Dans son discours du 4 novembre 1919 à Strasbourg, le ministre de la guerre Clemenceau se prononce pour l’application du « Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ». Il oublie l’Alsace et la Moselle qui doivent rentrer dans le rang. Pourtant il était prévu par la Société des Nations que ces deux régions se prononcent par référendum.

« Les Chefs de Gouvernement des premières Nations du Monde se sont réunis à Paris, avec un important cortège de techniciens dans tous les domaines, pour refaire la carte d’Europe au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Une assez nouvelle entreprise ! Libérées d’un joug séculaire, de vaillantes Nations, cruellement opprimées, sont rentrées tête haute dans la noblesse de l’Histoire. La plupart s’étaient vues traîner au combat contre nous. Avec la restitution de leurs territoires, nous avons voulu leur apporter une équitable répartition des moyens de pourvoir aux besoins de leur vie nationale, et rien ne fut épargné dans le règlement des frontières pour écarter toutes chances apparentes de conflits.
La Pologne renaît. La Bohême surgit à de nouvelles destinées, reprenant le cours d’une Histoire. Les Slaves du Sud, s’organisent en une Nations puissante qui n’oubliera pas ses amis. Il n’est pas jusqu’au Danemark lui-même qui, pour don de justice, ne se voit retourner sans l’avoir regagné par la guerre, des terres volées par l’Allemand.
Que dis-je ? La recherche du droit fut poussée jusqu’à la protection des minorités de race et de religion, trop longtemps victimes, dans le passé, de l’intolérance meurtrière. Et pour tout achever, nous voilà organisant une législation universelle de travail par le moyen de conférences internationales, aide puissante pour garantir, la Paix Civile du Monde ».
L’Alsace a subi les mêmes ATROCITES que la Bretagne. DES HORREURS.
Que font vos « docteurs en hystoyre », vos « agrégés », vos députeux, vos sénateux, vos maires ?????
ILS TOUCHENT, ILS TOUCHENT, ILS TOUCHENT !!!
Est-ce là l’espèce à laquelle on nous a condamnés ?????
Inéluctablement, la vérité avance.
Continuez, sans jamais vous lasser.
DR MELENNEC
LES EXPLOITS DU PAYS INVENTEUR DES DOIGTS DE L’HOMME EN BRETAGNE
LA SHOAH BRETONNE
LES ATROCITES PERPETREES EN ALSACE : LES MÊMES QU’EN BRETAGNE.
Louis MELENNEC (2010)
La Bretagne, dans sa quasi-totalité, est atteinte d’une étrange maladie, qui s’apparente à la TREMBLANTE DES MOUTONS ET DES BOVINS. Ceux qui sont chargés de défendre la vérité en Bretagne, et la Dignité des Bretons – ceux qu’on dénomme ” les élus ” – ne le font pas. Pierre LEMOINE, cet homme remarquable qui a consacré TOUTE SA VIE à défendre la vérité, opération dans laquelle il a investi une énergie considérable, l’a rappelé dans une récente interview diffusée sur la télévision de l’Agence Bretagne Presse, laquelle agence, avec des moyens dérisoires, sans subvention d’aucune sorte, essaie de faire avancer les choses – avec une dose de maladresse, il faut en convenir, qui dépasse la moyenne.
Ces élus ” bretons “ne sont élus QUE PARCE QUE LE POUVOIR PARISIEN le veut bien, et parce que leur élection leur procure salaires, prébendes, avantages en nature et en espèces plus que confortables.
Tout ce qui suit a été impitoyablement ignoré par manuels d’enseignement français, à plus forte raison par les manuels bretons, très étroitement contrôlés, censurés, ligotés par la capitale de notre voisin qui jouxte nos frontières du côté de l’Est.
Les malheureuses victimes d’Oradour sur Glane (642 au total, exécutées par les armées allemandes, voir Google) sont l’objet, à juste titre, d’un culte; leur sacrifice est présent dans toutes les mémoires. Les mêmes manuels français sont prolixes sur les invasions arabes (Ah ! Ce brave Charles Martel, qui a (qui aurait, car le mythe est faux) arrêté les Arabes à Poitiers!), les invasions des Vikings, les guerres franco – anglaises, les guerres franco – allemandes. Sous la pression populaire, la colonisation est maintenant enseignée, sous forme de repentance, dans les lycées. Mais la France – ni aucun autre pays, à cause d’une désinformation féroce – ne parle JAMAIS des 6000 soldats tués à Saint-Aubin-du-Cormier, des milliers de Bretons massacrés par les troupes de Louis XIV en 1675, des 115000 Bretons et Vendéens, qui n’avaient rien demandé à personne, qu’à vivre leur foi et leurs croyances, assassinés par le pays autoproclamé ” des Droits de l’homme ” dans des conditions ignominieuses, des 5000 Bretons noyés dans la Loire en 1793 et en 1794.
Cela procède d’une manipulation mentale d’une grande envergure… Nous nous dispenserions volontiers de rapporter les faits répugnants qui suivent. Mais la Bretagne ne sera elle-même que si elle a connaissance de son histoire, surtout dans ce qu’elle a de plus abject.
Les Bretons ne sont pas français. Maintenant, grâce à de nombreuses publications historiques, ILS EN SONT CONSCIENTS. Nos voisins, toujours convaincus de leur très éminente supériorité, éduqués à croire cette absurdité par des écoles qui les élèvent dans cette croyance, ne le savent pas encore, à l’exception d’une faible minorité. je me flatte d’avoir agi, comme Reynald SECHER, depuis des années, en faveur de cette prise de conscience par les Bretons de leur véritable identité.
Ce qui est relaté ici fait partie des affrontements d’une extrême cruauté qui les ont opposés à leurs adversaires au cours de leur long périple, avant d’avoir failli être dissous dans un peuple qui n’est pas le leur. C’est un devoir pieux que j’accomplis ici, qui rendra l’ émancipation totale de notre Pays inéluctable, lorsque ce travail de mémoire, véritable psychanalyse collective, aura achevé ses effets.
Le présent article est essentiellement composé de citations, convergentes, indiscutables, émanant des acteurs de ces massacres, des témoins oculaires, des victimes échappées par miracle …… Ceci est voulu : il s’agit, cette fois, de rendre IMPOSSIBLE toute contestation par le très grand nombre de faits cités, par l’extrême diversité, par la qualité des auteurs ….
…
LE GENOCIDE BRETON ET VENDEEN. DE LA NECESSITE DE REBAPTISER LES FAITS QUI SE SONT DEROULES DANS L’OUEST de la FRANCE : LES GUERRES DE BRETAGNE ET DE VENDEE. LE GENOCIDE BRITO-VENDEEN.
Il n’est plus admissible, aujourd’hui, de désigner les faits perpétrés dans l’Ouest de la France par les armées du Pays des ” droits de l’homme “, sous leur appellation traditionnelle de ” GUERRES DE VENDEE “. Ce terme est tout à fait inexact et réducteur.
Réducteur, parce qu’il donne à penser que ces guerres n’ont concerné que le département de Vendée, et seulement les habitants de ce département, alors qu’il n’en est rien.
I – LA VENDEE MILITAIRE.
Les atrocités perpétrées par les armées du pays dit ” des droits de l’homme ” se sont déroulées dans un quadrilatère d’environ 10000 klm carrés – soit un peu plus de 700 paroisses -, délimité :
– Au nord, par la Loire, de Saint Nazaire aux Ponts-de-Cé, ce fleuve traversant d’est en ouest la partie sud de la Bretagne.
– Au sud, par une ligne reliant Parthenay à Saint-Gilles-Croix-de-vie.
– A l’est, par une ligne reliant les Pont-de-Cé à Parthenay.
– A l’ouest, par l’océan atlantique.
La Bretagne est donc d’autant plus partie prenante dans ces atrocités, qu’une partie très importante de cette guerre a directement concerné la ville de Nantes, capitale historique de notre Pays, et que QUATRE DEPARTEMENTS sont concernés :
– La Loire Atlantique, au sud de la Loire.
– La Vendée, dans sa partie nord.
– Le Maine et Loir, dans sa partie sud.
– Les Deux-Sèvres, dans sa partie nord.
Il faut ajouter que certaines localités de la rive droite de la Loire ont été concernées par cette guerre (lettre de Turreau datée du 18 janvier 1794, in Les colonnes infernales, page 139) :
” Les brigands qui étaient répandus sur la rive droite de la Loire sont anéantis; il ne reste plus qu’à PURGER le premier théâtre de leur fureur “), et que le massacre de Savenay, l’un des plus exécrables de l’histoire de France, perpétré au nom de la République Sainte et Sacrée, ou de nombreux Bretons trouvèrent la mort, se déroule en pleine Loire Atlantique, à 31 klm au nord de Nantes, et à à 87 klm de Rennes.
2 – Outre ces considérations géographiques, un second élément, de première importance doit être souligné. Ceux que l’on dénomme à Paris les ” Vendéens “, ne sont en aucun cas exclusivement originaires du département de Vendée. Ils désignent TOUS LES INSURGES de cette région révoltée contre la terreur que font régner les paranoïaques qui se sont emparés du pouvoir à Paris. Les habitants des quatre départements ci-dessus sont donc des ” Vendéens “, selon la terminologie de cette époque.
Ceci est tellement vrai, que si le mouvement a effectivement été dirigé par des personnages dont certains sont originaires du département de la Vendée ( …..), il est non moins vrai que la résistance des populations a aussi été animée par d’authentiques patriotes Bretons de Bretagne. CHARETTE DE LA CONTRIE, breton, né à Couffé, près d’Ancenis, mort fusillé à Nantes en 1796, surnommé le ” Roi de la Vendée “, fut l’âme de cette guerre, ce qui démontre combien nous avons joué un rôle primordial dans la résistance au pouvoir tyrannique des malades mentaux de Paris. Si l’on en croit Las Cases, qui lui prête ces propos, Napoléon a dit de lui que son action portait la marque du génie.
Dupuy, dans son ouvrage publié dans la collection Pluriel (Paris, édition de 2008, page 259) souligne cette étroite imbrication des combattants du sud et du nord de la Loire, de ceux qu’on a dénommé les Vendéens et les Chouans :
” La chouannerie ne peut se penser à côté et en dehors de la Vendée. La guerre civile concerne le grand Ouest tout entier. Il y a là un ensemble géographique et culturel qui …. a engendré une protestation armée qui n’a pas manifesté partout la même durée ni la même intensité …VENDEE ET CHOUANNERIE FORMENT UN TOUT “.
Sur la délimitation de la région dénommée ” Vendée militaire “, voir, en particulier : Gaborit, pages 9 et 10; Reynald SECHER, La Vendée – Vengé, page 31; carte reproduite pages 26 et 27.
II – LES ATROCITES COMMISES EN BRETAGNE ET EN VENDEE SUR LES ORDRES REPETES DU POUVOIR CENTRAL FRANCAIS.
………………………………………….
LES VIOLS, LES VIOLENCES, LES MEURTRES PERPETRES PAR LES SOLDATS DES ARMEES FRANCAISES, sur les femmes, les enfants, les jeunes filles, les religieuses ….
Les viols se font sur une grande échelle. Ils touchent un très grand nombre de femmes : les mères, les filles, les femmes âgées, les enfants, les religieuses.
Les conditions en sont ignobles : le viol se fait en public, chaque fois que cela est possible : les femmes sont prises devant leurs maris et leurs enfants; les jeunes filles sont violées devant leurs parents, leurs frères, leurs soeurs. Certaines femmes ou jeunes filles s’offrent, pour tenter d’échapper à la mort : elles sont violées, puis tuées, parfois pendant l’exécution même de l’acte. Pire : certaines femmes ” patriotes ” sont violées également, pour le plaisir, ou parce qu’il n’y en a pas d’autres à proximité, ou parce que le ” contingent ” disponible est épuisé. On a signalé des cas de viols sur des cadavres encore chauds, ou sur des femmes en train d’expirer.
” Si toutes les femmes prises ne sont pas brûlées, elles trouvent, en tous cas, un emploi : les plus vulgaires appartiennent aux soldats, les plus belles aux officiers; moins raffiné, le général Commaire marque une préférence pour les vivandières … Dans les métairies, les femmes sont prises devant leurs maris expirants … Une citoyenne est la conquête commune de l’état-major de l’armée; une autre appartient à trente soldats ….. Des malheureuses, qui espèrent par le déshonneur subi avoir évité la mort, sont fusillées nues … DES FEMMES SONT SOUILLEES DANS LEURS CADAVRES … Le viol est la récompense du soldat ” (Gabory, pages 350 et 351).
” Le général Huché, monomane du crime, toujours à demi ivre, se repaît des spasmes d’agonie … Il se donne le passe temps ” de voir rouler jusqu’au bas d’une côte escarpée des femmes fusillées sur la pente, pour rire des accidents de leur chute “. Ses soldats portent des enfants embrochés sur leurs baïonnettes; ils en brûlent d’autres dans leurs berceaux “ (Gabory, pages 350 et 351).
” Un délire de et de sadisme s’empare des soldats : ils se réservent comme butin de guerre les femmes les plus distinguées et les religieuses. Ils dépouillent les cadavres de leurs vêtements, et les alignent sur le dos …. Ils appellent cette opération : ” mettre en batterie …” ” Ils vont, raconte Béjary, jusqu’à introduire dans le corps des victimes des cartouches auxquelles ils mettent le feu “. (Gabory, page …)
” Le soussigné déclare qu’en suivant l’armée dont je fais partie, j’ai vu entre Venansault et Ayzenay, au moins cent personnes, toutes femmes et enfants, massacrés et coupés en morceaux ; dans le nombre était un enfant, qui palpitait encore auprès de sa mère …” (Témoignage du gendarme Charrier, de la brigade de Palluau; contresigné par le juge Rouvière, du tribunal de Challans,; cité in Les colonnes infernales, page 202).
“ Le jour qu’on mit le feu à Venansault, il vit tuer sept femmes, seules trouvées dans la commune, que l’une d’elle tenait son nourrisson dans les bras, et qu’on eut le raffinement et la barbarie de percer du même coup de sabre la mère et l’enfant … cette infâme action reçut les applaudissements du commandant ” (Témoignage du 14 février, 26 pluviôse, cité dans Les colonnes infernales, page 202).
” Cinq cents brigands ont été taillés en pièces, parmi lesquels un grand nombre de femmes, car les femmes s’en mêlent plus que jamais …” (lettre du général Huché, A.G., liasse B5 8 des Archives de guerre, in les colonnes infernales, page 205).
” J’ai vu brûler vifs des femmes et des hommes …. J’ai vu cent cinquante soldats maltraiter et violer des femmes, des filles de quatorze et quinze ans, les massacrer ensuite et jeter de baïonnenette en baïonnette de tendres enfants restés à côté de leurs mères étendues sur le carreau ….” (Témoignage du chirurgien Thomas, in la Vendée-Vengé, page 164).
” Il n’ y a plus de Vendée. Elle est morte avec ses femmes et ses enfants dans les marais et dans les bois de Savenay. J’AI ECRASE LES LES ENFANTS SOUS LES SABOTS DES CHEVAUX, massaccré les femmes qui, au moins, pour celles-là, N’ENFANTERONT PLUS DE BRIGANDS “ (Général Westermann, lettre au Comité de salut public, après la boucherie de Savenay).
LE MEURTRE DES FEMMES ENCEINTES.
Les femmes enceintes, épargnées pendant un temps, sont mises à mort. On tue d’un seul coup deux êtres vivants : la ” République ” est doublement gagnante. Certaines sont violées avant d’être exécutées, d’autres éventrées, d’autres transpercées par les armes. Par un raffinement de cruauté, les armes sont enfoncées dans le ventre même de la mère.
” Ayant reçu l’ordre de la Commission militaire d’aller constater la grossesse d’un grand nombre de femmes détenues à l’Entrepôt, je trouvais une grande quantité de cadavres épars ça et là; je vis des enfants palpitants noyés dans des baquets pleins d’excréments humains …. Je constate la grossesse de trente d’entre ces femmes; plusieurs étaient grosses de sept à huit mois. Quelques jours après, je reviens voir ces femmes, que leur état devait sauver; ces malheureuses avaient été noyées “. (Témoignage de Chaux, in La guerre de la Vendée, page 71).
” J’ai vu massacrer des vieillards dans leur lit, égorger des enfants sur le sein de leur mère, guillotiner des femmes enceintes, MÊME LE LENDEMAIN DE LEURS COUCHES …. Les atrocités qui se sont commises sous mes yeux ont tellement affecté mon coeur, que je ne regretterai jamais la vie …” (Témoignage du général de brigade Danican, Archives historiques de l’armée déposées au fort de Vincennes, lettre du 20 octobre 1793 adressée de Saint-Brieux à Bernier).
” Des femmes enceintes étaient étendues, et écrasées sous des pressoirs. Une pauvre femme, qui se trouvait dans ce cas, fut ouverte vivante au Bois-Chapelet, près de Maillon ” (Peigné, Histoire du Loroux-Bottereau, Archives paroissiales du Loroux-Bottereaux; Secher, in Le livre noir de la Révolution, page 239).
” Des soldats ouvrent le corps des femmes enceintes, y mettent de l’avoine, et y font manger leurs chevaux ” (Revue de la Révolution, 1887, Journal de l’abbé Pierre Cormier. Gabory, pages 351 et 352).
“ Une jeune fille de la Chapelle fut prise par des bourreaux qui, après l’avoir violée, la suspendirent à un chêne. Chaque jambe était attachée séparément à une branche de l’arbre, et écartée le plus loin possible l’une de l’autre. C’est dans cette position QU’ILS LA FENDIRENT AVEC LEUR SABRE JUSQU’A LA TÊTE, ET LA FENDIRENT EN DEUX “ (Le livre noir, cité par SECHER, page 239).
L’ELIMINATION DES ENFANTS.
Les enfants font l’objet d’un traitement spécial : attendu que ce sont de futurs ” brigands “, selon la terminologie usitée, et qu’il constituent, par cela même, un danger pour la ” République “, il FAUT LES TUER. TOUS. La politique d’extermination est donc systématique. Aucune pitié n’est de mise : on les tue devant leurs parents, ou mieux, avec leurs parents. Tous les moyens sont bons : on les coupe en morceaux, on les perce de coups de baïonnette, on les embroche, on les jette dans des brasiers, on les noie. Les cris de mort des mères ne sont d’aucun effet sur les bourreaux. Malheur à qui les protège : le bourreau Lamberty, ” pour en avoir dérobé à la noyade “, est mis à mort (Reynald SECHER, in Le livre noir, page 233). De même, pour empêcher les ” Vendéens ” de se reproduire, on leur coupe le sexe, on en fait des boucles d’oreilles ou des trophées que l’on arbore à sa ceinture; ce n’est qu’un macabre prélude à leur mise à mort (mêmes références).
” J’avais engagé plusieurs de mes amis à élever chez eux plusieurs de ces petits innocents; le lendemain, allant à l’Entrepôt pour les prendre, ces malheureux n’existaient plus : ils avaient tous été noyés; et j’assure en avoir vu la veille dans cette maison plus de 400 ou 500″. ( Témoignage de Chaux, membre du comité révolutionnaire, in La guerre de Vendée, page 71).
Le 28 février 1794, 110 enfants âgés de moins de 7 ANS des LUCS sur BOULOGNE, SONT MASSACRES par les troupes des Droits de l’homme. Une demande de la population est adressée au Pape pour qu’ils soient béatifiés. Quoique je ne sois pas croyant, je m’associe aux catholiques dans cette demande (Livre de Auguste HUCHET, 1983, Le massacre des Lucs sur Boulogne.
L’un des cas les plus horribles est celui de ce soldat qui, ayant embroché plusieurs nourrissons sur la baïonnette de son fusil, s’est ensuite promené devant la troupe pour se flatter de son exploit.
LES ARMES CHIMIQUES (Secher, La Vendée-Vengé, pages 155 et suivantes). L’intoxication par les produits chimiques n’a pas été inventée par les Allemands. Les Français en ont fait usage avant eux.
LES NOYADES DE NANTES ET DE LA LOIRE.
On a cru, pendant longtemps, que seule la ville de Nantes a été concernée par les noyades ordonnées par Carrier. A Nantes, on en a dénombré 23 au moins, dont l’une de 1200 personnes, selon Reynald SECHER. Le nombre des noyés, pour la seule ville de Nantes, est estimé, selon les auteurs, entre 4000 et 5000. En réalité, plusieurs villes le long du fleuve sont concernées : Les Ponts-de-Cé, Angers, Le Pellerin. Une noyade au moins est identifiée dans la baie de Bourgneuf.
Les témoignages sont innombrables.
“ Comme en les fusillant c’est trop long, et qu’on use de la poudre et des balles, on a pris le parti d’en mettre un certain nombre dans de grands bateaux , de les conduire au milieu de la rivière …. (In La Vendée – Vengé, page 152 …)
“ Deux gabarres chargées d’individus s’arrêtèrent à un endroit nommé la Prairie au Ducs. Là, moi et mes camarades, nous avons vu le carnage le plus horrible que l’on puisse voir : plus de 800 individus, de tous âges et de tous sexes, furent inhumainement noyés et coupés en morceaux ….. Les gabares ne coulaient pas assez vite au fond; on tirait des coups de fusil sur ceux qui étaient dessus. Les cris horribles de ces malheureuses victimes ne faisaient qu’animer davantage leurs bourreaux. J’observais que tous les individus qu’on a noyés dans cette nuit furent préalablement dépouillés, nus comme la main …… (Témoignage de Wailly, in Le livre noir, page 237).
” Vous voyez ces femmes, ces mères malheureuses précipitées dans les flots avec leurs enfants …. L’enfance, l’aimable enfance …. devient l’objet de la plus incroyable rage …. Des enfants de dix, de cinq, de deux ans, des enfants à la mamelle sont massacrés et noyés …. Je vois encore le fleuve rapporter sur ses bords une femme tenant encore son enfant mort sur son sein, une fille entrelacée autour de sa mère “. (Avocat Tronson-Ducoudray, in Le livre noir, page 237).
” Nous fîmes une boucherie horrible; très peu échappèrent; partout on ne voyait que des monceaux de morts … tous furent noyés ou taillés en pièces …” (Général Westermann, rapport envoyé au Comité de salut public après la boucherie de Savenay; in Les colonnes infernales, page 139).
Les mariages ” républicains ” et les ” déportations verticales (Sécher, pages 154 et 155).
LA RECUPERATION DE LA GRAISSE HUMAINE POUR DES USAGES DIVERS.
Dans l’échelle des horreurs, on atteint ici presque le sommet.
Les techniques sont simples : on met à mort ceux que l’on dénomme les ” brigands “. Parfois, pour agrémenter le plaisir, on taille à vif la peau, et l’on découpe les victimes. On peut aussi placer les corps sur des barres métalliques, des ” grills ” pour humains, sans les découper. A partir de là, plusieurs procédés sont utilisés :
– le plus simple consiste à jeter les morceaux humains dans des fours – comme ceux dans lesquels on cuit le pain -, et l’on place un feu ardent en dessous. La chair se déssèche, mais le précieux nectar se met à couler, en tout cas à dégouliner. On le recueille dans un récipient, et on le livre là ou l’on en a besoin.
– un deuxième procédé s’apparente à la cuisson d’un volatile dans un four de cuisine : le corps est placé sur le ” grill ” fabriqué à cette fin; une plaque métallique placée sous le cadavre recueille la graisse devenue liquide : regardez cuire votre poulet dans votre four, vous verrez comment les soldats des Droits de l’homme, sur les ordres de leurs généraux, ont utilisé cette technique simplissime pour recueillir la sauce humaine.
La comtesse de la Bouëre recueille le témoignage, en 1829, d’un ancien soldat ” républicain “, qui affirme avoir fait fondre cent cinquante femmes pour en récupérer la graisse :
” Nous faisions des trous en terre pour placer des chaudières, afin de recevoir ce qui tombait. Nous avions mis des barres de fer dessous, et puis les femmes dessus. Puis, au dessous encore était le feu “.
L’opération, d’après les dires du témoin, aurait eu lieu près de Clisson – c’est à dire en Bretagne. L’opérateur dit en avoir dirigé dix barils vers Nantes. Le même dit avoir vendu dix pantalons fabriqués avec de la peau humaine. (In Emile GABORY, page 351).
L’HORREUR ABSOLUE : LE DEPECAGE DES VICTIMES. LE TANNAGE DE LEUR PEAU POUR EN FAIRE DU CUIR HUMAIN.
Nous sommes ici en plein cauchemar. Au point qu’Emile GABORY, l’un des auteurs qui a connu le mieux la question, ne veut pas croire, NE PEUT PAS CROIRE qu’une chose aussi horrible ait pu être commise par des êtres humains ( ” l’imagination la plus complaisante, écrit-il, a peine à accepter de tels récits”; page 351). Ce fut aussi notre premier réflexe, tant cela provoque le dégoût et l’horreur. Les preuves, hélas pour le pays des tortionnaires, sont accablantes. Elles concernent le haut et le bas de l’échelle, et ne sont pas limitées à la Vendée ni à la Bretagne. Des études médicales, notamment celles du professeur Raoul MERCIER, ont donné des détails surréalistes sur les méthodes employées et sur leurs résultats.
” Trois tanneries de peaux humaine, aux Ponts-de-Cé (près d’Angers), à Etampes, à Meudon, ont été identifiées. A la fête de l’Être Suprême (en 1790), plusieurs députés en portèrent des culottes ” (Aimée de COIGNY, Journal, chapitre sur la Convention, cité par MAUNY, ci-après).
” Les bons et beaux cadavres des suppliciés étaient écorchés et leur peau tannée avec un soin particulier. La peau des hommes avait une consistance et un degré de bonté (sic) supérieur à la peau de chamois; celle des femmes présentait moins de solidité, à raison de la mollesse du tissu. “ (Témoignage de l’abbé de Montgaillard dans le tome 3 de son Histoire de France depuis la fin du règne de Louis XVI jusqu’en 1825; il affirme avoir vu la tannerie de Meudon).
” J’avais l’âge de 13 à 14 ans. Je puis affirmer avoir vu, sur les bords du fleuve ( = la Loire), les corps de malheureux Vendéens, dont les cadavres avaient été écorchés. Ils étaient écorchés à mi-corps, parce qu’on coupait la peau au-dessous de la ceinture, puis le long des cuisses jusqu’à la cheville, de manière qu’après son enlèvement, le pantalon se trouvait en partie formé. Il ne restait plus qu’à tanner et à coudre “. (Témoignage de Robin, Angevin, le 31 mai 1852, in Mauny, ci-après).
Plusieurs auteurs témoignent du cas du vertueux SAINT – JUST, défenseur des pauvres, des orphelins, des malheureux, l’un des inspirateurs de la déclaration des droits de l’homme de 1793 :
” Une demoiselle jeune, grande et bien faite, s’était refusée aux recherches de Saint – Just. Il la fit conduire à l’échafaud. Après l’exécution, il voulut qu’on lui présentât le cadavre, et que la peau fût levée. Quand ces odieux outrages furent commis, il fit préparer la peau par un chamoiseur, et la porta en culotte. Je tiens ce fait révoltant de celui-même qui a été chargé de tous les préparatifs, qui a satisfait le monstre. Il me l’a raconté avec des détails accessoires que je ne peux pas répéter en présence de deux autres personnes qui vivent encore “. (Témoignage du conventionnel Harmand, de la Meuse; Anecdotes relatives à quelques personnes et plusieurs évènements remarquables de la Révolution. Consultable par Google : Mauny, 16 mars 2009, Les tanneries de peau humaine …).
De cet homme admirable, considéré comme un quasi-Dieu par les admirateurs de la prétendue révolution française :
” La peau qui provient d’hommes est d’une consistance et d’une bonté supérieure à celle du chamois. Celle des sujets féminins est plus souple, mais présente moins de solidité ” (Saint Just, dans son rapport du 14 août 1793 à la Commission des moyens extraordinaires. Une double expertise, donc, celle de l’abbé de Montgaillard et de l’honorable Saint Just.
……………….
Pendant longtemps, le Museum d’histoire naturelle de Nantes a exposé une relique infâme : la peau d’un être humain. La photographie de cette ” relique ” est reproduite par plusieurs sites sur internet (par exemple : Mauny, 16 mars 2009, Les tanneries de peau humaine sous la révolution française).
J’ai jugé utile, il y a un an, d’avoir une conversation téléphonique avec la conservatrice – si ce n’est elle, c’est la personne qui avait en charge ce ” dossier ” éminemment français ….. Elle m’a confirmé – très courtoisement d’ailleurs -, que cette peau humaine a été soustraite à la vue des êtres humains.
LA BATAILLE DE SAVENAY.
Il est inutile de poursuivre plus avant ces citations épouvantables. On pourrait en faire un volume de plusieurs centaines de pages.
Il faut donc terminer par deux textes – si nos lecteurs ont eu le courage de lire jusqu’ici les exploits phénoménaux de la France révolutionnaire en Bretagne et en Vendée -, émanant de deux généraux envoyés sur les lieux par le Comité de salut public : KLEBER et WESTERMANN.
Au lendemain du massacre épouvantable de Savenay, à 31 klm an nord de Nantes, en pleine Bretagne, à partir du 21 décembre 1793, le général français WESTERMANN, qui a accompli scrupuleusement les ordres de Paris, écrit ces phrases terrifiantes, passées à la postérité :
” Il n’y a plus de Vendée, citoyens républicains. ELLE EST MORTE SOUS NOTRE SABRE LIBRE, AVEC SES FEMMES ET SES ENFANTS. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m’avez donnés, J’AI ECRASE LES ENFANTS SOUS LES PIEDS DES CHEVAUX, MASSACRE DES FEMMES qui, au moins pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. JE N’AI PAS UN PRISONNIER A ME REPROCHER, j’ai TOUT EXTERMINE …”
C’est épouvantable. La littérature mondiale offre peu d’horreurs d’une telle sauvagerie …
(A suivre)
NOTA BENE. Louis Mélennec est interdit de s’exprimer dans le moindre merdia français et breton, depuis des années. Mais il est régulièrement publié en Russie, en Suisse, en Catalogne, au Québec, en Kabylie, en Angleterre et dans d’autres pays. La France est totalement démasquée. L es livres de Reynald SECHER sont publiés dans plus de 30 pays. Ses travaux sont internationalement connus. Le présent article a été publié plus de dix fois, et « sucré » à chaque fois par le pays des doigts de l’homme. Toute l’histoire de la bonne république française a été falsifiée à partir de 1789. Si Reynald Secher n’avait pas eu le courage de soutenir sa thèse en Sorbonne, en 1985, nous serions encore dans la totale ignorance des faits relatés ci-dessus. Il a été persécuté pendant plusieurs dizaines d’années, par les thuriféraires de la prétendue « révolution des doigts de l’homme ». Ces hallucinantes cruautés évoquent celles subies par les Juifs, notamment à Varsovie, et les victimes tuées par les lance-flanmes allemands, lors de la révolte du Ghetto.
Charles de Gaulle : « La France ne peut être la France sans la grandeur ». En Bretagne, nous avons conservé une autre vision de la grandeur de la France., même si le peuple de Franc n’a jamais consenti à de telles horreurs, entièrement imputables aux fous-furieux qui tenaient alors le pouvoir à Paris. La France en a fait des héros, construit son mythe national sur leurs noms, et fait inscrire ces noms sur les monuments publics !!!!
NOTE IMPORTANTE. La « démocratie » français bloque tous les mails que je vous adresse. Mais je dispose encore de DIX moyens de communiiquer avec vous.
Il est temps que vos historiens jettent au public ce qu’ils savent !!!!
Merci pour ce grand texte très intéressant. Je ne sais plus qui disait « Vos héros sont nos bourreaux ». Au fait, Westermann était alsacien, aucune rue ne porte son nom, même à Molsheim sa ville natale. En Alsace, lors de la Révolution, les opposants avaient la chance de pouvoir se réfugier en Allemagne.
Il est impossible de rectifier Wickipédia, les garants du Roman national en font une chasse gardée. Mes modifications sur Turenne sont supprimées dans les heures qui suivent. Résultat, les réponses à mes questions sur la prétendue intelligence artificielle : ChatGpt sont bienpensantes : Il n’y a pas de preuves que Turenne a massacré les habitants de Türkheim.
Bonne journée à vous
Mon adresse mail : alsaciae.gmx.org
A partir de 1789, TOUTE l’histoire dire de France a été falsifiée. Nous avons TOUS été victimes d’un lavage de cerveaux pendant deux siècles et demi !!!!!!
Trois auteurs principaux : Michelet, Bruno, LAVISSE : un porc celui-là ! J’ai publié plus de 1000 articles depuis 50 ans. Vous en trouverez plusieurs CENTAINES sur internet. A pus.