse, et gagne tout l’entourage. Les grands-parents, qui ne parlent ni ne comprennent le français – dans les campagnes en tout cas –, sont mis à l’écart, on ne leur adresse pas la parole : ce sont des ploucs, on se gausse de leur maladresse et de leur timidité, on ne voudrait certes pas leur ressembler. Un fossé culturel se crée entre les générations : les jeunes, élevés dans la civilisation qu’on croit belle du colonisateur ; les vieux, qui paraissent pitoyables et arriérés. Cela peut aller très loin : on a vu, dans les lycées et collèges, des enfants avoir honte de rencontrer au parloir leur propre mère, à cause de son accent rocailleux, de sa coiffe en dentelles, de son habitus de femme plouque, et prétexter l’étude ou le travail pour ne pas montrer ce spectacle à ses camarades.
    Au niveau individuel, les dégâts sont considérables. Les Bretons de ces générations sont à l’image de ce qu’ont été les Juifs pendant des millénaires, les colonisés, les esclaves : timides, honteux d’eux-mêmes, des êtres convaincus de leur infériorité native. (Lire absolument : Albert Memmi : Portrait d’un juif, le malheur d’être Juif). Les Bretons qui n’ont pas encore compris, vont se découvrir dans ce texte poignant.

    Au niveau de la nation, c’est pire : celle-ci, jadis conquérante et glorieuse, est désormais honteuse d’elle-même. Elle va jusqu’à collaborer – en toute bonne foi – avec l’occupant pour « désincruster » ce qui reste des mœurs dont elle a été convaincue qu’elles sont préhistoriques, voir anté-diluviennes.. La créativité s’étiole au niveau collectif, la nation ne produit plus rien : la « ploukisation » devient effective ; les natifs, guère en situation de comprendre ni d’analyser ce qui leur arrive, comme les esclaves élevés dans une situation qu’on leur a appris à accepter, accompagnent ou précèdent le mouvement sans le critiquer. Honte suprême : il en est même qui acceptent de faire partie de ce qu’on dénomme le « gouvernement » du pays colonial (!)

    L’AMPUTATION DU TERRITOIRE NATIONAL.

    La France a été un pays nationaliste, expansionniste, colonisateur sur une très large échelle.. Elle a exalté son égo national d’une manière honteuse. Elle a transporté ses armées dans les cinq continents, envahi des peuples nombreux, conquis un empire colonial de dix millions de kilomètres carrés, soit vingt fois sa propre superficie. Elle a eu pour prétention d’apporter « la » civilisation – la sienne –, au monde, et de se considérer comme le critère de l’Univers. Michelet, aujourd’hui considéré comme un quasi-débile mental, a écrit qu’elle devait être enseignée comme une religion !

    En 1941, estimant n’en avoir pas assez fait, le régime de Vichy décide, reprenant un vieux projet en gestation, destiné à néantiser la menace bretonne, à la faveur d’un réaménagement « administratif » du territoire, de créer une région artificielle, incluant la Loire Atlantique, qui est ainsi détachée du territoire historique national des Bretons. Les noyades de Carrier, les colonnes infernales de Turreau, les crimes de Westermann n’ont donc pas suffi : les Bretons sont toujours là, leur sentiment d’appartenance reste extrêmement puissant. La France, poursuivant par un processus interne sa colonisation, a cru pouvoir détacher de la Bretagne historique son joyau, pour l’intégrer dans une région créée de toutes pièces, dénommée « Pays de la Loire », ayant Angers pour capitale. Des « Bretons » se sont associés à ce crime : leurs noms sont publiés partout. La cause de ce qui a été présenté comme un « redécoupage » du territoire français : alors que la France a pactisé et collaboré avec l’ennemi pendant plusieurs années, alors que son chef s’est rendu à Montoire pour serrer la main de Hitler, a réalisé tout d’un coup, quelques dizaines – quelques centaines de Bretons s’étant tournés vers les Allemands, par l’espoir illusoire de retrouver leur liberté et l’usage de leur langue – a puni toute la Bretagne, ayant découvert que, malgré les siècles écoulés, malgré les persécutions et perpétrés dans ce pays, les Bretons ne sont pas devenus francais. La Loire, donc, continue à être la baignoire nationale de la France, le fleuve révolutionnaire d’une ineptie philosophie archaïque et anachronique.
    Les Bretons, comme l’a écrit l’écrivain Herbert Pagani, sont les Juifs de la France. La Loire- Atlantique est pour les Bretons, au sens le plus fort, le Tibet de la France.
    Mais la guérison est au bout du chemin : c’est de renouer avec ses racines, accepter son histoire, dénoncer les mensonges, critiquer et prendre ses distances avec ce qui s’est passé, et repartir dans une autre direction. La Bretagne est entrée dans cette phase.

    LOUIS MELENNEC, licencié en droit, diplômé d’études supérieures de droit public, diplômé d’études supérieures de droit privé, diplômé d’études supérieures de sciences criminelles, docteur en droit, diplômé d’études approfondies d’histoire moderne, ex-chargé d’enseignement des facultés de droit, historien, Ex-consultant près le Médiateur de la république française.
    Louis MELENNEC est exclu de tous les médias français et bretons, sans exception aucune, depuis l’année 2002. Il est impossible de lire une seule fois son nom dans les journaux dont les noms suivent : Le Monde, Le Figaro, Marianne, Présent, …

    Anne de Bretagne
    et la guerre d’invasion de la Bretagne
    par la France.

    – Avant-propos. P2 – P10
    – Chapitre I. 1487 première année de guerre :
    Les Français, ennemis millénaires, envahissent le duché souverain.
    P11 – P73
    – Chapitre II. 1488. P73 – P154
    – Chapitre III. 1489. LA REPRISE DE LA GUERRE. LE COURONNEMENT DE LA DUCHESSE. LA PAIX DE FRANCFORT. P155 – P209
    – Chapitre IV. ANNEE 1490. P210 – P249
    – Chapitre V. 1491 : la duchesse à Rennes. Le mariage avec Charles VIII. P250 – P359
    – Chapitre VI. 1492. Le couronnement d’Anne de Bretagne à Saint-Denis. Le complot breton. La nullité juridique du mariage d’Anne de Bretagne. P360 – P456
    – Chapitre VII. CONCLUSION. CE QU’IL ADVINT DE LA BRETAGNE APRES LA GUERRE D’INVASION DE 1487 A 1491, jusqu’à aujourd’hui. P457 – P485

  9. Les bonnes paroles du Bon Docteur Mélennec
    3 septembre 2021

    LA DECEREBRATION DES BRETONS

    Je vous ai promis quelques munitions.
    La France – ainsi désigne – t-on le pays qui, à partir de Hugues Capet, élu « roi » d’un confetti territorial guère plus étendu que DEUX départements actuels (987), s’est « agrandi » peu à peu, en s’emparant de duchés, de comtés, de vicomtés, de seigneuries qui ne lui appartenaient pas. Presque toujours par des moyens ILLEGAUX, des guerres, des invasions, des destructions, des massacres humains, des persécutions, des déplacements de populations chassées de chez elles, des installations de sujets des rois dans les territoires VOLES aux populations premières, dont on ne reconnaît l’existence que depuis quelques dizaines d’années : la Bretagne, la Flandre, le pays Basque, le Béarn, le Niçois, la Savoie, l’Alsace, la Lorraine, la Flandre …
    L’histoire de ces nations, interdite, a été remplacée par celle du colonisateur. La langue ancestrale a été mise à mort.
    Ces actes monstrueux se sont poursuivis jusqu’à Napoléon III (1808 -1873), puis jusqu’à 1960.
    Ainsi la France, construite de bric et de broc, en aucun cas « Hune et Hindivisble », est devenue un « hexagone », en incluant DE FORCE les nations périphériques qui n’en avaient jamais fait partie, mais souvent étaient historiquement plus anciennes quelles. La Bretagne et l’Alsace ont ainsi été « ingurgités » er digérées, broyées par par des invasions et des conquêtes, avec des dégâts humains, matériels, psychologiques collossaux, y compris des troubles psychiques importants chez les populations acculturées. (1532 pour la Bretagne ; 1648 pour l’Alsace). Ces pays ont été TUES mentalement, psychiquement DETRUITS, privés de leur histoire et de leur véritables IDENTiTES par des pays authentiquement colonisateurs, VOLEURS et SPOLIATEURS.
    ·
    Les colonisateurs, comme vous le savez, ont trouvé d’ignobles complices dans les populations locales, par de l’argent, des postes et des fonctions juteux, des avantages que seuls des dégénérés mentaux, sans dignité, peuvent accepter. c’est toute la Bretagne et l’Alsace QUI SONT BAISEES.

    ça suffit maintenant.
    En Bretagne l’un des « quotidiens » payé pour MENTIR perçoit 12millions de subventions volées chaque année dans les poches des contribuables pour accomplir sa tâche ignoble.

    Nous n’avons plus le droit au mensonge ni au ridicule.
    LA COLONISATION DE LA BRETAGNE PAR LA FRANCE DURE DEPUIS CINQ SIECLE (1532 – 1789)..LA COLONISATION DE L’ALSACE DURE DEPUIS 1648.

    NOUS DEVONS PARLER. Ce n’est pas un acte de courage : C’EST UN DEVOIR.

    Quelques citations introductives :

    Jules Michelet (1831) : « La Bretagne est une colonie comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe ». »Il faut extirper l’identité bretonne ».

    Malte-Brun (1831) « Les habitudes des Bretons, leurs coutumes, leur crédulité et leurs superstitions leur laissent à peine une place au-dessus de l’homme sauvage »
    .
    Auguste Romieu, sous préfet de Quimperlé (1845) : «Surtout rappelez-vous, messieurs, que vous n’êtes établis que pour tuer la langue bretonne.»

    « La Basse-Bretagne, je ne cesserai de le dire, est une contrée à part qui n’est pas la France. Exceptez-en les villes, le reste devrait être soumis à une sorte de régime colonial. « .
    Créons pour l’amélioration de la race bretonne, quelques-unes de ces primes que nous réservons aux chevaux… ». (!!!!!!!!!)

    Laurent Tailhade (1903) : « Le Breton est le Nègre de la France « (L’Assiette au Beurre)….

    Je vous ferai connaître d’autres faits, qui vous ferons VOMIR, et prendre en dégout les pauvres types responsables de ces horreurs.. Et de pires encore.

    LOUIS MELENNEC

  10. MELENNEC.
    Lisez aussi, pour la langue bretonne :
    Mélennec, la langue de la honte.

    (50 articles sur ce seul problème des persécutions linguistiques en Bretagne).
    Une honte mondiale, du prétendu pays qui a inventé LA LIBERTE, et LES DROITS DE L’HOMME !!!!!
    Se sont associés à ces abominations : les « sçavants » de WIKIMERDIOUSE, qui sont allés jusqu’à supprimer ma biographie sur la toile !
    Et pour cause : ils sont les descendants de ceux qui ont assassiné 150 millions de personnes sous MAO, STALINE, POL POT et autres.
    Ils seront jugés.

  11. CONFERENCE DU BON DOCTEUR MELENNEC AU BEARN
    30/10/2015 12:15
    CONFERENCE DU BON DOCTEUR MELENNEC AU BEARN …. SUR L’HISTOIRE DU BEARN, LE 6 AOÛT 2015, à ARTHEZ .

    DEUX NATIONS MILLENAIRES INTERDITES D’EXISTER PAR LES MEFAITS DES DERANGES MENTAUX DE PARIS.
    (Texte de présentation de la Conférence).
    L’assassinat d’une nation est l’un des pires crimes que les êtres humains puissent commettre. Tuer une nation, c’est assassiner une très vaste famille, celle que constitue tout un peuple partageant la même identité, et la même foi dans cette identité. Il n’est que de penser à l’oeuvre « civilisatrice » des Espagnols en Amérique centrale et en Amérique du sud, à l’oeuvre « civilisatrice » des colons anglais en Amérique du nord, à celle des Chinois au Tibet, à celle des Français en Bretagne. Dans ce genre particulier, la France a fait preuve de talents exceptionnels. Aujourd’hui, par bonheur, tout le monde le sait. C’est bien : ces crimes auraient pu rester impunis.
    Tout le monde sait ce qu’a été la révolution de 1789 : raboteuse et unificatrice, elle a supprimé ce que l’on dénomme aujourd’hui, avec condescendance, les « particularismes locaux ».
    Qui sait – qui le croira ? -, que le petit Béarn, avant d’être englouti par la France, comme la Bretagne, l’Alsace, la Savoie et Nice, a été un authentique Etat souverain, pourvu d’un gouvernement, d’une assemblée nationale, d’une législation, d’une justice propres ? Les recherches historiques de Louis Mélennec, ancien enseignant des facultés, avec bien d’autres travaux aujourd’hui nombreux, ont révélé aux milieux historiques et politiques incrédules, voire hostiles, que la France n’est pas UNE et INDIVISIBLE, comme on l’a enseigné dans les écoles jusqu`à ces dernières années, mais un conglomérat de provinces et d’authentiques nations, réunies par le forceps et le marteau, par un pouvoir parisien férocement jacobin, décidé à ranger toutes et tous sous les mêmes règles impératives, sous prétexte d’égalité, celle-ci n’étant pas une loi naturelle, loin s’en faut. Pas davantage que la liberté et la fraternité.
    Ces histoires nationales locales – en particulier de la Bretagne et de l’Alsace -, sont en train de renaître, à la faveur du « redécoupage » désordonné, incohérent et incompétent des « provinces » « françaises », qui mécontente d’autant plus qu’il a été décidé à Paris, par quelques personnes non informées des réalités historiques, et peu préoccupées des désirs réels des intéressés, qu’ils ont mission de servir, à l’exclusion de toute autre chose.
    En 1789, la nation béarnaise a au moins mille ans d’existence. Férocement attachés à leur identité, les Béarnais – pas plus que les Bretons ou les Basques -, ne veulent en aucun cas devenir des Français, ce qu’ils ne sont pas, la France étant pour eux un pays résolument étranger. En deux coups de cuillère à pot, leur assemblée nationale (Les Etats de Béarn) sont supprimés, un département dont ils ne veulent pas est créé, ils sont pourvus d’un gouverneur sous le nom de « préfet », leur nation millénaire est censée n’avoir jamais existé ! Personne n’est consulté, sûrement pas la population. L’histoire du Béarn est scotomisée par Paris, et remplacée dans les écoles par une roman national unique, celui de la France centralisatrice, qui n’est en rien l’histoire des nations périphériques. La Bretagne, l’Alsace, le Pays Basque, la Savoie, Nice, la Corse, et, bien sûr, la Béarn sont engloutis autoritairement sans leur consentement dans la France, proclamée une et indivisible. Ce qu’elle n’est pas.
    Qui peut douter de la véracité de cette chose étonnante ? S’il y a doute, et si l’on veut des preuves irréfutables, qu’on veuille bien consulter les livres du regretté professeur Tucoo-Chala, l’historien incontesté du Béarn, en particulier le petit traité qu’il publia en 1970, dans la collection Que sais-je, aux Presses universitaires de France. Un demi-siècle déjà !
    Quiconque pourrait douter de la très forte identité béarnaise, n’a qu’à écouter le chant patriotique entonné par M. Jean Lassalle, député du Béarn, en pleine assemblée nationale française, là où nos députés, toute honte bue, dans leurs réunions publiques, donnent la chasse à notre drapeau national, avec le concours de la maréchaussée française.
    Nul doute que la conférence du docteur Louis Mélennec, dont on peut lire Le Livre Bleu de la Bretagne, offert en téléchargement gratuit par plus de 20 sites internet, va créer la surprise. Cet historien, docteur en droit, ne propose rien d’autre que de remettre à l’endroit ce qui a été mis à l’envers par des historiens qui n’ont guère eu le loisir ni l’envie, par souci de leur carrière, au pays autoproclamé des droits de l’homme, de s’exprimer librement, jusqu’à une période très récente. Ce vaste mouvement de réécriture de l’histoire est universel.
    La biographie de Louis Mélennec est lisible dans Internet en tapant dans la case Google ces deux mots : mélennec wikipédia. L’obstination de cet historien breton à vouloir à tout prix dire la vérité, irrite profondément les vieilles lunes qui s’accomodent du mensonge, et ne veulent en aucun cas que la lumière soit faite sur les impostures de l’histoire. On se demande à quoi répond cette appétence pathologique pour le mensonge.
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    LES LECTEURS ECRIVENT ….
    – Une personne informée, résidant à Pau. » Nous ne doutons pas que votre conférence va susciter la polémique. Nous nous en réjouissons : la vérité avance ainsi, pas en courbant l’échine ».
    Réponse. Mes thèses ne sont plus révolutionnaires ! Elles l’ont été, il a dix ans. Mais beaucoup d’historiens écrivent maintenant presque la même chose que moi. Bien sûr, comme dans la chanson, le premier qui a dit les choses, est oublié, après avoir été abondamment injurié et copié. J’ai l’habitude d’être en avance, et d’être copié.
    L’Alsace se réveille, la Savoie aussi, les Niçois sont furieux d’avoir été roulés, etc. Les députés et les sénateurs se taisent : VOUS SAVEZ POURQUOI : question de soupe, qui est fort abondante.
    J’ai invité François Bayrou, maire de Pau – qui ne répondra pas, et Jean Lassalle, député qui, m’a-t-on dit, … a chanté l’hymne national béarnais à l’Assemblée nationale.
    Ma conférence abonde de citations béarnaises, qui ne sont pas tendres pour la France : donc, je n’invente RIEN, je dis la vérité, qui avance !
    Les historiens béarnais sont très en avance, ils n’ont pas leur langue dans leur poche. Les Bretons ont PEUR de TOUT. Il y a un mois, un Breton, historien, m’écrit : « Ici, vous savez que tout le monde a peur; nous ne pouvons rien dire, et nous ne disons rien ». Vous n’imaginez pas leur trouille. De quoi ? Incompréhensible !
    Mais les jeunes Bretons sont à l’affut, ils sont avides de vérité et de Dignité.
    Il faut dire des choses intéressantes, j’essaie de le faire, dans tous les domaines. Sinon, quel ennui ! J’ai l’âme d’un chercheur. Je suis de ceux qui trouvent. Et j’aime assez emmerder les cons, mais seulement ceux-là. Je suis foncièrement un pacifique, un défenseur acharné de la dignité humaine. Toute ma vie a été consacrée à ce combat.
    Dernière péripétie : WIKIPEDIA a supprimé ma biographie. Mais des Bretons bien intentionnés l’avaient copiée, et elle est réapparue deux jours plus tard, sur d’autres sites. Avec, de surcroît, une version … anglaise ! Tous rient des « savants » de Wikipédia. On me dit que certains de ces « experts » se sont décidés à apprendre la lecture, mieux : l’orthographe ! Là, j’ai des doutes !

    En savoir plus : https://bretagne-culture-histoire.webnode.fr/news/conference-du-bon-docteur-melennec-au-bearn/

  12. Bonjour,

    C’est tout à fait exact ! Das ist korrekt !

    La période du Reichsland Elsaß-Lothringen, (1871-1918 ) quoiqu’en disent ses détracteurs : les pseudos historiens,
    « post-francisation », ce fut un certain « âge d’Or », pour l’Alsace, avec quelques réserves. C’est pourtant une période de bouleversement avec l’entrée dans le XXe siècle et l’ère du machinisme.

    Les Alsaciens étaient de culture et de condition rurale, pour la plupart d’entre eux, ils vivaient dans les nombreux villages ou bourgs, où étaient exploités les vignobles, le travail de la terre, le fermage… C’est vers la fin du XIXe siècle, que quelques industries, les filatures sont établies dans les vallées vosgiennes : Sainte-Marie Aux-Mines. Ils partageaient un certain cousinage avec leurs voisins du Pays de Bade, le même dialecte, des relations étroites, une proximité socio- culturelle, des traditions locales, séparés seulement par le Rhin comme frontière naturelle !

    Les villes de Colmar, de Sélestat restaient des villes à taille humaine, de caractère « Campagnarde » où il fait bon vivre, Fribourg-en-Brisgau (Freiburg–im-Breisgau) apparaissait déjà comme une ville plus intellectuelle , universitaire ! Pendant la guerre de 1914-1918, des familles Alsaciennes seront réfugiées à Freiburg en 1917, à l’exemple de ma famille, ville plus sûre que la proximité du front.
    C’était les Français établis dans la ceinture Vosgienne, qui bombardaient les villes Alsaciennes comme Mulhouse !

    On nous a imposé depuis Paris en 2016, avec un certain autoritarisme, comme à l’accoutumé, de nous intégrés dans ce « Grand Machin » inutile, boursouflé, qu’est le Grand-Est, une entité coûteuse qu’il faut jeter à la poubelle. Les Alsaciens qui n’en voulaient pas se sont fait insultés par les « Français de l’intérieur » nous traitant « d’égoïstes identitaires »

    Toujours les mêmes préjugés pour les Alsaciens et les Mosellans, mais pas pour les Bretons, les Occitans, les Corses, les Basques…Pour eux c’est la cote !

    Aujourd’hui, si nos ancêtres revenaient, ils ne reconnaitraient plus l’Alsace qu’ils ont connut de leur temps !

    Des jeunes touristes Allemands en visite, aujourd’hui à Mulhouse, s’amusaient à déchiffrer un texte écrit en allemand sur une façade de l’Hôtel de ville, et cherchaient les traductions en français des lieux qu’ils visitaient. Ce doit être pour eux une étrangeté, de voir qu’une ville où, encore quelques décennies en arrière, les habitants pouvaient les guider, les informer dans la langue commune : l’Allemand.

    Malheureusement, ce n’est plus le cas, le « mondialisme » est passé par là !

    1. Merci pour votre très intéressante réponse. Ma famille n’a pas été expulsée mais a subi les chicaneries policières pour être naturalisée. Cordialement

      1. MELENNEC.
        Ne croyez pas que les Bretons ont été « bichonnés » par la France. Nous n’avons cessé d’être persécutés. Je vous communiquerai les détails plus tard. C’EST IGNOBLE, REPUGNANT.
        Notre histoire a été interdite, et remplacée par celle …. de notre tortionnaire ! Nous avions HONTE DE NOUS ! (Voyez mes publications sur la NEVROSE BRETONNE, la même que la névrose alsacienne, la névrose juive … ) Notre langue, bi-millénaire, est en train de disparaître. Tout cela a été dissimulé, caché, il était impossible pour les Bretons de dire la vérité.

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