Depuis la fin de la guerre de 1870, tous les locuteurs de langues germaniques : Allemands, Flamands Luxembourgeois, Suisses et bien sûr Alsaciens sont considérés comme des Boches. Les premiers à se faire insulter de Boches sont les ouvriers-typographes allemands et flamands des imprimeries parisiennes. Les Alsaciens établis en France se font régulièrement insulter, à tel point qu’en 1918, le Gouvernement édite un arrêté demandant aux préfets de punir ceux qui traitent les Alsaciens (pas les Allemands) de Boches. Les engagés volontaires alsaciens dans l’armée française pour la plupart font partie des régiments de légionnaires ou de zouaves. Pour leurs camarades français, les Alsaciens sont des Boches, voire des sales Boches. La chanson « Le légionnaire » chantée par Dalbret en 1911 laisse songeur. (Paroles de Léo Lelièvre, Musique de Louis Izoird)
LE LÉGIONNAIRE
Depuis longtemps la raison du plus fort
Tenait courbés les bons vieux de l’Alsace
Mais dans leur cœur opprimé par le sort
L’amour de la France était toujours vivace
Lorsque son fils atteignit dix-huit ans
Sa vieille maman murmura les mains jointes
Pars vite en France t’engager mon enfant
Tu ne dois pas servir les casques à pointes
Refrain:
Lorsqu’ à Nancy au bureau de recrutement
Il vint joyeux signer son engagement
Le sergent dit : Regardez moi cette caboche
Dans leur pays lorsque ça n’a plus de pain
Ça vient chez nous espionner son prochain
Pour la Légion, c’est encore un sale boche
En Algérie son accent alsacien
Dont il n’avait pas pu se défaire
Le faisait prendre pour un vulgaire Prussien
Et détester des autres légionnaires
Les rempilés ne pouvaient le souffrir
Il avait beau poursuivre la droite route
Tous les prétextes étaient bons pour punir
La tête carrée, le mangeur de choucroute
Refrain:
Il écrivait souvent à sa maman
Je suis heureux, car dans mon régiment
On me dorlote, on n’ me fait pas de reproches
Puis essuyant ses larmes qui coulaient
Le pauvre gars pensait : Elle mourrait
Si elle savait qu’on m’appelle l’sal’boche
Les légionnaires sont partis au Maroc
Un jour surpris par une fusillade
Le capitaine voulant éviter l’ choc
Tombe frappé sous l’ feu d’une embuscade
Mais l’Alsacien s’élançant comme un lion
Sauve l’officier pendant que les secours approchent
Quand l’ colonel lui demanda son nom
Il répondit on m’appelle l’sal’boche
Refrain:
Devant tout le monde son chef le décora
En s’écriant : Rappelez-vous braves soldats
Dans la légion, il n’y a pas de différence
Quand le drapeau vous conduit au succès
Y a plus d’Allemands , d’Italiens ou d’Anglais
Vous êtes tous les soldats de la France.

· Les colonisateurs, comme vous le savez, ont trouvé d’ignobles complices dans les populations locales, par de l’argent, des postes et des fonctions juteux, des avantages que seuls des dégénérés mentaux, sans dignité, peuvent accepter. c’est toute la Bretagne et l’Alsace QUI SONT BAISEES.
ça suffit maintenant. En Bretagne l’un des « quotidiens » payé pour MENTIR perçoit 12millions de subventions volées chaque année dans les poches des contribuables pour accomplir sa tâche ignoble.
Nous n’avons plus le droit au mensonge ni au ridicule. LA COLONISATION DE LA BRETAGNE PAR LA FRANCE DURE DEPUIS CINQ SIECLE (1532 – 1789)..LA COLONISATION DE L’ALSACE DURE DEPUIS 1648.
NOUS DEVONS PARLER. Ce n’est pas un acte de courage : C’EST UN DEVOIR.
Quelques citations introductives :
Jules Michelet (1831) : « La Bretagne est une colonie comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe ». »Il faut extirper l’identité bretonne ».
Malte-Brun (1831) « Les habitudes des Bretons, leurs coutumes, leur crédulité et leurs superstitions leur laissent à peine une place au-dessus de l’homme sauvage » . Auguste Romieu, sous préfet de Quimperlé (1845) : «Surtout rappelez-vous, messieurs, que vous n’êtes établis que pour tuer la langue bretonne.»
« La Basse-Bretagne, je ne cesserai de le dire, est une contrée à part qui n’est pas la France. Exceptez-en les villes, le reste devrait être soumis à une sorte de régime colonial. « . Créons pour l’amélioration de la race bretonne, quelques-unes de ces primes que nous réservons aux chevaux… ». (!!!!!!!!!)
Laurent Tailhade (1903) : « Le Breton est le Nègre de la France « (L’Assiette au Beurre)….
Je vous ferai connaître d’autres faits, qui vous ferons VOMIR, et prendre en dégout les pauvres types responsables de ces horreurs.. Et de pires encore.
LOUIS MELENNEC
2009 : BRUXELLES Je lis ce rapport devant la FUEN : 300 participants Bretagne : des centaines d’injures ! Des héros anonymes, bien sûr !
C’est IGNOBLE. En 1945, la France a procédé à des sanctions drastiques contre les linguistes qui avaient travaillé à sauver notre langue bi-millénaire, dont Roparz Hémon, qui a échappé à la mort, mais a du quitter le pays. La plupart n’avaient fait AUCUN acte de collaboration. La Bretagne, d’ailleurs, était hostile à l’Allemagne. J’ai vécu cette époque : je suis un témoin fiable; je ne mens JAMAIS. Lorsque, il a cinquante ans, en 1975, j’ai entrepris d’écrire la vérité, à mes risques et périls, en pleine conscience, j’ai été assailli par des centaines d’injures, d’une grossièreté invraisemblable. Ces gens manient LA FECALITE. Les wikimerdeux ont supprimé ma biographie. Les Français ? NON ! LES BRETONS, comme vous en Alsace, victimes des imbéciles, des traîtres, des opportunistes. TENEZ BON ! VOUS ÊTES EN TRAIN DE GAGNER !
LOUIS MELENNEC Le comportement de la France à l’égard des Alsaciens a été DE LA BARBARIE. C’est un devoir pour tous de leur faire part de notre affection, et de leur dire que, nous non plus, nous ne sommes pas prêts à cesser de dire la vérité. Nous avons vécu les mêmes horreurs en Bretagne. Nos pires ennemis ont été les Bretons renégats, les opportunistes, et, plus tard et aujourd’hui, les héritiers et successeurs de MAO, de STALINE, de POL POT, et autres rebuts de l’humanité. Il faut y ajouter HITLER. La vérité progresse peu à peu. Mais aucun ne s’excusera.