(Durant la guerre) L’abbé Wetterlé lui-même avait une tendance à croire la victoire toute proche et les Allemands à bout de force. Son enthousiasme, son impatience le dominaient. Il fallait parfois le modérer, comme le jour où Hansi et lui soutinrent qu’après la victoire, la France devrait extirper d’Alsace le dialecte : « Si dans dix ans, disaient-ils, on parle encore l’allemand en Alsace, il y aura un nouvel Hansi qui fera des caricatures sur les Français ! »
Le colonialisme dans sa splendeur sauvage !